• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Pierrot

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 0 345 0
1 mois 0 10 0
5 jours 0 4 0

Derniers commentaires



  • Pierrot 18 février 12:35

    @rosemar
    Nous sommes prêt à considérer toute critique qui serait de bonne foi et honnêtement argumentée. Mais ce que vous nommez « critique » tombe clairement dans le registre de l’insulte, de la calomnie et de la tentative de manipulation.



  • Pierrot 16 février 01:43

    @Jelena
    J’ai pu constater que dans le domaine du développement informatique, on était déjà souvent considéré comme périmé vers 40 45 ans.

    Cela dit, les discriminations basées sur l’âge ne se limitent pas aux seules embauches dans les entreprises. Les rapports sociaux tendent également à changer de manière radicale quand on devient quinquagénaire, ou du moins quand on commence à en présenter les signes extérieurs. Le jeunisme ambiant semble produire naturellement une forme de détestation contre les personnes perçues comme âgées.



  • Pierrot 11 février 12:30

    @Matlemat
    Non, le choix de pousser les véhicules électriques, c’est pour justifier l’éolien et le solaire, lesquels sont très largement subventionnés pas les taxes (constatez le montant sur votre facture d’électricité) et nécessairement adossés à des énergies pilotables (hydraulique autant que faire se peut ; nucléaire tant que c’est encore possible ; charbon, gaz et fioul pour le reste, ce qui cause aujourd’hui cette forte augmentation du prix de l’électricité).

    Cette politique est transposable (nombre de pays s’équipent en centrales nucléaires actuellement) et, à puissance produire équivalente, s’avère certainement moins chère, plus écologique et plus efficace que la plupart des EnR.

    Enfin, si l’effet sur les émissions de CO2 apparait négligeables, il n’en reste pas moins effectif. Supprimer le nucléaire en maintenant notre niveau de consommation ne fera qu’augmenter très largement ces émissions (production des EnR incluses dans le bilan).



  • Pierrot 11 février 12:11

    Vous rêvez debout !

    Depuis plusieurs décennies, ce sont les antinucléocrates qui sont à la manœuvre.

    Si Macron (notre spécialiste du « en même temps ») parle de relancer le nucléaire, on lui doit aussi d’avoir rendu cette éventualité de moins en moins envisageable (vente de nos industries à l’étranger, perte de nos savoir faire, fermeture de la centrale modernisée de Fessenheim, etc.).

    Si la rentabilité du nucléaire a chuté, c’est parce que tout a été fait pour le saborder depuis trente ans, notamment en remplaçant la solution française intégrée qui marchait (EDF+Framatome) par une autre, basée sur le modèle allemand, industriellement éparpillée, mal maîtrisée et fort coûteuse (il suffit de constater où en sont rendus nos projets EPR aujourd’hui). Malgré cela, notre nucléaire reste encore moins coûteux financièrement et écologiquement que les nouvelles EnR, dont le recours forcé a surtout abouti à relancer l’industrie charbonnière.

    Aujourd’hui, le cap sur le nucléaire est maintenu par la force des choses, parce que les EnR ne sont pas une solution viable face à l’augmentation exponentielle de nos besoins en énergie, parce que les énergies fossiles vont finir par nous manquer, et parce qu’à ce jour on ne dispose toujours pas de solution meilleure et réaliste, sinon qu’au travers de vagues promesses non tenues ou intenables.



  • Pierrot 11 février 11:40

    @Lonzine
    C’est parce que le recours à l’arme nucléaire est l’option la plus vraisemblable, non seulement parce que les doctrines de dissuasion qui ont cours dans les deux camps l’exigent, mais aussi parce que son usage comme moyen tactique est à l’ordre du jour (notamment aux États-Unis).

    Une invasion russe de l’Europe apparaît comme un pur fantasme. Quand bien même les Russes la souhaiteraient, ils n’en ont pas les moyens matériels ni l’opportunité stratégique.

    La population mobilisable par la Russie se limite à 20 millions d’âmes, contre près de 125 millions pour l’OTAN, dont 50 millions pour la seule Union Européenne, laquelle couvre une superficie de 4,233 millions de km².

    L’option d’une longue guerre d’usure face à un ennemi inférieur en nombre (comme actuellement en Ukraine) n’étant pas envisageable, il ne resterait comme alternative à la Russie que l’anéantissement violent et rapide de leurs ennemis.

    Ce ne sont donc pas des chars russes qu’on risque de voir débouler aux portes de Paris, ni des pétards hypersoniques destinés à faire écrouler quelques-uns de nos bâtiments, mais plus certainement des missiles à tête nucléaire capables de raser d’un coup des régions entières. Avec pour conséquence automatique une riposte par les mêmes moyens.

    Il m’est d’avis qu’une telle éventualité ne surviendra que si la Russie se retrouve gravement menacée, ce qui est malheureusement compatible avec les velléités atlantistes de cette dernière décennie. La participation directe de notre pays ou d’un autre membre soumis de l’OTAN à des actions militaires contre le territoire de la Russie, son État ou ses intérêts fondamentaux (la sécurité à ses frontières, notamment) entrainera très certainement, d’une manière ou d’une autre, le déclenchement du scénario nucléaire redouté.

    Tout cela n’a bien évidemment rien à voir avec la défense de notre pays ni des intérêts de notre nation.

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv