Désolé croa , mais je pense que les dernières infos en
provenance du renseignement français et américain infirment le fait que le coup porté soit israélien.
"Les services américains n’ont observé « que de faibles
dégâts sur les structures de l’hôpital ». « Il n’y a pas de dégâts
observables sur le bâtiment principal de l’hôpital, ni de cratère
d’impact », peut-on encore lire dans des extraits de cette note.
Des éléments de renseignement indiquent que « des
combattants palestiniens dans la bande de Gaza ont estimé que l’explosion a
probablement été provoquée par une roquette ou un missile défectueux tiré par
le Djihad islamique », selon les extraits du document consultés par l’AFP."
Maintenant comme je le disais plus haut, quelle que soit la vérité,
l’emballement médiatique et les croyances exacerbées, rendent tout jugement irrationnel.
On ne sait plus prendre du recul sur l’info médiatisée en
direct ; C’est un sacré problème qui peut nous emmener vers un conflit
majeur dans ces régions, tant les gouvernements intéressés sont soumis aux délires
des masses.
Qui a tiré sur l’hôpital de Gaza ? L’opinion est faite sur les réseaux sociaux
et certains medias, et ce sans savoir, comme d ‘habitude, sans prendre du
recul, et sans se poser les questions, bref en pure réaction affective.
Pourtant, cette région est surveillée de très près via
satellite par une bonne dizaine de pays majeurs ; Pays qui doivent déjà
avoir analysé les vidéos et données, et qui doivent savoir qui est à l’origine
du tir.
Du tir ou peut être de l’explosion, car cela peut être
également une charge explosive terrestre qui a été actionnée.
Qu’Israël soit responsable ou que ce soit le Hamas qui se soit
servi des « gazaouis », pour sa cause, jamais aucun des deux acteurs
ne le reconnaitra.
Quelle que soit la vérité dévoilée, le mal est fait, les peuples
en conflit depuis 70 ans, les uns pour leur survie, les autres pour leur
terre auront très peu de chance de « recoller les pièces ».
Pour les autres observateurs, la solution sage est
d’attendre les informations avant de juger ou prendre parti, et encore si tant
est que les infos « officielles » soient admises par des populations
qui ont perdu le réflexe d’analyse.
Bien voilà une analyse pragmatique, venant d’un écologiste
convaincu. la marche forcée vers le tout
électrique, décidée par les instances européennes, n’est pas la panacée ; Ni
pour les citoyens , ni pour l’économie. Vous savez très bien que je fais partie
des gens qui pensent sincèrement que vouloir orienter le climat par action sur
le CO2 fossile n’apportera pas grand-chose comme effet contrairement à ce qu’une certaine doxa nous assène
depuis plus de 40 ans. Mais comme de toutes façons il faudra s’extraire de la dépendance
des pays pétroliers, qui jouent depuis trop longtemps la spéculation irrationnelle,
autant le faire en changeant le paradigme actuel, et en modifiant très profondément
les règles mises en places par l’Europe. Nous sommes producteurs d’électricité nucléaire
et hydraulique, il n’est pas normal de remettre l’énergie « propre »
dans les mains d’un marché spéculatif au sein de l’Europe. N’en déplaise à nos « amis »
Teutons qui se sont fourvoyés dans le gaz russe. Si on veut du tout électrique
les élites aux commandes doivent contrôler et réguler les prix de cette énergie.
Après le choc pétrolier de 1973, Pompidou et Giscard qui avaient lancé le
programme nucléaire, avaient bien compris l’importance de disposer d’une énergie
pilotable et a cout maitrisé pour que l’économie française soit indépendante
des fluctuations des prix du pétrole. Tout est affaire de volonté politique, et c’est au niveau européen
qu’il faut taper du poing.
« Sans
doute vaudrait-il mieux organiser des débats télé, ou chacun pourrait exposer
clairement sa position. Plutôt que de prétendre que le changement climatique ne
doit plus faire débat. »
C’est
malheureusement ce qui ne se fait plus depuis une dizaine d’années, je me
souviens de débats très contradictoires sur le plateau de CSOJ France 3 (Fréderic
Taddei) , entre J. Jouzel et V.Courtillot et Jouzel et François
Gervais…. Depuis Taddei a été…. Remercié par la chaine publique.
Le
problème c’est de ne voir que par les rapports du Giec, canal unique d’information
des décideurs politiques. Pour ceux qui comme moi suivent cette affaire depuis
la fin des années 80 et la création de l’IPCC (Giec) en 1988, il est évident
que dès le départ le Giec biaise ses informations.
la
thèse de l’effet de serre radiatif par levier CO2, initiée par Fourier et Arrhenius
fin 19 siècle, puis adoptée comme « vérité » par l’équipe de Bert
Bolin, premier directeur du Giec, n’est pas vérifiable ; Et c’est une des raisons pour lesquelles de très
grands spécialistes du climat se sont désolidarisés des comités de relecture du
Giec, l’ont fait savoir et ont alors été qualifiés de climato sceptiques (
Richard Lindzen, roy Spencer, Sorokhtin
et Al ; Ferenc
Miskolczi , Gehrard
Gerlich et Ralf. D. Tscheuschner, et tant d’autreschez nous comme
Vincent Courtillot, Serge Galam, François Gervais, Georges Geuskens, Camille Veyres , jm Morane,
Jean-Marc Bonnamy, etc*…. Ces
gens seraient-ils des ignares, des incompétents ?
L’argument
utilisé par la doxa Giec est la relation augmentation CO2 depuis
l’industrialisation et température.
Il
est donc tentant d’utiliser les données des archives paléo climatiques pour
tester le lien entre variations des températures et variations du CO2 sur
des exemples réels.
Dès les années 1980, les carottes prélevées dans les glaces de
l’Antarctique a Vodstock ont permis de mettre en évidence la corrélation très
étroite, qui a prévalu par le passé, entre la concentration en CO2 et
la température en Antarctique. Cette observation semble ainsi confirmer la
théorie de l’effet de serre.
Cependant
il faut rester prudent et précis : cette corrélation entre CO2 et
température ne signifie pas que
le CO2 estla cause des variations de température.
On sait qu’une part majeure de ces fluctuations est liée à des processus
astronomiques. Et la température peut
également être la cause des variations de CO2 via les
échanges de CO2 entre l’atmosphère, l’océan et la
végétation. Dans ces conditions, il n’est pas anormal que les changements de
température aient pu précéder ceux du CO2, à certains moments
dans le passé,
On
a tout simplement fait, par modélisation des corrélations, augmentation
températures par le levier effet de serre et taux CO2 ; ce n’est pas une
démonstration, aucune causalité n’a été
recherchée.
Le
CO2 est un gaz dit « à effet de serre », mais il n’a pas l’importance
que certains scientifiques lui donnent dans le réchauffement constaté.
Je
remets ici en lien sur deux documents accessibles à toute personne intéressée
par la physique de l’atmosphère, ayant un peu de bon sens :
Si on laisse passer cette loi, c’est la confirmation de la
censure, de la négation des principes basiques de l’esprit scientifique.
De toutes façons c’est déjà le cas depuis quelques années.....Encore
faut-il distinguer ceux qui réfutent le réchauffement, qui sont vraiment dans
le déni, et ceux qui doutent de l’effet majeur du CO2 que la doxa met dans le même panier.
En matière climatique, on touche à des éléments aussi
complexes que les océans, l’atmosphère, le soleil bref, la nature ; il parait
logique que les hypothèses développées par les tenants de la théorie du
réchauffement anthropique, et ceux qui émettent des doutes à ce sujet, soient
normalement exposées. C’est loin d’être cas.
Toutes les informations, tendant à insinuer que l’origine
anthropique n’est pas la seule responsable de ce réchauffement, sont
verrouillées ou considérées comme fantaisistes, leurs auteurs qualifiés de
climato sceptiques voir de partisans de la terre plate et bannis, depuis le début
2010 de la plupart des médias !!!!
Etonnant quand même que de très nombreux scientifiques et pas des moindres, ne
partagent pas l’avis des tenants de la doxa : Une forme de censure est de
retour, le nier serai un déni de réalité. La doxa a parlé, le dogme est
affirmé.
Faut-il encore une fois rappeler que les présuppositions sur
le rôle essentiel du CO2 anthropique dans le réchauffement climatique sont
passées de l’hypothèse, au postulat. Elles sont devenues des vérités par la
grâce « performative » des
spécialistes du GIEC.
« La
rigueur scientifique des analyses diffusées par le GIEC, a été sacrifiée et
il va inévitablement en découler des décisions politiques inadaptées. Il y a une part imprévisible dans le climat
que la science ne pourra jamais appréhender. » Dixit Roger Pielke senior, en 2005 une des référence en
climatologie.
Ce qui se cache derrière ce système complexe lié aux
énergies fossiles et aux visées prétendument vertes, c’est ni plus ni moins que la marchandisation de l’atmosphère.
C’est pourquoi il faut à tout prix éviter que les termes de
ce débat soient monopolisés par les experts issus de l’unique filière GIEC. Et
bien on s’apprête à décider le contraire …aux armes !!!!