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Sirius

Sirius

à chacun son point de vue

Tableau de bord

  • Premier article le 29/11/2022
  • Modérateur depuis le 12/12/2022
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Derniers commentaires



  • Sirius Sirius 7 mai 18:06

    @titi

    vous me connaissez ?



  • Sirius Sirius 7 mai 16:08

    @xana

    il écrit
    mais tout le monde ne s’appelle pas Céline



  • Sirius Sirius 7 mai 14:36

    «  Vie de merde, journée de merde, quoi de plus normal ?  »

    cadeau




  • Sirius Sirius 7 mai 14:29

    @Fergus

    ce n’est pas incomptible



  • Sirius Sirius 7 mai 14:27

    @Marc Dugois

    Comme aurait dit Lavoisier à propos de  la conservation des masses lors du changement d’état de la matière.

     : « Rien ne se perd, rien ne se créée, tout ce qutransforme ».
    Sauf que cette citation est apocryphe et couvre d’un voile ce que le savant a écrit, à savoir : « ... rien ne se crée, ni dans les opérations de l’art, ni dans celles de la nature, et l’on peut poser en principe que, dans toute opération, il y a une égale quantité de matière avant et après l’opération ; que la qualité et la quantité des principes est la même, et qu’il n’y a que des changements, des modifications. »
    Ces changements et ces modifications concernent peut-être la « micro-économie », mais c’est dans cette économie-là que nous vivons, et le vécu n’est pas le même pour tout le monde.
    Dans cette vision naturaliste de l’économie, tout se passe comme dans la chaines alimentaire composée d’une succession de végétaux et d’animaux où chacun est mangé par le suivant, ce qui montre à quel point les êtres vivants dépendent les uns des autres. Mais chaque chaîne alimentaire diffère d’un réseau alimentaire dans la mesure où elle suit un chemin linéaire direct de consommation et de transfert d’énergie, et les interconnexions entre les chaînes alimentaires constituent un réseau alimentaire non linéaire qui décrit des voies interconnectées de consommation et de transfert d’énergie. La consommation et la fourniture d’énergie n’est pas la même pour chaque élément, même si le bilan est zéro.

    Autre analogie : les niveaux trophiques supérieurs ne produisent pas leur propre énergie et doivent donc consommer des producteurs ou d’autres formes de vie qui consomment elles-mêmes des producteurs. Tous les organismes d’une chaîne alimentaire, à l’exception du premier organisme, sont des consommateurs. Les consommateurs secondaires mangent et obtiennent de l’énergie auprès des consommateurs primaires, les consommateurs tertiaires mangent et obtiennent de l’énergie auprès des consommateurs secondaires, etc.

    Au niveau trophique le plus élevé se trouve un prédateur au sommet ; un consommateur sans prédateurs naturels dans le modèle de la chaîne alimentaire.

    Lorsqu’un niveau trophique meurt, les détritivores et les décomposeurs consomment leur matière organique pour produire de l’énergie et expulsent les nutriments dans l’environnement sous la forme de leurs déchets. Les décomposeurs et les détritivores décomposent les composés organiques en nutriments simples qui sont restitués au sol. Ce sont les nutriments simples dont les plantes ont besoin pour créer des composés organiques.

    En attendant, il vaut mieux être prédateur que proie, se disent les « consommateurs » qui ne produisent rien et consomment beaucoup de cette énergie qu’en économie vous baptisez « richesse ».

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