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Jean Keim

Jean Keim

 
Je dis ce que je sais, je sais ce que je crois, je crois ce que je dis.
Je sais donc je pense ainsi la pensée est un processus.
Chaque être humain est un croyant, c’est inévitable, c’est inhérent au savoir.
Il ne faut pas croire tout ce que nos pensées nous suggèrent.
 
Nous naissons à la vie pour renaître et mourons pour mourir à nouveau.

Tableau de bord

  • Premier article le 16/07/2013
  • Modérateur depuis le 08/07/2014
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Derniers commentaires



  • Jean Keim Jean Keim 31 janvier 2014 17:33

    <<Ce club réuni toutes les rock stars décédées à l’âge de 27 ans >>
    Ils se rencontrent au cours de séances de spiritisme :->



  • Jean Keim Jean Keim 28 janvier 2014 10:27
    Une autre vision utopiste mais humainement envisageable actuellement :
    En voyant l’effroyable désordre dans lequel se trouvait le monde après la révolte des serfs, devant la peur panique qui taraude chaque camp vis à vis de ses adversaires, en comprenant que l’affrontement direct ne mènera nulle part sinon dans une impasse, avec son lot de morts, de misère et de ruines, les belligérants se réunirent et après les inévitables échanges verbaux stériles dictés par les ressentiments, les plus avisés proposèrent de rechercher la cause profonde de l’état du monde car après tout il résulte d’un « ordre » tacitement accepté.
    Chacun y alla de son point de vue qui n’était que l’expression de ses opinions, de ses intérêts ou de ses croyances et bien évidemment une réflexion menée sur de telles bases ne peut pas aboutir à une vision neuves, le plus sage des hommes avisés eut une intuition fulgurante et l’exposa aux autres : depuis que le monde est monde, il est bancal, il doit y avoir un facteur néfaste, commun à tout les êtres humains, trouvons le ! 
    Et chacun repartit de plus belle dans la rhétorique, pendant ce temps, le plus sage des hommes avisés s’étant mis en retrait du débat, observait tout ce beau monde qui s’agitait et compris la source profonde du problème, il présentait un défi que personne ne voyait et qui exigeait une réponse neuve alors que les protagonistes faisaient appel à leur mémoire pour trouver la solution mais on ne peut pas résoudre les problèmes avec les modes de pensée qui les ont engendrés (dixit A. Einstein) ; la pensée est parfaite pour résoudre les problèmes matériels du quotidien mais inadaptée pour tout ce qui exige une création pure et notamment pour répondre à un défi intégrant des désordres psychologiques.
    Tant que nous « réagirons » ainsi, jamais nous ne sortirons du cercle vicieux dans lequel nous sommes enfermés depuis des temps immémoriaux, ce schémas est le même dans toutes les couches de la société qu’elle soit primitive ou « moderne », dans nos relations familiales, amicales, professionnelles, dans les loisirs, dans les relations entre états, bref partout et tout le temps, nous sommes le jouet d’un personnage qui n’a aucune consistance, un artefact créé de toute pièce par notre ... identification à un contenu qui a la réalité que nous lui accordons.


  • Jean Keim Jean Keim 26 janvier 2014 16:10

    Il y a deux aspects en cause :
    1- Les mathématiques sont un langage structuré qui décrit un ordre, comme il y a un ordre (géométrique ?) dans l’Univers donc pas de contradiction, nous faisons partie de la nature.
    2- Par un raisonnement inductif / déductif, les phénomènent sont représentés (simulés) par un langage mathématique, un tel raisonnement s’appuie sur un savoir et suivant l’art et l’habilité du mathématicien, le résultat colle plus ou moins avec les faits observés mais reste une convention relative qu’une personne sensée ne peut prétendre être la vérité absolue.
    Il est à noter que les maths se sont enrichies de nouvelles fonctions et de nouvelles branches au fur et à mesure que la recherche s’est développée en complexité et dans des domaines différents, par exemple l’artillerie a développé une branche permettant l’étude de la trajectoire d’un projectile permettant un résultat plus précis que l’utilisation de tables empiriques.



  • Jean Keim Jean Keim 26 janvier 2014 10:29

    Un questionnement et sa réponse - s’il en est - repose sur un contenu, connu, la mémoire qui constitue notre savoir.

    Dans les âges de l’humanité, il y eu des époques où la savoir était dans un rapport « magique » avec le monde et les réponses l’étaient tout autant, on peut se gausser d’une telle démarche mais elle repose donc sur un savoir comme l’est celle de la nôtre dite rationnelle et scientifique.
    S’il nous plait de croire qu’elle est la seule valable, alors elle l’est puisque c’est notre conviction qui n’est en fait qu’une croyance.
    Nous passons tous par des événements qui psychologiquement sortent de l’ordinaire, lors de leur déroulement ils sont plus ou moins bien vécus et ensuite le rappel de leur souvenir, extirpé de notre mémoire, constitue l’expérience qui vient enrichir notre savoir et ainsi nous enferme encore un peu plus dans notre bocal mental. Notre appréhension du monde ne se fait plus par la découverte mais par la référence à notre savoir ; nous constatons que nous fonctionnons ainsi depuis que l’humanité à une histoire mais sans aucun doute depuis des temps beaucoup plus ancien. Le hic est qu’à un problème qq. soit, nous apportons toujours une réponse ancienne, obsolète, que la réponse soit celle d’un scientifique, d’un mathématicien, d’un philosophe, d’un religieux ou d’un pilier de bistrot voire même d’une personne ayant fait une expérience dite « transcendante ». 
    Quand un événement est vécu dans sa totalité, il ne laisse pas de trace psychologique dans notre mémoire et ne vient pas polluer notre savoir, passer un coup de balai après le repas ne vient pas normalement nous perturber (quoi que !), et là le savoir trouve sa justification en temps que « utilité pratique », ce qu’il n’aurait jamais du cesser d’être.


  • Jean Keim Jean Keim 25 janvier 2014 18:35

    Si effectivement des gens mal intentionnés déversent des cochonneries délétères dans l’atmosphère, pulvérisées par des avions, ils oublient un détail important que personne ne relève d’ailleurs : ils habitent la planète qu’ils empoisonnent et tôt ou tard ils en pâtiront également sauf bien entendu s’ils ont en tant que ET ou copains avec eux, la posibilité de s’échapper de là, le temps que le tout s’arrange. smiley

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