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Le fascisme - Ses origines - Volet N° 5

 

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Les accords de Munich : la bande des quatre !

Pour contrecarrer la politique de la France, Mussolini se porte à la tête d’un mouvement regroupant les nations mécontentes du Traité de Versailles (1918).

Le 7 juin 1933, il propose de créer un embryon d’Union européenne réduite à l'Italie, la France, l'Allemagne, l'Angleterre, intitulé le « Pacte des Quatre », à condition d’établir une révision des frontières artificielles du Traité de Versailles. Cette ébauche d’unité européenne ne sera jamais ratifiée ; l’Allemagne nazie manifestant une attitude d’indépendance à l’encontre de l’esprit de ce pacte, qui proposait de donner une "direction" à l’Europe. Idée à laquelle Hitler ne pouvait que s’opposer contraire à son projet et à sa volonté d’hégémonie sur le continent européen.

Après cet échec, Mussolini flaire une bonne occasion de se dresser contre le chancelier Hitler, et se rêve le chef d’une coalition anti-hitlérienne. Il sait qu’il tient là, son jocker.

Le 14 juin 1934, Hitler se rend à Venise, où il est reçu assez fraîchement par Mussolini. Il est hors de question pour le dirigeant italien de s’en laisser compter par le dirigeant allemand ! Nous sommes encore loin de la « grande idylle » entre Mussolini et Hitler. Car, il n’approuve en rien l’attitude de l’Allemagne envers l’Autriche. Les deux futurs compères sortent de l’entrevue de Venise, le visage déconfit. Aucun terrain d’entente n’a été trouvé. Hitler droit dans ses bottes, son but bien déterminé : l’Anschluss. Après l’assassinat par les Nazis du dirigeant autrichien, Dolfüss, Mussolini mobilise ses troupes sur le Brenner et se porte au secours de l’Autriche.

En Avril 1935, a lieu l’entrevue de Stresa, où Mussolini convie la France et l’Angleterre, par l’entremise de Pierre Laval, Président du Conseil et de Mc Gregor, Ministre. Mussolini et Laval signent un accord franco-italien, dans le but de réaffirmer le « traité de Locarno », assurant l’indépendance de l’Autriche, contre les tentative de violation du traité de Versailles par Hitler. Les Anglais décidant de faire cavalier seuls en traitant directement avec Hitler.

Le 2 octobre 1935, débute une expédition coloniale italienne contre l’Éthiopie. Mais Mussolini se heurte aux sanctions économiques de la S.D.N ( Société des Nations) et l’hostilité manifeste de la France et de l’Angleterre contre la guerre livrée contre l’Éthiopie. En 1936, l’affaire est pliée. Mussolini achève sa guerre coloniale.

Pendant qu’éclate la guerre civile d’Espagne.

Mussolini, sur les conseils de son gendre le Comte Ciano très proche des Nazis, et que Mussolini a nommé ministre des Affaires Étrangères, consent à se rapprocher d’Hitler. Pour deux raisons : la première, son aversion du communisme qu’il partage avec le chancelier du IIIe Reich, la deuxième, en formant le 1er novembre 1936, l’axe Rome-Berlin, pour créer une menace « sur les arrières de la France », sans doute toujours influencé par Ciano, en pleine contradiction avec les "accords de Stresa" en 1934.

Mais il va encore plus loin, il subventionne journalistes et politiques, en créant une organisation de type terroriste : la Cagoule, mouvement à ramifications qui ira jusqu’au cœur de l’État français.

Les opposants de Mussolini se sont regroupés à Paris et forment une coalition « antifasciste ». Parmi eux, le socialiste Carlo Rosselli et son frère Nello rentrés en clandestinité, en créant un groupement d’opposition. Carlo et Nello sont assassinés par des membres de la Cagoule, en lien avec les fascistes italiens.

Pas mécontent de voir la situation lui devenir de plus en plus favorable, il se met à revendiquer auprès de la France, Nice, la Corse, la Tunisie, et Djibouti, (anciennes possessions italiennes).

Hitler et Mussolini.

Il n’y a qu’à demander pour être servi. Mussolini s’incline devant les exigences d’Hitler qui ne tarde pas à se faire pressant. Toujours adepte des volte-faces, alors qu’il s’est porté au secours de l’Autriche en 1934, le Duce change complètement de braquet et décide de la « sacrifier » au profit des Allemands. L’Autriche est annexée en 1938 par l’Allemagne. Après l’assassinat par les Nazis de Dolfüss, le dirigeant autrichien, Hitler le fait remplacer par Shuschnigg, nommé à son tour chancelier d’Autriche. Ce dernier fera à l’Allemagne des concessions exorbitantes. En cas de refus, l’Autriche serait immédiatement attaquée, menace Hitler. Shuschnigg démissionne. Il est aussitôt remplacé par le fanatique Seys Inquart, homme lige d’Hitler qui ouvrira les portes de l’Autriche à la Wehrmacht.

Le 11 mars 1938, c’est au tour de la Tchécoslovaquie d’être abandonnée aux mains d’Hitler qui l’annexe. Or, on assiste à un renversement total de situation où la montée en puissance d’Hitler incite Mussolini (qui lui avait jusqu’alors refusé une alliance lors de leur rencontre à Venise en 1934), à jouer les quémandeurs auprès du Fürher pour signer entre l’Italie et l’Allemagne, le « Pacte d’acier », le 22 mai 1939. C’est-à-dire une coopération militaire. Pour consolider son prestique, Mussolini s’intéresse également à l’Albanie, dont il fait détrôner le roi Zog d’Albanie, le 7 avril 1939.

Mussolini, tout à fait conscient de la faiblesse militaire de l’armée italienne, décide pourtant d’intervenir aux côtés d’Hitler. Son offensive qu’il engage pour complaire au Fürher, du 10 au 24 Juin 1940 contre la France « accablée », n’est pas non plus une page bien glorieuse à mettre à son actif. Il faut bien se rendre compte que l’Italie fasciste de Mussolini n’est devenue qu’une auxiliaire à la disposition de l’Allemagne nazie, et, le peuple italien, victime de ces alliances.

Du fait de cette collaboration militaire et idéologique, des centaines de milliers d’Italiens sont envoyés également en Allemagne pour participer à l’effort de guerre nazi. En outre, 240 000 soldats italiens seront envoyés sur le front russe, lorsque Hitler décidera en 1941, d’attaquer la Russie, avec l’opération Barbarossa.

Petit à petit, Mussolini affiche devant son peuple et au monde, une soumission de plus en plus marquée à Hitler. Conscient que l’Italie ne fait pas le poids aux côtés du rouleau compresseur allemand, il songe à proposer au chancelier du IIIe Reich, une paix séparée. Mais craignant une réaction très vive d’Hitler, il y renonce. Son entourage lui reproche ses désastres militaires.

Hitler et Mussolini, l’entente cordiale.

Mussolini et Hitler ne sont pas en reste de manifestations mutuelles d’entente cordiale. Hitler, parvenu au sommet du Reich, assure le commandement suprême des trois armées : terre, mer, air, assisté par l’Oberkommando der Wehrmacht » (O.K.W.), qui coordonne les trois armes. Sous son commandement : les généraux Jodl, Keitel,Von Lossberg, et Warlimont. Les généraux des forces terrestres, (Oberkommando des Heeres, (O.K.H.), les généraux Von Brauchitsh, Halder, le général des forces navales Roeder, (O.K.M.) grand amiral Haeder, et Schniewind, les forces aériennes (Oberkommando der Lutwaffer (O.K.L.), général Jeschonneck, les forces terrestres ou commandement de groupes armées, (Heeresgruppen Kommandos), généraux Von Bock, Von Witzbelen, Von Blaskowitz, Von Reichenau, List, Von Kluge. En tout, 18 commandements : (Général Kommandos).

Devant ce déferlement de forces militaires, l’armée italienne de Mussolini fait pâle figure. Mussolini visite l’Allemagne en 1937. Hitler le reçoit fastueusement, histoire d’en mettre plein la vue au Duce, littéralement subjugué. Les cérémonies militaires se succèdent, toutes à un rythme effréné. L’on assiste à des spectacles grandioses, des mises en scènes spectaculaires, des démonstrations diurnes et nocturnes qui durent des heures, des défilés ininterrompus de la jeune armée nazie, celle qui va bientôt faire dans très peu de temps, trembler l’Europe et le monde.

Le rendez-vous de Munich.

C’est à Munich, en Bavière, qu’Hitler convie en grand vainqueur, les chefs de gouvernement de Grande-Bretagne, Neville Chamberlain, de France, Edouard Daladier, et Benito Mussolini flanqué du Comte Ciano, son gendre. Hitler est allé en personne accueillir Mussolini et Ciano, de bon matin à Kufstein, ancien poste-frontière austro-allemand pour s’entendre au préalable avec le Duce avant la conférence. Chamberlain ne se donne pas la peine de rencontrer Daladier avant « l’affrontement » diplomatique avec Hitler et Mussolini. Chamberlain, persuadé qu’à lui seul , il arrivera à un accord avec Hitler, comme en témoigne L. Shirer, journaliste anglais, couvrant l’évènement : " Les journaliste qui se trouvait comme moi au contact avec les délégations brittaniques et françaises acquirent la certitude que Chamberlain était venu à Munich absolument décidé à ce que personne – ni les Tchèques, en tous cas, ni même les Français – ne l’empêchât de parvenir rapidement à un accord avec Hitler. "

Car la question de la Tchécoslovaquie est au centre des débats. Daladier, surpris par l’attitude de Chamberlain, se trouve pourtant résolu à faire aboutir les négociations qui débutent à 12 h 15 dans le Fürherhaus sur le Koenitzplatz.

Mussolini ouvre le bal.

Ce n’est que lorsque le Duce prend la parole que peuvent débuter les négociations. Il dit apporter des propositions très concrètes, précises, retranscrites par écrit. Mais en réalité, il bluffe. Car ce qu’il fait passer pour son « projet » personnel de compromis, ses propositions précises, ne sont en réalité qu’une ènième entourloupe de la part des Allemands qui contrôlent toute l’opération depuis le QG du Fürher.

Il ne s’agit en fait que d’un vulgaire verbatim rédigé à la hâte, à Berlin , la veille, au ministère des Affaires Etrangères allemand, par le maréchal Goering, et deux dignitaires nazis, Neurath et Weizaeker. En dernier ressort, le texte est approuvé par Hitler. Ce verbatim est, toujours à la hâte, traduit et transmis à l’Ambassadeur Attolico qui le téléphone à son tour à Mussolini, toujours stationné à Kufstein, au moment ou ce dernier s’apprête à prendre le train pour Munich.

Les propositions de Mussolini sont le fruit exclusif du cogito allemand. Tout émane de Berlin. Or, l’intervention orale de Mussolini s’appuyant sur un texte qui n’est pas de lui, va servir de point de départ à la conférence ainsi que d’ordre du jour, avec des conditions très sévères imposées par l’Allemagne, véritable arc-boutant des fameux « accords de Munich ».

Évidemment le bluff de Mussolini, sous la houlette d’Hitler, réussit au-delà de toutes les espérances. Les participants accueillent les propositions « italiennes » avec enthousiasme. Le reste de ces accords n’étant que quelques petits détails secondaires.

Les accords de Munich, cette sinistre farce, scellent désormais le destin de la Tchécoslovaquie. Il sera tragique. Chamberlain propose de faire venir à la conférence les représentants tchèques. Hitler s’y oppose farouchement, Daladier s’incline immédiatement devant le dictateur, mais Chamberlain plus persuasif, finit par obtenir qu’un représentant tchèque se tînt à la disposition des participants. Les docteurs Mastny, ministre tchèque, le docteur Masaryk, ministre des affaires étrangères tchèque, sont introduits par les Allemands dans une pièce contiguë à la salle de conférence où on leur a, sans ménagement, signifié qu’ils n’assisteraient pas à la conférence et que rien ne filtrera. Un comble, alors qu’il s’agit de décider du destin de leur pays ! Ils se morfondront pendant…. 14 heures !

A 19 heures exactement, un représentant anglais vint leur annoncer que les accords de Munich sont signés, mais précise qu’il lui est impossible de leur communiquer les détails, et qu’ils doivent s’attendre à des conditions bien plus dures que celles envisagées par les Anglais et les Français. Masaryk proteste et demande à être entendu immédiatement, ce à quoi l’Anglais, par une belle pirouette diplomatique lui répond que la situation de la France et de l’Angleterre est très inconfortable, que les négociations se sont avérées extrêmement difficiles, face à un Hitler intransigeant. L’Anglais conduit les deux hommes « atterrés », auprès de Sir Horace Wilson, le conseiller de Chamberlain. C’est par lui qu’ils apprendront que :

1/ Les Tchèques devront évacuer au plus vite toutes les zones sudètes, zones peuplées en majorité d'Allemands, selon les exigences d’Hitler. Devant les protestations véhémentes des deux représentants tchèques, l’Anglais coupe court à tout dialogue. Ce sera ça ou rien.

« Si vous n’acceptez pas, vous serez obligés de régler vos affaires seuls avec les Allemands.", menace-t-il. Il rajoute que les Français partagent absolument les vues anglaises, même en prenant des gants pour le leur annoncer moins brutalement. Non content d’humilier les Tchèques, il enchaîne avec effronterie, mentant sciemment, que la question de la Tchécoslovaquie n’intéressait pas les Français.

Le 30 Septembre, à 1 heures du matin, la bande des quatre : Hitler, Chamberlain, Daladier, Mussolini, apposent leur signature au bas du célèbre document, appelé désormais : « Accords de Munich ».

 

.../...

 

 

1Carlo Rosselli :


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38 réactions à cet article    


  • Brutus Grincheux 18 août 2023 08:18

    Hitler et Mussolini étaient les acteurs vedettes d’une pièce écrite par des scénaristes propriétaires des salles de théâtre où ils étaient à l’affiche. Les producteurs, les impresarii et les machinistes restaient dans les coulisses.

    Ce qui n’était pas forcément prévu, c’est que les stars (deux cabotins complètement imbus d’eux-mêmes) se sont mis à improviser, mais leurs talents de dramaturges était loin de celui des orateurs et comédiens qu’ils étaient, et même leurs employeurs ont eu du mal à les dégommer quand ils se sont aperçus qu’ils étaient contreproductifs pour leur business.


    • chantecler chantecler 18 août 2023 09:44

      @Grincheux,
      Oui, enfin Adolf avait écrit la pièce en 1923 / 24...
      Mein Kampf
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Mein_Kampf

      Je ne suis pas certain que des « tireurs de marionnettes » écrivent seuls l’histoire .

      Il y a aussi des éléments conjoncturels : une défaite , un traité , une crise économique , plus ou moins spontanée , un problème non réglé (dénazification)

      , une « décolonisation » merdique , autrement dit une fausse indépendance , etc etc ....
      Qu’il y ait des révolutions oranges je veux bien mais ce n’est pas systématique car il y a aussi des révoltes spontanées de gens qui n’en peuvent plus et pour de bonnes raisons .
      Maintenant que certains cherchent à les instrumentaliser , comme par exemple les G.J ça me paraît évident .

      Il faut savoir aussi si « on a raison de se révolter » ou non ...


    • Brutus Grincheux 18 août 2023 11:05

      @chantecler

      je ne voulais pas parler de « révolution orange », mais des puissances industrielles et financières française et allemande, les failles Krupp et de Wendel qui voulaient prendre l’intégralité de la sidérurgie et du charbon en Lorraine-Sarre-Ruhr, et les places boursières des dux pays pariant tour à tour sur l’un ou sur l’autre.
      Cet antagonisme a été à l’origine de la première guerre mondiale qui a mis à genoux tout le monde.
      Du coup, les forces communistes se sont d’autant plus développée en Allemagne et en Italie dans le sillage de la révolution russe que, même s’ils étaient exsangie en Europe, le grand capital a eu très peur de perdre tout et a préféré faire un pacte avec le diable (et avec le soutien de grandes fortunes américaines comme Ford, Bush, etc.) pour financer des mouvements violents dont la principale mission était de neutraliser et même éradiquer les organisations susceptibles de leur prendre le pouvoir.
      Mais le scenario a dégénéré, et les financeurs sont venus à la rescousse, ce qui s’est traduit finalement par une colonisation via le plan Marshall puis la mise en place de l’OTAN.
      Pour ce qui est de « Mein Kampf », il s’agit d’un texte qui n’aurait jamais été connu si son auteur n’avait pas eu le rôle que l’on connait. Le contenu est le même que celui d’autres anciens combattants nationalistes, d’une piètre qualité, similaire aux aquarelles puériles de celui quo se prenait pour un peintre.


    • Brutus Grincheux 18 août 2023 11:17

      @chantecler

      Je dois ajouter que la "Perfide Albion" craignait très fort que la réunion de la région idustrielle qui se partage aujourd’hui entre la France, l’Allemagne et la Belgique, devienne plus qu’un concurrent à son industrie alors dominante, et Winston Churchill n’a pas été le dernier à encourager la montée en Allemagne de forces politiques avec lesquelles il a même passé des accords avant de retourner sa veste. (lien)

      C’est pour les mêmes raisons que le Royaume-Uni a œuvré pour trouver une famille royale à mettre à la tête d’un territoire problématique qui est devenu la Belgique, toujours partagée entre Flamands et Wallons.


    • Brutus Grincheux 18 août 2023 11:34

      @chantecler

      Un autre grand acteur : IG Farben


    • chantecler chantecler 18 août 2023 12:29

      @Grincheux

      Salut Grincheux ,
      Oui .

      Je me permets de revenir sur l’incident d’hier ... ;
      Simplement , je suis français , ce qui ne fait pas de moi le porte parole du peuple français , ni de ses dirigeants avec lesquels je suis en profond désaccord naturellement ...

      Y compris pour sa position , son engagement par rapport au conflit ukro russe :

      Je ne défends ni l’UE , ni l’Otan , ni les anglo saxons dans cette affaire ...
      Pas du tout .
      Comme toi je suppose .... !

      Mais je me refuse de me faire insulter par quiconque , y compris par un R. Garev même s’il a des origines russes ..

      Et si je lui réponds vertement , je m’adresse à lui en réponse directe à ses propos insultants ,qui essentialisent tous les intervenants ,ou tous les habitants , comme si nous étions une masse compacte et uniforme , et non en réponse à la population russe et à ses dirigeants , pour qui j’éprouve de l’amitié et du respect .

      Il me semble qu’en relisant mes commentaires depuis longtemps , il ne peut y avoir de doute à ce sujet .


    • Brutus Grincheux 18 août 2023 12:47

      @chantecler

      même si on est pas des clones, on est sur la même longueur d’ondes
      bonne journée à toi


    • Nicole Cheverney Nicole Cheverney 19 août 2023 18:13

      @Grincheux

      Bonjour, cabotin peut-être Mussolini, pendant son alliance avec Hitler, pas au début en tous cas, mais le chancelier du IIIe Reich me semble plutôt sinistre. Je ne vois aucune improvisation chez Hitler, question de culture germanique.


    • Nicole Cheverney Nicole Cheverney 19 août 2023 18:15

      @chantecler

      Bonjour, dans Mein Kampf tout était écrit, dans ce pavé écrit certainement à plusieurs mains, sous l’influence de Rudolf Heiss qu’il a connu pendant son séjour en prison. 


    • « Les volte-faces » c’est la figure de style des dictateurs .

      Bjr,

      Excellente .

      De plus en plus de ressemblance avec le pouvoir en France , en Allemagne ,plus généralement en Europe .

      Mais comme l’a précisé une responsable du programme spatial , il faudra stopper les sanctions imposées à la Russie si l’on veut s’implanter sur la Lune .

       

      Pauvre M Flap de l’élysée .


      • Bendidon ... bienvenue au big CIRCUS Bendidon ... Wind Pilgrimer 18 août 2023 10:02

        Alors là Nicole, surprise, autant vous vous êtes éternisée sur les débuts de Mussolini (que je connaissais très mal) autant sur la période Hitler Mussolini vous passez à toute vitesse ?

        Mussolini reste pour moi un MYSTÈRE

        Quand j’ai quitté la royale j’ai d’abord intégré une petite compagnie maritime basée à Paris.

        La femme du patron était une italienne et son père avait été général sous Mussolini

        Elle ne mâchait pas ses mots « Sous Mussolini l’Italie c’était quelque chose dans le monde , maintenant c’est de la M… »

        Alors je me suis intéressé à ce Mussolini et pour moi ce type reste un mystère

        Il est devenu DUCE (guide) mais rien à voir avec les Hitler, Lénine, Staline, Franco, Mao, Pol tot et consorts

        Ses pires opposants ont été déportés dans une île, ce n’était pas le club med ok mais rien à voir avec la tchéka, guépéou, NKVD et le goulag

        Rien à voir avec la gestapo et les camps de concentration

        Les opposants cocos pour la plupart comme chapou, chapoupou, chapoutier étaient bons pour boire un litre d’huile de ricin et visiter les WC durant 24 heures LOL (oui aux débuts certains ont été assassinés, on est dictateur ou on ne l’est pas !)

        Quant aux juifs ils étaient ignorés bien qu’un haut fonctionnaire était délégué pour les surveiller (pour faire plaisir à hitler)

        Alors qu’est-ce qui a pris ce Mussolini de tomber en admiration de ce Hitler, ce petit caporal alors que la première fois qu’il l’avait rencontré il l’avait considéré comme un minable petit arriviste ???

        Il s’est lancé dans la guerre d’Espagne où il réclamait un front pour lui tout seul et il a pris une rouste mémorable par les républicains !

        Rebelote en juin 1940 il déclare la guerre à la France et se prend une branlée incroyable par les chasseurs alpins. Son armée n’avancera en fait que d’un kilomètre en France avant que l’armistice ne soit signée !

        Et il recommence en Afrique du nord en attaquant les anglais, encore une branlée qui oblige Hitler à envoyer Rommel et son afrika corps !

        Et il continue, il attaque la Grèce en 1941 et les grecs renvoient son armée de pacotille à la mer obligeant une fois de plus Hitler à envoyer la whermacht envahir la Grèce ce qui, on l’oublie, à retardé de 2 mois l’opération barbarossa qui devait débuter début mai au lieu du 22 juin ?

        Et oui si cette opération d’invasion de la Russie avait commencée en mai les panzers seraient arrivés à Moscou en septembre avant l’hiver russe !

        Que serions nous devenus ?

        Et puis il est déposé, enfermé dans les alpes et délivré par un commando SS dirigé par skorzeny et il rempile avec hitler ??

        finalement il est capturé par des partisans italiens et pendu alors qu’au moment de son arrestation un régiment SS était à proximité et n’a pas bougé ??

        OUI Musso restera un mystère pour moi, il a tout foiré ce gars là !

         smiley


        • Nicole Cheverney Nicole Cheverney 19 août 2023 18:20

          @Bendidon ... Wind Pilgrimer

          Bonjour, je ne passe pas à toute vitesse sur sa période de collaboration avec Hitler, bien au contraire, je prépare toute une série d’articles consacrés à cette entente coridale qui ne le fut pas tant que ça. 
          Mussolini a multiplié les erreurs tactiques, je pense car il raisonnait en civil porteur d’une doctrine et non en militaire s’apprêtant à conquérir des territoires. Entre vouloir et pouvoir...
          De plus, il n’a pas fait de réels efforts pour créér une armée conséquente, aussi puissante que les Nazis. Ce qui aujourdd’hui le fait paraître un peu léger à côté du rouleau compresseur allemand. 


        • CATAPULTE CATAPULTE 18 août 2023 12:31

          Bonjour,

          Cet été, visite discrète à Predappio, en Émilie Romagne et surtout, montée à Campo Imperatore, un endroit fantastique, une vallée fermée à 1800 m d’altitude, terrain d’évasion du Duce en septembre 1943...

          c est beau l’Histoire dans le silence des lieux qui l’ont vu se dérouler...

          Saviez-vous que le Mac Do de la Piazzale Loreto de Milan n’est pas un lieu anodin ? Il est construit à l’exact emplacement de la station service où furent pendues par les pieds les dépouilles déjà bien esquintées des amants fascistes et quelques fidèles lieutenants...

          j’ignorais votre nostalgie du fascisme, le vrai, celui de Benito et ses chemises noires, autrement plus séduisant que celui, tristement actuel, d’une poupée gonflante italienne...


          • Nicole Cheverney Nicole Cheverney 19 août 2023 18:27

            @CATAPULTE

            Bonjour, 

            Nostalgie du fascisme ? Je ne peux être nostalgique de quelque-chose que je n’ai pas connu. D’autant que cette idéologie m’est étrangère. Par contre, j’aime comprendre et l’histoire est un fabuleux réservoir de connaissances et de curiosité. 
            Merci pour les reneignements concernant les endroits emblématiques où se sont déroulés ces faits tragiques. 

            La Meloni ? Plus gonflée qu’une pastèque ! Tout ça est triste, c’est vrai et manque de panache... à la bersaglieri ! 


          • Rincevent Rincevent 18 août 2023 13:15

            Mussolini n’a pas du tout ‘’créé’’ la Cagoule. Cette organisation purement française, a eu des rapports avec l’Italie fasciste dans le but d’obtenir des armes pour un futur coup d’état en France. Et le prix à payer a bien été (entre autre) l’assassinat des frères Rosselli.

            https://fr.wikipedia.org/wiki/Cagoule_(Osarn)


            • Brutus Grincheux 18 août 2023 15:17

              @Rincevent

              La « Cagoule » est en effet franco-française, héritière à la fois des ligues, des camelots du roi et d’Action Française. Les racines remontent à la fin de la guerre de 1870, quand la France a perdu l’Alsace-Lorraine et que les monarchistres d’abord élus en 1881 on fini par être écartés du pouvoir pas les républicains qui incarnaient une socité en rupture avec l’ancien régime dont les ligueurs avaient la nostalgie. 
              Mais l’organisation elle-même, clandestine, a été structurée dans le but de renverser le Frant Populaire par un coup d’état, en s’appuyant sur la sympathie et la complicité active des rentiers et petits épargnants auxquels les comploteurs (et non pas compltistes) avaient réussi à faire croire que les communistes alléient leur voler leurs maisons et leurs économies.
              Effectivement, Mussolini n’a rien à voir là-dedans.


            • Nicole Cheverney Nicole Cheverney 19 août 2023 18:29

              @Rincevent

              Bonjour, effectivement, et je m’en excuse. Il s’agit en fait d’une « commande » des fascistes italiens auprès de la cagoule pour éliminer les frères Rosselli. 


            • njama njama 18 août 2023 14:42

              Le fascisme, nouvelle idéologie politique contemporaine qui mêlait populisme, nationalisme et totalitarisme, aura été très tendance entre les deux guerres. Il aura eu ses partisans au-delà des frontières de l’Italie et de l’Allemagne, en Espagne, au Portugal, en France (celle de Vichy). Même quelques factions sionistes étaient également très admiratives du fascisme en Italie et étaient en bon terme avec le régime nazi.


              • Brutus Grincheux 18 août 2023 15:18

                @njama

                c’est quoi le populisme ?


              • njama njama 18 août 2023 16:15

                @Grincheux

                P. ext., POL. Tout mouvement, toute doctrine faisant appel exclusivement ou préférentiellement au peuple en tant qu’entité indifférenciée.

                Populisme libéral. Le populisme est dénoncé comme l’idéologie du « petit producteur » utopiste et réactionnaire, il nie la lutte de classes et substitue au matérialisme historique/dialectique une sociologie « subjectiviste » (Marxisme, 1982, p.704).V. ouvriérisme A ex.

                https://www.cnrtl.fr/definition/populisme

                Négation de la lutte des classes, c’est à l’opposé du communisme il me semble... Chaque Parti se veut de représenter « le Peuple », un peu comme chacun tire la couverture vers soi


              • njama njama 18 août 2023 16:18

                @Grincheux
                c’est quoi le populisme ?


                Chacun veut le plat de nouilles... smiley


              • njama njama 18 août 2023 22:06

                @Grincheux

                Même Macron est populiste, je supporte mal qu’il nous appelle « Mes chers compatriotes » dans ses discours... c’est un faux-cul de première, ne l’intéresse que l’U€ et le Nouvel Ordre Mondial, il ne s’en est pas caché, même discours que Sarko, mot pour mot

                https://www.youtube.com/watch?v=O7I8ryqDC4U


              • Nicole Cheverney Nicole Cheverney 19 août 2023 18:33

                @njama

                Bonjour, tous les pays européens étaient marqués par le « nationalisme ». Et c’était logique, puisque la plupart de ces pays avaient été complètement désintégrés par le traité de Versailles. Particulièrement les pays des Balkans. Et l’Autriche. C’était pour eux une sorte de revanche qui aura mal tourné. 
                Le fascisme est essentiellement italien, il est né en Italie et a prospéré en Italie. 


              • njama njama 18 août 2023 14:52

                Michel J. Cuny écrivait dans un article Une peste brune sioniste ?

                Publié ici sur Agoravox le 15 mars 2018 par Cuny Petitdemange
                (article retiré ?????? je cite un extrait que j’avais repris en commentaire le 12 août 2018 dans l’article American Pravda : Juifs et Nazis) :

                Évoquant celui (photographie jointe) dont Ben-Zion Nétanyahou, le père de Benyamin, était devenu le secrétaire particulier, Georges Ayache écrit :
                « Jabotinsky affectionnait certaines méthodes autoritaires propres à l’Allemagne ou à l’Italie. Par dérision, Mussolini parla de lui comme du « fasciste juif ». » (pages 279-280)

                « Dérision »… C’est Georges Ayache qui croit pouvoir l’affirmer… Mais, à quelle partie de cette étiquette faut-il accrocher la qualification de n’être que « dérisoire » utilisée par le Duce ?

                Pour sa part, nous dit tout de même Georges Ayache…
                « En sa qualité de leader de l’aile socialiste du sionisme, Ben Gourion dénonça vigoureusement le « fascisme juif » et son chef Jabotinsky, qu’il n’appela plus que « il Duce » ou « Vladimir Hitler »  . » (page 282)

                Mais il n’y avait pas que Ben Gourion, et nous pouvons comprendre pourquoi en découvrant ceci sous la plume du même auteur :
                « Les sionistes de gauche traitaient les révisionnistes de fascistes et de « cliques d’assassins ». Pendant ce temps, les « chemises brunes » du Betar défilaient dans les rues de Tel-Aviv et de Jérusalem, déchirant les drapeaux rouges du mouvement de jeunesse des pionniers et rossant à l’occasion les membres du Mapaï. » (page 289)
                …qui était la branche socialiste du sionisme.

                Voilà donc l’homme et l’organisation auxquels Julius Margolin n’hésita pas à se rallier dès 1929.

                https://unefrancearefaire.com/2018/03/15/une-peste-brune-sioniste/


                • njama njama 18 août 2023 14:56

                  Source des citations (Georges AyacheIsraël – La naissance de l’État des Juifs, Éditions du Rocher 2008)

                  ainsi que l’indiquait Michel J. Cuny dans un article suivant :
                  Julius Margolin : un représentant de l’aile dure du sionisme
                  par Michel J. Cuny | vendredi 16 mars 2018

                  Article également supprimé, par l’auteur j’imagine... pour quelles raisons, mystère


                • chantecler chantecler 18 août 2023 19:57

                  @njama
                  Pourquoi supprimé par l’auteur ?
                  La censure existe .
                  Tellement qu’il y a des sujets interdits, tabous .

                  PS : merci pour tes commentaires .


                • njama njama 18 août 2023 21:59

                  @chantecler

                  Je suppose que c’est l’auteur qui les a supprimés
                  https://www.agoravox.fr/auteur/michel-j-cuny

                  On marche toujours sur des œufs avec les questions du sionisme, de son histoire, de ses origines...
                  encore davantage depuis peu avec certaines personnalités politiques ou des médias prompts à faire l’amalgame entre antisémitisme et antisionisme (critique de la politique israélienne et du sionisme d’une manière générale).

                  Je voulais juste signaler qu’il y avait parmi les pionniers du sionisme des factions attirées par le fascisme, dont celui de Mussolini était un modèle.


                • Lorsqu’en 1992 John Coleman exposait dans son livre la hiérarchie des conspirateurs et l’histoire du Comité des 300 …. l’avons-nous écouté ?

                  https://www.guyboulianne.info/2022/08/12/lorsquen-1992-john-coleman-exposait-dans-son-livre-la-hierarchie-des-conspirateurs-et-lhistoire-du-comite-des-300-lavons-nous-ecouter/


                  • Spartacus Lequidam Spartacus Lequidam 19 août 2023 08:35

                    Ces articles sur l’origine du fascisme sont interessants, mais vus avec les lunettes gauchistes de l’auteur.

                    L’auteur avec ses lunettes rouges, ne peut déclarer ou admettre l’évidence, le fascisme est une idéologie de gauche.

                    C’est assez terrifaint cette attitude de déni d’une nouvele branche de socilaisme, l’origine du Fascisme.

                    Cela relève du comportment religieux, le déni, le déni, le déni même si tous les faits sont là !

                    Les affirmations d’un changement des convictions de gauche de Mussolini sont totalement fictives ;

                    Jusqu’a sa mort il a revendiqué la haine du capitalisme les faits sont les faits !

                    Le déni c’est aussi de faire croire que Mussolini déteste le comumisme parce que c’est le comunisme, mais il déteste le comunisme, simplment parce que c’est un concurent electoral des populations qui sont votent traditionnelement a gauche.

                    L’autre oubli important de ce texte, c’est le manifeste du fascime et l’influence de « Giovani Gentile », celui qui a écrit « la doctrine du fascisme, un phylosophe d’extreme gauche qui a suivit au PS et ensuite au Parti fasciste Musolini.

                    Le fait que des »bourgeois« (mot typique des gauchistes pour désigner ceux qui réussissent) soutiennent Musolini ne fait pas de Musolin i un capitaliste.

                    Les plus grand riches sont souvent socialistes, comme Bloomberg aux USA ou Pigache Niel et autres en France.

                    Le socialisme étant interventioniste, les très très riches vont souvent vers le socialsime piur faire voter des lois qu’on fait passer pour »interet général" mais qui en fait bloquent les concurents et font de son entreprise un Monopole.

                    En 1943, Benito Mussolini a promu la «  socialisation de l’économie », également connue sous le nom de « socialisation fasciste, » pour ce processus, Mussolini a demandé l’avis du fondateur du Parti communiste italien, Nicola Bombacci. Vous voyez Mussolini ne détestait réellement le communisme puisqu’il s’en inspirait.

                    Le fascisme est une idéologie de gauche, simplement les fascistes et communistes ont effacé les idées de droite des pays ou ils sont intervenus, a fait disparaite la droite libérale.

                    Pour remplacer le 3eme courant du socialisme a été appelé extreme droite, parce que le mot « extreme gauche » était déja pris par les communistes.

                    Le fascisme aujourd’hui est appelé « extreme droite » mais en fait c’est un non sens, c’est une autre branche de l’extreme gauche.

                    Le fascisme prétendait s’opposer au capitalisme libéral, mais aussi au socialisme international, d’où le concept d’une « troisième voie »,


                    • chapoutier 19 août 2023 10:12

                      @Spartacus Lequidam

                      Bravo, félicitations !

                      Enfin quelqu’un qui à tout compris. Bien sur que vous avez raison !

                      Mais malheureusement le Quidam vous vous arrêter en cours de chemin, au milieu du gué.

                      D’ailleurs je vais vous confier un secret, Macron est un communiste, fils illégitime de Lénine, c’est vous dire, il appauvri les seuls français qui comptent pour enrichir les salauds de fainéantasses de pauvres. C’est est assez, je vous propose que ensemble nous proclamions le PCF le Parti des Capitalistes Financiers, et que nous instaurions une authentique démocratie en France, qui verrait enfin ces salopiauds de pauvres remis au travail obligatoire et forcé à coup de fouet, 22h00 sur 24h00, 9 jours sur 7, pour que nous retrouvions notre gloire de pays esclavagiste.

                      Et je propose même que ensemble, nous déclarions la guerre à Biden, fils illégitime de Marx qui veut transformer notre belle dictature d’amerique en république socialiste. Et que pensez de tout les détracteurs de notre beau 3eme reich trahis par tous ces cupides traites. Ne faudrait-il pas les pendre haut et court avant de les fusiliers pour l’exemple, ou le contraire.

                      Enfin Spartacus un vrai français qui a les couilles de dire qu’il hait les pauvres et que la gauche c’est le fascisme et que le fascisme c’est la liberté et que la liberté c’est de mettre en esclavage les pauvres.

                      Pauvre andouille sans neurones  !


                    • chapoutier 19 août 2023 10:16
                      que voulez répondre à ce fou furieux de le quidam, qui vient d’ailleurs de déposer son etron en modération, j’ai même failli voter oui tellement c’est stupide.
                      ce type est totalement ravagé du ciboulot, il est impossible d’avoir le moindre échange avec lui, il est dans délire permanent, il voit des bolchévique derrier chaque lampadaire.

                    • Rincevent Rincevent 19 août 2023 16:29

                      @Spartacus Lequidam

                      Vos lunettes, elles sont de quelle couleur ?


                    • Spartacus Lequidam Spartacus Lequidam 20 août 2023 10:13

                      @chapoutier

                      La notion de « stupide » c’est plutot cete caricatuire de déni des faits et les nons-arguments de connard que vous elugez.

                      A part la dérision, la carritature l’intolérance et la censure vous démontrez votre sectarisme et votre incapacité a vous remettre en cause en face des faits
                      Aucun argument, minable petit rien.

                      Les faits sont les faits !
                      Le fascisme a été créé Oui ou Non par des socialistes ?
                      La réponse est OUI !

                      Hitler n’a t-il pas nommé son parti « socialiste » ? 
                      La réponse est OUI !

                      La propagande des partis fasciste était-elle « pourquoi nous sommes socialiste »
                      La réponse est OUI !

                      La propagande des partis fasciste était-elle une opposition socilaiste au capitalisme ?
                      La réponse est OUI !

                      Les politiques Facsistes ont-elle été socialistes et anti-capitalistes ?
                      La réponse est OUI !

                      Je sais que gauchiste c’est votre religion, et même en face des faits indéniables, c’est comme expliquer a un Musulman que Mahomet etait une ordure de pédophile.
                      Il ne reste que le déni la caricature ou la tyrannie de la censure ;


                    • chapoutier 20 août 2023 16:43

                      @Spartacus Lequidam
                      mais vous etes un modèle de tolérance, c’est certain !  smiley
                      j’espère que vous regardez sous votre lit chaque soir avant de vous coucher, des fois qu’un bolchévique avec un couteau entre les dents s’y cacherait !
                      les enfants ont peur du croquemitaine jusqu’à 5 voir 6 ans mais votre croquemitaine personnel vous poursuivra jusqu’au dans la boite en sapin.
                      j’aimerai pas etre dans votre tete.


                    • Spartacus Lequidam Spartacus Lequidam 20 août 2023 11:01

                      Voici pour les gauchistes la réalité et leur déni des faits que ces abrutis ne veulent cacher.

                      Le fascisme est une forme de socialisme.

                      A l’école remplie d’une egemonie de propgramùmes et profs gauchistes, on vous a censuré les mots de Mussolini.

                      Mot pour mot la déclaration de Mussolini 6 jours avant sa mort :

                      Le 22 avril 1945 à Milan, le leader fasciste déclarera ce qui suit :

                      « Nos programmes sont définitivement à la hauteur de nos idées révolutionnaires et ils appartiennent à ce qu’on appelle en régime démocratique la « gauche » ; nos institutions sont le résultat direct de nos programmes et notre idéal est l’État travailliste. Dans ce cas, il ne fait aucun doute : nous sommes la classe ouvrière en lutte pour la vie et la mort, contre le capitalisme. Nous sommes les révolutionnaires à la recherche d’un nouvel ordre. S’il en est ainsi, invoquer l’aide de la bourgeoisie en brandissant le péril rouge est une absurdité. Le vrai épouvantail, le vrai danger, la menace contre laquelle nous luttons sans relâche, vient de la droite. Il n’est pas du tout dans notre intérêt d’avoir la bourgeoisie capitaliste comme alliée contre la menace du péril rouge, même au mieux ce serait une alliée infidèle, qui essaie de nous faire servir ses fins, comme elle a fait plus que une fois avec un certain succès. J’épargnerai les mots car c’est totalement superflu. En fait, elle est nuisible, car elle nous fait confondre les types de véritables révolutionnaires de quelque couleur que ce soit, avec l’homme de réaction qui utilise parfois notre langage même. « 

                      Six jours après cette déclaration qui confirme que le fascisme est socialiste, Benito Mussolini serait capturé et fusillé.

                      Son corps sera pendu à une balustrade en public.


                      Et ces gauchistes endoctrinés vous vendent le non socialsqme du Fascisme, quelle blague, quel déni.


                      Il n’ont rien d’autres come arguments que la carricature, l’ataque ad homminem, le whataoutisme et le dénigrement.


                      Mais les faits sont les faits !


                      • Spartiate moderne 20 août 2023 16:06

                        @Spartacus Lequidam


                      • Nicole Cheverney Nicole Cheverney 20 août 2023 19:22

                        @Spartacus Lequidam

                        Bonjour, 

                        Votre texte datant de 1945, écrit par Mussolini n’est qu’une ènième volte-face dont il était coutumier, en parfaite contradiction avec sa doctrice fasciste. Le fascisme même s’il est né de son esprit admirant l’ancienne Rome  fasci  Faisceaux, n’en reste pas moins, dès qu’il a accédé au pouvoir, une alliance étroite entre le grand capital italien, l’armée et les corps intermédiaires de l’Etat. 
                        En 1945, il savait les jours comptés du fascisme. 
                        Le mot socialisme ne veut plus rien dire : il est la résultante de cette aliance rouge-noir qui continue après 80 ans à polluer tout le spectre politique et qui s’appelle Macronie. 
                        En Angleterre, Il s’agit des travaillistes avec Blair. Parler aujourd’hui de droite, de gauche est totalement ridicule. Il s’agit de mettre en place pour la ploutocratie un « ordre nouveau » mondial ! Appelé pompeusement Nouvel ordre mondial ! 


                      • eau-mission eau-mission 22 août 2023 17:23

                        @l’auteur


                        Savez-vous que certains hommes ne vivent que pour parader auprès des femmes ? J’ai lu cet aveu chez Sartre, Valéry, ... Des fois, je me dis que c’est excessif. J’avais entendu que c’était le cas de Mussolini. En balayant les titres, voici ce qu’on obtient :


                        Hitler et Mussolini, l’entente cordiale

                        Le rendez-vous de Munich.

                        Mussolini ouvre le bal.


                        Encouragé par l’approbation reçue à ce post, le souffle puissant de Corneille me revient à l’esprit : Benito l’inconstant était-il poursuivi par la malédiction d’une Camille  ?

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