Nicole Cheverney

@ c’est nabum

Surtout en cette période de si triste actualité !

cdt

@ C’est Nabum,

Merci pour ce récit poétique et plein de fraîcheur qui nous fait redécouvrir les chemins oubliés de notre belle et vieille France où tant de« trésors » sommeillent et où il ne suffit que d’un peu de curiosité et de modestie pour en retirer la substantifique moelle.

 Cordialement

@ Doctorix

Merci pour cet excellent article.

Cependant, je ne suis pas d’accord avec l’analyse faite par Graig Roberts, concernant l’« apparente » faiblesse de Poutine.
Nous réagissons trop en « occidentaux », à l’emporte-pièce. Or, Poutine est avant tout un Russe. Malgré sa culture tournée vers l’Occident, il y a chez ce peuple toute la portée asiatique de leur raisonnement. Tout comme l’était la nature profonde de Staline. Observation, patiente. Grande patience, même...

Pendant que les ’« accipitridés » atlantistes se précipitent sur la scène internationale avec tambours et trompettes, le grand cirque médiatique et propagandiste belliqueux, leurs menaces, leur chantage, Poutine, lui, fourbit et affûte ses armes.

Il sait que le temps jouera pour lui. On peut supposer également que les puissants industriels allemands qui en 1914 avaient tout intérêt à une guerre, en 2014, leurs descendants la refuseront pour des questions évidentes d’échanges fournis avec la Russie. L’intérêt prime aussi pour les Européens, ce qu’oublient trop les états-uniens auto centré sur le nombril de l’oncle Sam.

Et que les Européens, si d’aventure, ils étaient conviés aux agapes atlantistes dans un conflit contre la Russie, refuseraient d’y aller. A commencer par les Français et les Allemands. Les Anglais, eux, c’est le grand point d’interrogation.

D’ailleurs, la situation en Ukraine n’est guère brillante pour les fascistes au pouvoir : un récent rapport daté du 20 juillet du chef du SBU, Nalyvaïchenko adressé au Président Porochenko, s’alarme de la désertion de centaines de soldats de l’armée ukrainienne de l’ouest et de la garde nationale, pour passer en Russie.
(source : site de Alain JULLES).

On le voit, le scénario néo-con ne tiendra pas la route.
Bien sûr, il ne faut pas écarter la folie des dirigeants atlantistes, prêts à tout.

Cordialement.

@ Laurent 47

Non, nous n’avons aucune raison de déclarer la Russie et les Russes nos ennemis, nous Français. Bien au contraire, des liens quasi-affectifs nous lient à ce grand peuple de culture.

Je me souviens du remarquable roman écrit par Andreï MAKINE, écrivain russe : « le Testament français », couronné par le prix Goncourt dans les années quatre vingt dix dans lequel il magnifiait notre culture et notre langue. Une belle ode d’amitié franco-russe. Hélas, il semblerait que les médias aux ordres, (les « baveux », comme on les nommait au début du vingtième siècle) s’ingénient à saboter ce que des décennies, malgré la période stalinienne n’avaient pas réussi à ternir. Bien au contraire !

Lorsque l’on lit les lignes indignes écrites par les « baveux » d’aujourd’hui, alors, oui, on peut avoir honte de la propagande française distillée contre Poutine, la Russie et les Russes. Les baveux subtils mettent encore les formes, mais les autres, ne se gênent même plus pour asséner les plus grossiers mensonges, les plus infectes manipulations, les plus odieuses caricatures !

Ecoeurant !

Cordialement

Isga

« Des larves, méprisables, stupides, violentes, inconscientes ».

Pour quelqu’un qui se réclame de la « Sociale », je trouve vos propos particulièrement excessifs, et dignes des plus violentes diatribes NAZIS sur l’espèce humaine.

J’ai lu avec attention votre article. Il ne mène à rien, même pas à une réflexion profonde sur le devenir politique de nos sociétés occidentales.

Et prendre comme fil conducteur « 1984 », pour votre article, est un peu réducteur à mon avis. On eût préféré une analyse plus fouillée des enjeux géo-politiques et géo-psychologiques qui régissent les rapports politiques et humains dans notre époque instable et dangereuse.

Une révolution mondiale prolétarienne, il n’y a que vous pour y croire, mais je pense qu’il ne s’agit en fait que d’un alibi...Pour taper encore et encore sur Poutine.

Cordialement.