@Massada Quel est votre problème
en Israël pour protester à propos de décisions liberticides, c’est
très exactement cette régression que vous soutenez personnellement
en France !
La
contagiosité n’a jamais vraiment été contestée : à preuve
lors des dernières variantes du virus, les vaccinés pouvaient
continuer à contaminer benoîtement leur entourage à rebours de la
communication officielle qui prétendait le contraire !
Ce
qui est éminemment critiquable, c’est ce déni permanent des
faits : absence de stock tampon de masques, dénuement de
l’hôpital public (depuis le passage de la tarification à l’acte
mise en place par Roselyne Bachelot et la bureaucratisation
introduite par la création des ARS) qui voyait le personnel médical
enrubanné de sacs poubelles au plus fort de la première vague. Sur
la masse des contre-vérités proférées, aucun repentir, aucun
mea-culpa a contrario de toute démarche scientifique qui postule la
possibilité de l’erreur et son dépassement. Juste la morgue des
esprits trop subtils pour le commun des mortels !
Un
dernier exemple pour la route : le vaccin mis au point par la
start-up française Valneva est le seul à posséder au niveau
européen l’habilitation (AMM) définitive, lorsque tous les autres
sont encore au stade conditionnel. Rationnellement il aurait dû être
autorisé en France par la « Start-up Nation » : que
nenni, la réindustrialisation attendra, il s’agit d’écouler les
stocks européens négociés dans des conditions couvertes par le
secret des affaires à fort parfum de scandale.
Comment
dans ce conditions empêcher le doute de s’installer ?
Néanmoins
il est permis d’affirmer que la rigueur n’est pas vraiment ce
qui a caractérisé l’action du gouvernement au début des
évènements de Wuhan. Il faut rappeler que le mari d’Agnès Buzyn
avait participé à l’inauguration du laboratoire de virologie P4
de Wuhan, ce qui présupposait une familiarité du couple
avec la dangerosité de certains virus. Et pourtant les militaires de
la base aérienne de Creil qui ont réalisé le rapatriement des
français à partir de Wuhan ont rapidement pu bénéficier de
permissions sans subir ni confinement, ni même de dépistage, d’où,
même si cela a été « officiellement » démenti, la
coïncidence de l’apparition des premiers foyers dans cette aire
géographique.