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Jordi Grau

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  • Premier article le 30/08/2008
  • Modérateur depuis le 24/04/2009
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Derniers commentaires



  • Jordi Grau Jordi Grau 21 juin 2017 11:40

    @Christian Labrune

    Je suis totalement en désaccord avec vous. Rousseau a écrit bien des choses discutables, mais je ne vois pas en quoi il y a quelque chose de totalitaire dans son Contrat social. La société qu’il décrit dans ce texte fondamental est égalitaire. Les masses n’y sont pas soumises à un parti unique qui vise à formater les consciences et à faire marcher tout le monde d’un même pas. Rousseau dit même qu’il faut interdire les factions, ou - si cela est impossible - faire en sorte qu’elles soient nombreuses et petites, de manière à ce que l’intérêt général ne souffre pas de l’influence de groupes de pression.. Et s’il existe une contrainte légale, elle n’est pas pire que celle qui existe dans les « démocraties » libérales : Rousseau dit seulement que celui qui ne respecte pas les lois sera sanctionné. Il n’y a vraiment pas de quoi fouetter un chat.

    Pour le « socialisme » des nazis, il faudrait faire la part entre les discours et la réalité. Les nazis ont reçu le soutien d’une part importante de la grande bourgeoisie industrielle allemande. S’ils avaient été vraiment socialistes, croyez-vous qu’ils se seraient si bien entendu avec Krupp et Siemens ? Certes, il y avait bien un fraction anticapitaliste : la SA. Mais elle a été rapidement mise au pas, et d’une manière plutôt violente....

    Enfin, je soutiens que les dictatures se réclamant du marxisme ont en grande partie trahi leurs idéaux de gauche. On ne peut pas prétendre travailler à l’instauration d’une société égalitaire tout en créant des inégalités de pouvoir monstrueuses. La dictature du prolétariat, telle que Marx l’entendait, c’était la dictature de la majorité des travailleurs, imposant sa loi à la minorité bourgeoise. On peut certes la critiquer, mais elle n’a rien à voir avec la dictature du parti unique.



  • Jordi Grau Jordi Grau 21 juin 2017 11:30

    @Christian Labrune

    Mon article manque sans doute un peu de nuances. Mais il faut avouer que Hollande Ier (en admettant qu’il ait été vraiment de gauche) n’a pas duré très longtemps. On pouvait voir Hollande II pointer sous Hollande Ier dès le départ, quand la promesse de renégocier le TSCG (ou Pacte budgétaire européen) n’a pas été tenue.

    Quand au centre, je ne suis qu’à moitié d’accord avec vous. Les sociétés européennes (mais pas seulement) glissent de plus en plus vers la droite depuis des décennies, si bien que les mots d’aujourd’hui n’ont plus le même sens que dans les années 60 ou 70. Ce qu’on appelle aujourd’hui « centre », « socialisme », « réforme » se disait à l’époque « droite », « centre-droit » et « régression ».



  • Jordi Grau Jordi Grau 21 juin 2017 11:22

    @Pierre-Yves Martin

    Mon article étant déjà très long, j’ai préféré ne donner que quelques éléments de réponse. Il est évident que mes explications n’ont rien d’exhaustif, et vous avez raison de mentionner d’autres moyens de pression que ceux que je mentionnais. Cela dit, les bons vieux moyens dont je parle dans mon billet (déstabilisation de l’économie, coups d’État) pourraient encore servir à l’avenir....



  • Jordi Grau Jordi Grau 9 mai 2017 19:23

    @Dom66

    Où avez-vous vu que je pleurais sur le passé ?

    Je dis tout le contraire : il faut que tous ceux qui sont contre la politique antisociale de Macron regardent vers l’avenir et se préparent à combattre ensemble.



  • Jordi Grau Jordi Grau 9 mai 2017 19:19

    @alinea

    Ce que j’entends par triomphalisme, c’est un discours du genre : « Ah ! Comme je suis content(e), dans mon malheur, de m’être abstenu(e). Au moins j’ai la satisfaction d’avoir été dans le bon camp. C’est pas comme ceux qui ont voté Macron, qui sont soit des salauds de riches, soit des pauvres d’esprit intoxiqués par les médias. » Ce discours, je l’ai lu sur différents forums. C’est un peu celui d’Ariane Walter, personne que j’apprécie par ailleurs, mais que j’ai trouvé un tantinet arrogante et méprisante. Mis à part mon amour-propre personnel, je pense que ce genre de propos est en grande partie inexact (les gens qui ont voté Macron ne sont pas tous des salauds ou des victimes de la propagande médiatique). Et même en admettant qu’il soit exact, il est contreproductif. On ne peut pas se payer le luxe, quand on est si peu nombreux (7 millions, ce n’est pas mal, mais c’est encore très insuffisant), de se montrer méprisant ou rancunier, alors qu’on est par ailleurs si proche.

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