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Les Bradonneurs - Collectif Citoyen

Les Bradonneurs - Collectif Citoyen

Les Bradonneurs sont un collectif citoyen transpartisan tourné vers l'activisme social en faveur des travailleurs et des classes populaires et moyennes. Résolument anti-élitistes, nous souhaitons l'instauration d'une démocratie directe, une Réublique aux mains propres dont les élus seraient non plus les seigneurs mais les serviteurs du peuple. Bien qu'impliqués dans la vie de la Cité, nous nous définissons comme apolitiques dans la mesure où nous ne sommes affiliés à aucun mouvement ou courant politique en particulier et que nos membres sont issus d'horizons divers, avec pour socle commun la défense du peuple face aux groupes dominants.

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  • Premier article le 28/03/2023
  • Modérateur depuis le 17/04/2023
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Derniers commentaires



  • @spiritwalker

    Votre commentaire révèle les fractures profondes qui divisent la société française, voire occidentale, à la grande satisfaction des élites.

     

    Les questions de « race », de genre, d’orientation sexuelle etc. sont avant tout des cache-misères pour masquer la seule véritable oppression : l’oppression sociale.

     

    De ce point de vue, nationalistes comme antiracistes, féministes comme masculinistes, sont des idiots utiles au service du Système puisqu’ils se déchirent entre prolétaires tandis que les élites se gobergent impunément. Aux Etats-Unis, il est de notoriété publique que les BLM et les Proud Boys sont tous deux financés par des milliardaires. Et au lieu de se tourner contre ces derniers, ils préfèrent se taper dessus entre eux.

     

    Un véritable mouvement révolutionnaire est effectivement pour l’émancipation, il condamnera le racisme et le sexisme comme formes d’oppression contraires à la dignité humaine, mais il appréhendera ces personnes comme membres d’un prolétariat oppressé au lieu de es ramener à leur essence de minorités et de dilluer ainsi la lutte. Une millionnaire noire et homosexuelle est tout autant un ennemi de classe que le serait un "mâle blanc cisgenre" de la même classe sociale, ce que la gauche actuelle a bien du mal à comprendre. Et ce n’est pas mieux à droite : il n’y a qu’à voir l’engouement pour les médias du milliardaire Bolloré ou la firme familiale du RN.


    Tout le mauvais génie des élites est d’avoir persuadé les gens qu’ils doivent se battre pour leur appartenance communautaire plutôt que pour leur classe sociale. Un jeune Noir de Détroit sera ainsi persuadé que son voisin blanc Bill qui trime à l’usine est un oppresseur et que des multimillionnaires comme Oprah Winfrey et Meghan Markle sont des opprimées comme lui. Et Bill, lui, sera persuadé que le milliardaire Trump sert ses intérêts et que son voisin noir est un ennemi. C’est sur ces haines essentialistes que prospèrent les élites. L’un des rares qui a vu l’entourloupe est Kanye West, regardez comment il a fini… Cet acharnement montre bien que les élites veulent maintenir les luttes essentialistes pour mieux faire oublier leur joug aux prolétaires et éviter une révolution.

     

    Tant qu’on n’aura pas réalisé l’inanité de ces luttes particulières au profit de l’intérêt général des pauvres de tous horizons, il n’y aura pas de lutte collective contre l’élite.



  • Bonjour @Fergus. Nous sommes convaincus que si une grève générale transpartisane, regroupant les travailleurs de tous les secteurs, mais aussi les étudiants, les retraités et les chômeurs se mettait en place, on aurait la Macronie à l’usure au bout de quelques semaines, à coups de blocages, de sit-ins et de manifestations qui paralyseraient la vie économique du pays. L’échec n’est pas, selon nous, dans cette stratégie de la grève générale, mais plutôt dans le manque de volonté pour la mettre en place. Les clivages sont tels dans le pays (gauche / droite, privé / public, conservateurs / progressistes, etc.), souvent inventés de toutes pièces par le pouvoir et les lobbys pour mieux diviser, qu’une telle union populaire relève hélas de l’utopie. Nous en avons bien conscience. Il ne s’agit bien sûr pas d’hypocrisie de notre part : nous croyons sincèrement à l’efficacité de la grève générale et nous la souhaitons de tout coeur, mais nous avons le réalisme de constater que celle-ci ne se fera probablement pas, faute d’un réveil général qui en est le prélude nécessaire. L’objet d’un prochain article de notre collectif est précisément de décrire la stratégie du « harcèlement » du pouvoir dont vous parlez, en cas de validation même partielle de la loi. Mais il s’agit selon nous d’un pis-aller : faute de pouvoir fédérer suffisamment les Français pour organiser une grève générale, il faut à tout le moins se tourner vers cette stratégie d’actions ciblées.

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