-
Accroissement de la dette sous le quinquennat Sarkozy : 630
milliards, dont 109 dûs à la crise des subprimes de 2008 ,
-
Accroissement de la dette du premier quinquennat Macron : 600
milliards, dont 165 imputés à la crise Covid ,
Mais
ces parangons de la doxa ultra-libérale (tellement subtils qu’ils
ne peuvent être compris du commun des mortels) continuent à nous
imposer leur « There is no alternative » en
ponctionnant misérablement chômeurs et futurs retraités pour
amadouer les marchés.
Quid
du bilan de la suppression de l’impôt sur la fortune ? Quid
des 170 milliards versés en 2022 aux entreprises en termes de
création d’emplois ou de réindustrialisation ?
Un
niveau d’incompétence rarement atteint qui mériterait le prix du
père Ubu de la Phynance !
Au
delà de la provoc, un poil léger ce
regard éxogène :
-
l’âge légal ne signifie rien s’il n’est pas associé à la
durée de cotisation, ce qui aboutit
à un âge réel de départ bien supérieur ;
-
avec 44 % des plus de 56 ans au chômage, désormais réduit à
3 ans pour les seniors, soit une population au RSA (sous conditions
de ressources) de 59 à 64 ans, vous ne voyez pas le problème du
haut de votre promontoire ?
A
ce demander -puisqu’il faudrait absolument se fondre dans le nouvel
ordre économique mondial-pourquoi les
Sicaires refusèrent
de le faire dans
un empire romain
si attirant !...
A
quand le récit dithyrambique de la tournée triomphale de Macron en
Afrique ? Avant une visite en Chine auréolé du soutien sans
faille de l’opinion publique française.
A
contrario, le projet régressif du gouvernement agit comme un
révélateur pédagogique des déséquilibres de la société
actuelle : il n‘y a pas meilleure illustration des choix de
société ou meilleur aiguillon pour imaginer d’autres solutions
que le TINA ( https://reporterre.net/La-retraite-autogeree-par-les-travailleurs-a-existe
).