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Pascal L

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  • Pascal L 31 juillet 2014 17:30

    « bien sur que non ils ne sont pas perpendiculaires, l’eraflure sur l’aile donne l’angle……… »

    Et bien dans ce cas les trous d’entrée des obus sont ovales. A 45°, on un rapport de 1,7 entre la longueur et la largeur du trou, c’est donc parfaitement visible. La logique veut que cet angle soit encore plus faible, on devrait avoir de grandes entailles sur le fuselage et non des trous ronds. Et ces entailles devraient s’être écartées à cause de la dépressurisation.
    L’origine de l’éraflure sur l’aile ne me semble pas encore déterminée. Il y a tellement de cause possible entre les débris provenant d’une explosion du missile, les débris de l’explosion de l’avion et la collision avec le sol.
    De toute façon, pour une attaque au canon, le chasseur doit se placer derrière pour que la cible ne bouge pas dans son viseur. Les trous à l’avant ne peuvent définitivement pas provenir d’obus de 30mm.


  • Pascal L 31 juillet 2014 13:52
    Oups, mon doigt a fourché en recopiant le chiffre. La bonne réponse pour la première question est 150000 coups minute.
    A 45° le trou commence à être visiblement ovale, ce qui n’est pas le cas.
    Si j’ai simplifié l’énoncé, c’est pour que le raisonnement ne soit pas trop compliqué, mais cela ne change pas grandement les résultats. 
    Dans ce cas, il faut tenir compte de la vitesse du chasseur qui ne nous est pas connue. A 45°, le chasseur doit voler à une vitesse supérieure à la vitesse du son pour être en rapprochement (900 x racine de 2) et il ne peut plus tirer (tir impossible en vol supersonique). Nous en déduisons que le chasseur prend du retard sur l’avion et le résultat est pire encore. Un canon ne peut être utilisé que par un tir sur l’arrière.
    Reste que le chasseur peut faire une manœuvre, mais alors la probabilité d’atteindre le but avec des impacts réguliers est à peu près nul.
    Si la cadence est si élevée sur ces canons, c’est que la probabilité d’atteindre une cible, même fixe, est à peu près nul. En principe, un seul obus qui touche fait tellement de dégâts sur un avion qu’il suffit à le descendre. Rien que la décompression qui s’ensuit détruirait l’avion et ses passagers.
    Désolé si le style du message vous a choqué.


  • Pascal L 31 juillet 2014 12:15

    Je ne crois pas du tout que l’on puisse panacher les munitions. Il est vrai qu’une munition explosive explose après la traversée d’un blindage, mais dans le cas présent la traversée du fuselage aurait créé une forte décompression qui aurait déchiré le fuselage aux points d’entrée. Le trou fait par ce genre de projectile devrait plus avoir la taille d’une porte que d’une piqure.


    Maintenant, je vais commencer à distribuer les bonnets d’âne. Le problème que je vais exposer est du niveau de l’entrée en sixième, donc prenez une feuille et notez l’énoncé. 
    Soit deux avions A et B sur deux trajectoires perpendiculaires (ben, les balles ont bien l’air d’être rentrée perpendiculairement au fuselage). L’avion A circule à une vitesse de 900 km/h et arrive le premier sur le point de croisement. L’avion B en profite pour tirer une rafale d’obus de 30mm qui font des trous sur A dont la projection sur l’axe horizontal est de 10cm.
    Question : quelle est la cadence du tir ?
    Question subsidiaire pour ceux qui ont répondu à la première question : quelle est la température du canon de B après une rafale de 5 coup ?
    Z’avez un quart d’heure avant que je ramasse les copies.

    Bon, pour ceux qui sèchent, je fourni la réponse à la première question : 250000 coups/minutes. Bon là, on arrête de rigoler et on abandonne définitivement l’hypothèse du canon.
    La question 2 est devenue sans objet.


  • Pascal L 31 juillet 2014 11:39
    « le ralentissement des gains de productivité renvoie à l’insuffisance des investissements de modernisation, elle-même liée à l’insuffisance des moyens financiers des entreprises. » 
    Ce constat est parfaitement juste, mais je n’irai pas jusqu’aux conclusions. L’insuffisance des investissements provient du coût exorbitant du financement de l’investissement. Les grands investissements demandent plusieurs années avant de produire des effets et avec le système actuel de financement basé uniquement sur le prêt, il faut rembourser intérêt et capital bien avant de toucher les premiers bénéfice. Avec un retour supérieur à deux ans, le coût financier est prohibitif et n’intéresse plus les financeurs. Les seuls qui peuvent encore investir sont les entreprises qui ont assez de bénéfices pour pouvoir réinvestir (Airbus par exemple). 
    Il est indispensable de financer les investissements avec des capitaux permanents ou quasi-permanents. Lorsqu’un état est maître de sa monnaie, il peut faire en sorte que les investissements soient transformés en part de capital. Cela a fonctionné en france jusqu’en janvier 1973 (vous avez dit 40 ans, comme c’est bizarre) et la loi Giscard. L’Euro a figé ce mode de fonctionnement dans le béton, le rendant irréversible, mais il n’est effectivement pas à l’origine du problème.
    Il est vrai qu’en 1973, nous avions une inflation à deux chiffres qu’il fallait combattre, mais le remède a été pire que le mal. A cette époque, la monnaie pouvait être émise sans contrôle par toutes les agences gouvernementales. Au lieu de mettre en place des contrôle et limiter l’émission aux seuls investissements, l’état a préféré se débarrasser du problème.
    Il serait possible de faire une sortie par le haut en abandonnant le monopole de l’Euro et en créant des monnaies spécialisées indépendantes. De toute façon, si l’Europe ne réagit pas, les monnaies virtuelles comme le Bitcoin prendront la main et il ne restera plus aux états que les yeux pour pleurer, car il ne pourront plus prélever d’impôts sur des transactions devenues invisibles.


  • Pascal L 31 juillet 2014 11:10

    Il me semble qu’il s’agit d’une conséquence d’un système économique ou la prédation l’emporte sur la création de richesse. Ce système réussit à une infime partie de la population. Le problème est que beaucoup voudraient faire de même et évitent de critiquer ceux qui vivent de la prédation. Il est beaucoup plus simple de s’en prendre à ceux que l’on considère comme socialement inférieurs et qui pourraient être des concurrents. On va donc critiquer les étrangers qui viennent consommer des prestations sociales plutôt que ceux qui ont mis en place un système injuste. Le Front National l’a très bien compris et en a fait son fond de commerce.

    L’absence de courtoisie est un marqueur de la montée de cet individualisme qui est aussi un racisme. Cette attitude est encouragée par l’attitude d’une bonne partie de nos gouvernants qui nous font penser que la seule morale possible s’énonce « Je fais ce que je veux et j’em… tout le monde ».
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