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Les commentaires de Jean Keim



  • Jean Keim Jean Keim 26 avril 08:49

    Il a été réélu ce qui en dit long sur d’une part le niveau de conscience de ses aficionados, et d’autre part sur les forces secrètes qui manipulent les élections.

    Le président de ceux qui ont voté pour lui, comme tout un chacun, est dans son mode de penser, si nous oublions cette évidence alors nous serons toujours manipulables, c’est pas plus compliqué que ça.

    Être manipulé par un (notre) mode de penser, ce qui est le cas de quasiment tout le monde, au moins pire c’est être névrosé, ça peut aller jusqu’à la psychose.



  • Jean Keim Jean Keim 26 avril 07:58

    Merci madame pour vos articles malgré que je pense ne pas tout comprendre.

    Plus nous vivons vieux et plus nous augmentons la probabilité d’êtres malades et/ou de mourir bientôt.

    Je trouve parfois que certains médecins se comportent comme des techniciens, à l’instar d’un mécanicien qui avoue ne plus pouvoir comprendre les voitures modernes, et qui pour dépanner s’en remet à une valise électronique qui se raccorde sur un connecteur prévu à cet effet, ce qui a pour conséquence d’amener le remplacement d’un tas de pièces ‘’au cas ou’’ elles seraient ou deviendraient défectueuses.

    Paradoxalement, une certaine médecine préconise de prendre des médicaments dans le but de ne pas tomber malade, ou encore prescrit des médicaments afin de protéger contre les effets indirects risquant de survenir à cause de la prise d’autres médicaments.



  • Jean Keim Jean Keim 26 avril 07:29

    @zygzornifle

    La terre pourrait-être un jardin, nous en faisons une décharge publique.



  • Jean Keim Jean Keim 25 avril 13:30

    << ... , il est indéniable que nous sommes dominés par nos savoirs. >>

    Le comprendre n’est déjà pas évident, mais combien le perçoivent ? Comprendre au mieux ajoute du savoir à ceux existants, percevoir est plus profond, plus essentiel.



  • Jean Keim Jean Keim 25 avril 08:09

    @Hervé Hum

    Des scientifiques envisagent effectivement que certains traits de notre personnalité peuvent être génétiquement transmis à notre descendance.

    A vous lire j’ai le sentiment que nous sommes coincés dans les diktats d’une loi causale qui nous empêche, à l’instar des animaux, de sortir de notre condition d’êtres humains égotiques, ballottés par des forces qui inexorablement nous dominent, cette approche me semble notamment faire le lit des religions et de leurs prêtres ou gourous, il est indéniable que nous sommes dominés par nos savoirs.



  • Jean Keim Jean Keim 23 avril 14:50

    @Hervé Hum

    << l’acquis devient un action de forme innée lorsque la pensée à trouvé une réponse qui est jugé satisfaisante et donc ne la pose plus et est alors acquise de manière pérenne, donc, prend une forme inné. Et inversement, pour se défaire de l’inné, il faut reposer la question de sa pertinence et donc passer par le mode acquisition. >>

    Mon dieu que vous êtes compliqué, une réponse (ou une lecture, une acquisition, une conversation, une vidéo, etc.) devient un savoir, c’est dans ces savoirs que puisent le processus du penser pour perdurer, ce qui induira une ré-action qui pourra être simplement une autre pensée, un enchaînement de pensées ou autre chose.

    Il ne s’agit donc non pas d’inné, mais d’une remémoration donc d’une récurrence, un aller-retour entre le passé et le présent, parfois pour imaginer le futur.

    L’ego est en fait la pensée, les savoirs, la mémoire tout cela se manifeste dans un processus identitaire qui structure notre personnalité.



  • Jean Keim Jean Keim 22 avril 19:29

    Et si nous arrêtions siècles après siècles de répéter toujours les mêmes usages ou mœurs comme allant de soi : une minorité friquée parasite impose ses règles à une multitude exploitée qui n’a pas conscience de sa force. La sacré sainte propriété privée joue un rôle énorme dans l’état du monde.



  • Jean Keim Jean Keim 22 avril 19:07

    @Marc Dugois

    J’ai quand même la conviction que nous devons nous débarrasser de l’argent-fric qui est un cancer, cet argent est le prolongement d’un mode de penser malade, malade il faut l’être pour avoir comme objectif de vie de devenir (très) riche, en sachant tous les dégâts que ça peut provoquer, seulement le remplacer par quoi ?

    Répondre c’est retomber dans le déjà connu, il faut d’abord et avant tout la volonté de virer le fric point barre, et ensuite on verra bien.



  • Jean Keim Jean Keim 22 avril 13:47

    @Francis, agnotologue

    J’ai écrit : << Pour ceux qui ne percuteraient pas, >> je pense que c’est clair, c’est ciblé mais sans arrière-pensée.

    Vous avez écrit : << Ce n’est pas parce qu’on est seul à formuler une évidence qu’on est le seul à en avoir conscience. >>

    Le seul ! non ! Je n’ai pas cette prétention, mais je ne me fais pas d’illusion, la prise de conscience est avant tout intellectuelle et le problème est du même acabit, l’intellect reste à un niveau mental, il évolue au sein d’un mode de penser.

    Alors une évidence... en êtes vous sûr ?



  • Jean Keim Jean Keim 22 avril 09:31

    Tout comportement prend naissance dans un mode de penser, c’est de là qu’il nous faut partir pour comprendre le monde qui nous entoure.

    Pour ceux qui ne percuteraient pas, nos comportements dans la société dépendent de nos croyances qui découlent de nos savoirs, que ces derniers soient culturels et/ou cultuels fondamentalement cela ne change rien à l’affaire.



  • Jean Keim Jean Keim 22 avril 09:14

    Texte intelligent qui rappelle, si besoin est, que travaillent plutôt avec des outils qu’avec des stylos, ceux qui sont indispensables à la bonne marche de la société qui pour autant minore leur importance, et ne les rémunèrent pas à leur juste valeur.



  • Jean Keim Jean Keim 22 avril 08:29

    Voilà qui est bien écrit : « L’étymologie du mot richesse est éclairante car, comme le mot allemand reich, il vient du mot franc riki qui veut dire pouvoir. C’est l’argent qui dirige le monde et, même s’il se déguise en démocratie, chacun peut constater qu’au niveau d’une nation, n’est élu que celui qui peut dépenser ce qu’il faut pour l’être. Les idées comptent beaucoup moins que l’épaisseur du portefeuille qui seul donne accès à toutes les formes de communication. »

    Donc tant que nous serons sous la coupe de l’argent-fric, rien ne pourra changer, seulement l’argent-fric n’a pas toujours existé, et comme l’a dit un sage sachem amérindien, l’argent ne se mange pas.

    Comment inventer une civilisation sans le fric, sans pour autant tomber dans les affres d’un communisme stalinien ; comment faire évoluer nos consciences pour ne serait-ce qu’envisager une société pratiquant la solidarité, c’est-à-dire la collaboration, l’entraide et le partage, une telle société n’aura donc pas besoin de fric, il faudra inventer qq. chose de nouveau pour le remplacer... et ne pas tomber dans le piège qui consiste à chercher dans nos mémoires une solution nouvelle car dans nos mémoires il n’y a que du réchauffé.



  • Jean Keim Jean Keim 22 avril 07:58

    Pourquoi se fatiguer à écrire des articles réfléchis et documentés sur un système dont l’objectif est de saper l’économie de notre pays.

    S’il y a un objectif dans tout ce micmac, il ne correspond pas à une volonté bienveillante envers ceux qui par leur travail font, contre vents et marées, tourner la boutique.



  • Jean Keim Jean Keim 22 avril 07:44

    Ah nom de nom ! ils la veulent cette saloperie de guerre, vouloir la guerre c’est faire le lit de ceux qui les trament pour engranger des profits pharamineux, c’est donc si compliqué à percevoir, la guerre c’est le degré zéro de l’intelligence.



  • Jean Keim Jean Keim 22 avril 07:34

    Un médecin est parfois un technicien qui applique des procédures, il y a souvent plus d’humanité parmi les infirmier-e-s et les aides soignant-e-s, en tout cas c’est ce que j’ai constaté.



  • Jean Keim Jean Keim 21 avril 18:50

    @Géronimo howakhan

    Merci pour le commentaire.

    L’hiver tire ses dernières cartouches, et puis il y a encore les Saints de glace à passer, enfin c’est ce qui se dit... en tout cas en mai on fait ce qui nous plait.



  • Jean Keim Jean Keim 21 avril 16:54

    @Francis, agnotologue

    Oui et Non !

    Les puissants ne sont pas plus les maîtres des horloges que les gens qui sont assujettis à leurs diktats ; quasiment toute notre espèce – dominants comme dominés – est sous la coupe d’un processus mental qui dans les faits est le vrai maître des horloges, c’est lui qui régit l’influence de nos savoirs et donc du temps et de l’espace.



  • Jean Keim Jean Keim 21 avril 09:11

    Au-dessus de toutes les opinions et de toutes les analyses qui vont avec, au-dessus de ce pandémonium, il y a bien quand même un cause première agissante n’est-ce pas !?

    Qu’en pensez-vous ?



  • Jean Keim Jean Keim 21 avril 09:09

    Nous jugeons d’après ce que nous savons, d’après ce que nos savoir induisent de convictions et donc de croyances personnelles, toutes les opinions, toutes les analyses partent de là ; on va me rétorquer que dans un contexte où priment les idées il ne peut en être autrement, seulement en prenons-nous la mesure ? Sommes-nous un tant soit peu conscient des conséquences de ce constat ?

    Que peut-il sortir de bon d’un dialogue où chaque idée avec tout ce qui lui est sous-jacent et l’habille est confrontée à d’autres idées du même acabit ?

    A quoi sert un meeting politique quand par exemple les partis de gauche ou de droite réunissent leurs forces en vue d’une élection, mais où chacun reste accroché à un programme parfois quasiment inexistant et à son leader, et où finalement on assiste à une foire d’empoigne égotique, où le ‘’moi-je’’ occupe toute la scène, à croire que la meilleure place est d’être dans l’opposition, contestataire et révolté.

    Parfois n’avons-nous pas l’impression que tout ce cirque est en fait orchestré pour que rien ne change, tant le statu quo est bon pour ceux qui tiennent les ficelles des marionnettes ?



  • Jean Keim Jean Keim 21 avril 08:38

    Nous jugeons d’après ce que nous savons, d’après ce que nos savoir induisent de convictions et donc de croyances personnelles, toutes les opinions, toutes les analyses partent de là ; on va me rétorquer que dans un contexte où priment les idées il ne peut en être autrement, seulement en prenons-nous la mesure ? Sommes-nous un tant soit peu conscient des conséquences de ce constat ?

    Que peut-il sortir de bon d’un dialogue où chaque idée avec tout ce qui lui est sous-jacent et l’habille est confrontée à d’autres idées du même acabit ?

    A quoi sert un meeting politique quand par exemple les partis de gauche ou de droite réunissent leurs forces en vue d’une élection, mais où chacun reste accroché à un programme parfois quasiment inexistant et à son leader, et où finalement on assiste à une foire d’empoigne égotique, où le ‘’moi-je’’ occupe toute la scène, à croire que la meilleure place est d’être dans l’opposition, contestataire et révolté.

    Parfois j’ai l’impression que tout ce cirque est en fait orchestré pour que rien ne change, tant le statu quo est bon pour ceux qui tiennent les ficelles des marionnettes.