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Fergus

Fergus

Autodidacte retraité au terme d'une carrière qui m'a vu exercer des métiers très différents allant d'informaticien à responsable de formation, je vis à Dinan (Côtes d'Armor). Depuis toujours, je suis un observateur (et de temps à autre un modeste acteur) de la vie politique et sociale de mon pays. Je n'ai toutefois jamais appartenu à une quelconque chapelle politique ou syndicale, préférant le rôle d'électron libre. Ancien membre d'Amnesty International. Sur le plan sportif, j'ai encadré durant de longues années des jeunes footballeurs en région parisienne. Grand amateur de randonnée pédestre, et occasionnellement de ski (fond et alpin), j'ai également pratiqué le football durant... 32 ans au poste de gardien de but. J'aime la lecture et j'écoute chaque jour au moins une heure de musique, avec une prédilection pour le classique. Peintre amateur occasionnel, j'ai moi-même réalisé mon avatar.

Tableau de bord

  • Premier article le 31/07/2008
  • Modérateur depuis le 22/11/2008
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Fergus fergus 20 octobre 2008 11:06

    Effectivement, Sarkozy ne change pas d’un iota les orientations de sa politique nationale. Et s’il endosse une tunique de gauche pour prôner sur la scène internationale le retour de l’Etat dans l’économie, c’est moins par pragmatisme face à la situation que pour redorer son image dans l’hexagone et jouer sur le plan international une partition démarquée de l’idéologie dominante libérale où il aurait été concurrencé de toutes parts et n’aurait pu revendiquer un leadership évènementiel rendu possible par l’extrême faiblesse de Bush.



  • Fergus fergus 20 octobre 2008 10:56

    Le problème n’est pas venu des accords de Bretton Woods, car aussi discutables qu’ils aient été, ils ont permis de repartir sur des bases cohérentes à la sortie de la guerre, mais de Kingston. C’est à ce moment qu’il aurait fallu tout remettre à plat au lieu de créer les conditions d’une dérégulation débridée.

    La nécessité de cette remise à plat est aujourd’hui rendue urgente par l’importance de la crise et la certitude que, faute d’une régulation drastique, les mêmes causes reproduiront très vite les mêmes effets. Qu’on qualifie les futurs accords de "nouveau Bretton Woods" n’a que peu d’importance, l’important résidant dans le contenu de ces accords... s’ils voient le jour ! 



  • Fergus fergus 17 octobre 2008 17:59

    Punir les coupables reviendrait en effet pour Sarkozy, l’actif complice de Balladur et le thuriféraire du libéralisme débridé à l’américaine, à démissionner de ses fonctions pour provoquer une élection présidentielle et susciter ainsi un grand débat national sur le nouvel ordre économique souhaité par les Français.

    Mais ne rêvons pas : quelques lampistes seront sacrifiés et des demi-mesures prises pour donner l’illusion d’une véritable régulation. Après quoi les financiers, la crise passée, s’engouffreront de plus belle dans les brèches que l’incurie des gouvernants aura laissées dans le système. JUusqu’au prochain krach !



  • Fergus fergus 17 octobre 2008 16:35

    Un jour, le grand Architecte a créé le pot de terre et lui a dit : tu seras un subalterne, mais je te donne une once d’espoir d’échapper à ta condition. En parallèle, il a créé le pot de fer et lui a dit : tu seras riche et puissant, mais je te donne une once de conscience.

    Depuis, le pot de terre a eu beau faire, il n’a jamais réussi à inverser les rôles dans sa confrontation avec un pot de fer goguenard. Alors le pot de terre, condamné à ne jamais sortir de sa condition, a perdu l’espoir. Et le pot de fer, assuré de garder sa suprématie, a définitivement fait taire sa conscience.

    Ainsi en va-t-il, depuis des millénaires, des rapports des peuples et de l’oligarchie, et l’on aura beau faire, il est à craindre que, sitôt la sortie de crise, le pot de fer ne retrouve très vite sa morgue et son avidité face à un pot de terre rendu encore plus vulnérable par cette crise.



  • Fergus fergus 17 octobre 2008 11:20

    Le Tour de France, gangréné par un dopage massif, n’est plus qu’un pitoyable spectacle sportif dont il faut attendre des mois pour connaître les véritables classements. Et encore, les vainqueurs dopés éliminés sur tapis vert lasissent leur place à d’autres qui, eux, ont échappé le jour-dit, aux contrôles et sont par conséquent tout aussi suspects.

    Malheureusement le discours de gens comme Prudhomme (le directeur du Tour) et Laporte est du genre lénifiant : grâce à notre action, disent-ils, le dopage est en voie de régression. c’est évidemment faux, et les nouvelles formes d’EPO le montrent. D’où la nécessité, soit de frapper un grand coup en supprimant sine die le Tour de France jusqu’à résolution du problème, soit d’accepter une fois pour toute le dopage, aux risques et périls des coureurs, les impératifs commerciaux l’emportant sur l’éthique sportive. Une seule chose est sûre : l’hypocrisie n’est plus de mise !

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