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Pierrot

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  • Pierrot 11 février 10:38

    @Gégène
    Je n’ai pas retrouvé la version de la vidéo dont vous parlez (RT via Stratpol), ni (encore ?) trouvé le passage que vous citez sur les versions issues de TCN (Tucker Calson Network), lesquelles sont plus courtes de 2 min 30 par rapport à la version originale et sont entrecoupées d’images d’illustrations.

    Quoi qu’il en soit, les traductions en français (complètes) du passage en question donnent bien « président français ». Mais comme Vladimir Poutine a bafouillé et que Tucket Calson lui a coupé la parole, on ne saura pas ce qu’il voulait dire à propos du président français (voulait-il le citer ou évoquer ses actions), ni duquel il voulait parler (Macron ? Hollande ? ...), ni s’il s’agissait seulement d’un lapsus.



  • Pierrot 11 février 09:24

    @GoldoBlack
    Étonnamment, ce n’est pas de la propagande russe dont on parle.

    Vous détournez toujours la discussion du sujet quand on parle des choses qui vous dérangent ?



  • Pierrot 11 février 09:19

    @sylvain
    Il n’est pas non plus interdit de chercher à comprendre ce qui est écrit, en revenant aux bases élémentaire de grammaires (en l’occurrence, en déterminant à quel nom est associé l’adjectif).

    Ici on ne parle pas du processus politique, mais du pragmatisme du personnage, pragmatisme qui est qualifié d’apolitique, c’est-à-dire qui ne serait pas basé sur des considérations liées à la politique en tant que telle ni à son fonctionnement (partis, idéologies, processus électifs, etc.). L’expression employée me semble d’autant moins difficile à saisir qu’elle découle d’une partie ce qui précède.

    C’est donc plutôt vous qui créez une contradiction en interprétant le texte comme l’opposé de ce qu’il signifie... apparemment pour lancer des accusations de totalitarisme, conformes à la propagande occidentale sur le sujet, laquelle tente justement par ce moyen de nous faire oublier notre propre situation en la matière.



  • Pierrot 6 janvier 02:18

    @Gérard Luçon
    L’abruti, c’est celui qui n’a pas compris que la règle des scrutins est « qui ne dit mot consent », et qui autorise donc la réalisation du pire des choix possibles en n’allant pas voter pour tenter de s’y opposer (quand bien même tous ces choix seraient proposés par le « système », comme vous le prétendez).

    Car, ne vous en déplaise, quitte à se faire avoir, il est encore préférable de choisir la vaseline que la pâte abrasive !

    En effet, cette inaction, c’est ce qui permet aujourd’hui aux pires des candidats (dont les actions politiques étaient par ailleurs parfaitement prévisibles) de se faire élire avec moins de voix que le nombre d’abstentions et de suffrages non exprimés, puis d’avoir le champ libre faute d’une réelle opposition.

    En y succombant (ou pire, en en faisant l’apologie), vous vous rendez de facto complice des exactions du « système » que vous dénoncez. Comme dirait l’autre : « ... Dieu se rit des prières qu’on lui fait pour détourner les malheurs publics, quand on ne s’oppose pas à ce qui se fait pour les attirer. »

    Après, vous pouvez toujours critiquer et vous plaindre si ça vous chante, vous l’interdire ne changerait pas le seul point vraiment important, qui est que le mal a été fait et que nous en payons tous les conséquences.
     

    Je rappellerai juste que s’il est devenu si difficile d’échapper au « système », c’est avant tout parce que des générations d’abstentionnistes, de démissionnaires politiques et de je-m’en-foutistes ont laissé les mafias s’emparer progressivement de nos institutions, au moment des scrutins, mais aussi avant, et après (pour rappel, l’action politique citoyenne ne se limite pas aux élections, encore moins au seul second tour de la présidentielle).

    Mais l’affaire n’est pas terminée. Malheureusement, si l’on continue à laisser faire, la situation est encore appelée à empirer.



  • Pierrot 10 décembre 2023 02:33

    @amiaplacidus
    Pourtant ces questions ne sont pas sans intérêt.

    Quand le thermomètre indique 35°C, cela ne signifie pas forcément que le patient est en hypothermie ou qu’il est décédé depuis quelques heures. Dans la grande majorité des cas, c’est seulement le signe que le thermomètre a mal été utilisé ou qu’il est défectueux.

     

    D’une manière générale, il ne suffit pas de regarder les résultats d’une étude pour tirer des conclusions, il faut également s’intéresser à la manière dont ils ont été obtenus et à ce qu’ils représentent précisément. Cela permet de découvrir d’éventuels biais (pas nécessairement intentionnels) dans la façon de les produire ou de les présenter, et de savoir comment les interpréter correctement.

    Notamment, s’agissant de performances humaines, les critères qui dictent leur évaluation sont souvent le reflet d’une idéologie sous-jacente. En particulier, on reproche fréquemment aux études de l’OCDE de distribuer de bons ou de mauvais points du point de vue des seuls intérêts de la classe dominante.

     

    Bref, au-delà des questions l’objectivité et d’honnêteté de ce classement, il serait intéressant de savoir si une mauvaise place signifie que les étudiants concernés sont idiots, que leur profil est moins conforme à la culture occidentale officielle, ou qu’ils sont moins facilement exploitables par de gros capitalistes.

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