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Pierrot

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  • Pierrot 10 août 2019 06:48

    « Pour avoir connu 1969, il faut avoir au moins 65 ans aujourd’hui. »

    Pas d’accord. Ceux qui avait moins de 15 ans en 1969 ont également pu connaître les événements et situations que vous rappelez et avoir eu conscience de tous les bouleversements survenus à cette époque et depuis lors.



  • Pierrot 29 juillet 2019 11:24

    @Pierre Régnier

    Si l’on considère que les États-Unis d’Amérique sont le premier pays à pratiquer les crimes de masse à travers le monde au nom de leur religion (« In God We Trust  »), on peut douter des chances qu’une telle demande puisse aboutir.

    D’ailleurs, on peut se demander dans quelle mesure cette demande est pertinente. Si vous commenciez par définir puis identifier objectivement les « théologies criminogènes », sans en oublier, vous trouveriez surtout des prétextes pour mener encore plus des conflits religieux partout dans le monde. Les conséquences de ces derniers ne seraient bien évidemment pas « au profit des enfants du monde ».

    Il paraît évident que les problèmes dont il est question ici ne peuvent (doivent) pas être abordés sous cet angle.



  • Pierrot 22 juillet 2019 15:48

    @OMAR
    Je réfute le qualificatif de « camps de concentration » que vous employez.

    J’ai justement vécu, jusqu’à mes 27 ans, dans l’une de ces fameuses grandes « cités-dortoirs » HLM d’environ 7000 âmes située à plusieurs lieues de Paris.

    Le point commun de tous les habitants de ces cités, c’était leur faible niveau de revenu, parce que c’était la condition d’accès aux appartements et studios proposés. Pour rappel, HLM signifie « Habitation à Loyer Modéré ».

    Pour des questions d’urbanisme et d’économies d’échelle, la densité de population de ces cités était forcément importante. Il y avait donc bien « concentration » de population, mais certainement pas constitution de « camps ».

    La population étant issue des classes sociales les moins aisées, non-propriétaires et prioritairement sans logement, elle était donc majoritairement composée d’immigrés. Mais elle comptait également une part de français « de souche » comme mes parents qui, bien qu’ils travaillaient dur, n’avaient pas d’autre moyen pour mettre un toit décent au-dessus de nos têtes.

    Dans une période de crise du logement (qui d’ailleurs est toujours d’actualité), nous vivions en HLM parce que cela restait pour nous, et de loin, la meilleure solution : financièrement abordable, fonctionnelle, confortable (voire luxueuse, pour les années 60/70) et pas démesurément éloignée des centres d’activité (l’autre alternative étant de s’exiler en zone rurale).

    Loin d’être une mesure discriminatoire, vivre dans ces cités était une aubaine. Quand on pense aux bidonvilles qu’elles ont avantageusement remplacés, elles représentaient une amélioration inespérée. (Comme j’ai encore récemment vu des immigrés l’exiger, certains préfèreraient se voir offrir gratuitement une maison individuelle en proche banlieue ou bien un appartement parisien sur les grands boulevards... mais de qui se moque-t-on ???)

    En revanche, j’ai vécu la ghettoïsation de ces cités. Celle-ci n’a pas été le fait d’une volonté des pouvoirs publics (comme on les en accuse trop aisément), mais d’une partie (au départ très minoritaire) de la population immigrée, caractérisée par son refus de s’intégrer et par un penchant marqué pour un communautarisme ethnique ou religieux. Les gens qui n’appartenaient pas à la communauté dominante ont dans leur grande majorité fini par partir : ceux qui ne l’ont pas fait naturellement à la faveur d’une amélioration de leur situation l’ont fait sous la contrainte (vexations, intimidations, menaces, racket, agressions, cambriolages, voitures brûlées, ...) ou en sont morts, et les candidats pour prendre leur place en ont été dissuadés ou ont été sélectionnés par les membres influents de la communauté (népotisme, fraudes à l’attribution, ...). À certains endroits, plusieurs communautés concurrentes (maghrébines, sub-sahariennes, etc.) ont pu se succéder en utilisant les mêmes procédés. Ces dernières années j’ai constaté le même phénomène dans de nouvelles cités construites près de chez moi.

    Si aujourd’hui « les cités » sont aux mains de communautés foncièrement étrangères, ce n’est absolument pas parce qu’elles auraient été conçues comme des « camps de concentration ». Le prétendre revient à frelater l’Histoire et à développer une propagande visant à faire passer pour des victimes de l’État et des Français les responsables et les bénéficiaires de cette situation anormale.



  • Pierrot 22 juin 2019 23:16

    Je viens de terminer l’article ... à grand peine !

    Si l’on met de côté ma vue défaillante qui tend à rendre tout déchiffrage laborieux, ce texte s’avère quand même assez difficile à lire. Il est particulièrement long (de deux à quatre fois la taille de la plupart des articles postés sur ce site !), son style est heurté, le plan et les articulations n’apparaissent pas de façon flagrante, il n’y a pas d’introduction pour planter le décor ni résumer le contenu, et même le sens du titre n’est pas évident tant qu’on n’a pas déjà bien avancé dans la lecture. Je peux donc comprendre que certains aient pu abandonner avant d’arriver à en découvrir le sujet.

    Or, il me semble que le point de vue présenté ici est essentiel et mériterait d’être largement diffusé.

    Je pense donc que l’article mériterait vraiment d’être ré-travaillé afin de le rendre plus accessible aux lecteurs (certainement la grande majorité) habitués à des formats plus concis, à des explications plus directes ou à un accompagnement plus soutenu dans les raisonnements.



  • Pierrot 8 juin 2019 15:38

    @Arogavox

    Quand vous suggérez qu’aller voter serait du « larbinat », vous oubliez que ne pas le faire revient à se comporter en mouton qu’on mène à l’abattoir. Car jusque maintenant, point de contre-attaque : vous ne donnez pas le bâton (ceux qui vous frappent en ont déjà un), mais vous présentez le dos (et accessoirement celui de vos concitoyens non-consentants) afin qu’on puisse plus aisément y enfoncer une baïonnette.

    Qualifier l’abstention de « boycott » n’est rien d’autre qu’un point de vue personnel, par ailleurs démenti par les conséquences réelles et observables des scrutins. N’en vous déplaise, ne pas exprimer sa voix n’aboutit absolument à rien d’autre que laisser faire ceux qui votent, particulièrement les plus fervents soutiens au système qui se trouvent ainsi assurés de leur majorité relative.

    Quand bien même l’abstention serait l’expression d’un rejet (ce que je crois personnellement), rien ne permet de l’affirmer, encore moins de contredire la proposition inverse, puisque la règle pratique et évidente de ces scrutins est « qui ne dit mot consent ».

    En vous abstenant sous prétexte qu’aucun des résultats possibles ne vous sied, vous laissez la voie libre au pire que vous pourriez craindre. Le vote pour une liste qui ne soutiendrait pas pleinement le régime actuel (et il y en a !) exprimerait déjà de façon incontestable une forme d’opposition, et constituerait au moins une petite gêne politique pour les gagnants attendus : ce serait toujours mieux que ne rien faire du tout.

    L’ânerie, c’est d’aller bouder dans son coin en croyant que cela améliorera les choses. L’expérience prouve que c’est tout le contraire. Le fait est que la situation n’a jamais autant empiré que depuis que l’abstention bat des records. Si aujourd’hui le gain espéré pour un vote contestataire reste à la marge, c’est bien parce que ce « laisser faire » dure depuis longtemps (pour rappel, l’abstention était déjà à 30% pour le traité de Maastricht alors qu’il ne manquait que 1,5% pour faire gagner le NON, et elle aurait pu peser sur les premiers tours des présidentielles de ces quatre dernières décennies afin d’élire des candidats moins prompts à nous précipiter dans des réformes délétères).

    Ce n’est bien évidemment pas le vote seul qui nous empêcherait d’aller dans le mur, mais au moins il permettrait de ralentir un peu la machine, et ainsi de donner à d’autres modes d’action plus de temps et de chances de se développer et d’aboutir.

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