Pierrot

@Jean Keim
... ou encore l’Union des Républiques Socialistes Soviétiques.

D’une part, en toute rigueur les différentes définitions données au terme « république » (c.f. dictionnaire de l’Académie Française, de l’édition de 1694 à l’actuelle) n’en ont jamais exclu les régimes oligarchiques, totalitaires, autoritaires ni dictatoriaux.

D’autre part, force est de constater qu’en politique, on nomme bien moins souvent les choses par ce sont qu’elles sont que par ce qu’on tente de suggérer qu’elles seraient.

 
La « république » est donc loin de suffire à désigner un régime démocratiquement acceptable.

Pour ne pas arranger les choses, on continue de qualifier le régime actuel de « Vème République », alors qu’en réalité il n’a plus grand chose à voir avec celui institué sous De Gaulle en 1958. 

Quand on voit le degré d’abrutissement du public manipulé (entre ceux qui ne voient pas que CNews fait de la propagande et ceux qui ne voient pas que les autres chaînes n’en font pas moins — chaînes publiques comprises), il y a peu d’espoir que ça s’améliore.

@Grincheux
J’admire votre propension à détourner l’attention des lecteurs en évoquant des faits qui n’ont que peu sinon rien à voir avec le sujet.

Le pet des éléphants sauvages n’est pas une émission anthopique. Avant l’ère industrielle, ces animaux pétaient déjà, et en bien plus grand nombre, sans que cela ait jamais posé problème. D’ailleurs, quand bien même on les exterminerait totalement (ce qui n’est pas loin d’arriver), cela ne changerait pas grand chose au problème de fond dont il est question ici.

En l’occurrence, ce ne sont pas les pets des poissons rouges, des chiens ou des chats qui posent problème, mais l’énormité de la consommation de ressources essentielles (notamment d’énergie) et les rejets industriels qui résultent de leur élevage.

Or, la présence de l’immense majorité de nos animaux de compagnie est de notre seul fait, et résulte de nos seuls choix. On pourrait donc aisément décider de s’en passer.

Rien que pour les chiens ou les chats, il est question de centaines de millions d’individus, principalement situés (sans surprise) dans des pays riches dont les modes de vie en font par ailleurs les principaux responsables actuels de l’épuisement des ressources et du saccage de la planète.

Si l’impact d’un animal de compagnie ne représente qu’un dixième de l’impact d’un habitant d’un pays riche, alors cela signifie que cet impact est encore nettement supérieur à celui d’un habitant du reste du monde. Globalement, l’impact de nos animaux de compagnie équivaudrait à celui de plus d’un milliard d’humains lambda. Excusez du peu !

@eau-mission
Votre lien, qui parle d’emploi à haute dose d’Ivermectine, me semble justifier pleinement la position du Modérateur.

@njama
Aux dernières nouvelles (ce matin, 25 août) les deux enregistreurs de vol sont toujours introuvables. (Des rumeurs non vérifiées avancent qu’ils auraient pu être retrouvés et récupérés par des membres de Wagner présents sur place.)

Après examen des restes de l’avion, les enquêteurs privilégient la piste de l’engin explosif caché à bord, notamment dans le compartiment technique situé à l’arrière, près des toilettes.

Les témoins au sol auraient entendu deux explosions. On estime possible qu’il y ait eu deux bombes.

@Eric F
On sait depuis encore plus longtemps que les sanctions économiques sont inefficaces et qu’elles produisent souvent l’exact opposé de l’objectif annoncé. Les exemples concernant des pays pourtant bien plus faibles que la Russie n’ont pas manqué (Rhodésie, Afrique du Sud, Cuba, Iran, Corée du Nord, Venezuela...).

Il y a donc un moment où il faut arrêter de croire ce qu’on nous raconte en prenant pour des échecs les résultats systématiques d’une action politique répétée, et commencer à croire en ce qu’on voit en considérant ces échecs comme faisant partie du véritable but recherché.

En adoptant ce point de vue, à la longue l’observation de ces soi-disant dommages collatéraux des politiques mises en œuvre finissent par faire la lumière sur les objectifs réels de ceux qui les décident et sur ceux qui en sont effectivement les cibles.