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Jean Keim

Jean Keim

 
Je dis ce que je sais, je sais ce que je crois, je crois ce que je dis.
Je sais donc je pense ainsi la pensée est un processus.
Chaque être humain est un croyant, c’est inévitable, c’est inhérent au savoir.
Il ne faut pas croire tout ce que nos pensées nous suggèrent.
 
Nous naissons à la vie pour renaître et mourons pour mourir à nouveau.

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  • Premier article le 16/07/2013
  • Modérateur depuis le 08/07/2014
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Derniers commentaires



  • Jean Keim Jean Keim 20 février 2014 09:40

    Je n’ai pas lu dans le détail toutes les réactions mais il me semble qu’elles s’expriment dans un contexte consensuel, càd une analyse du monde avec les mêmes arguments que ceux qui sont utilisés soit pour le justifier, soit pour le rejeter. On met en balance les demandes de travail et les offres : il y a entre 3 et 5 ou 7 millions de sans-emploi ( c’est pratique les chiffres on s’en arrange comme on veut) dedans il y a les chômeurs déclarés, les exclus et ceux qui pour des raisons qui leur appartiennent ne veulent pas ou plus travailler, et il y a des offres pour ... mettons 1 millions de personnes, voilà le contexte ainsi exposé on en fait son ordinaire, cette situation est interprétée comme quasiment le résultat d’une fatalité.

    Le chômage n’est pas conjoncturel, le monde est riche même avec 7 milliards de terriens (il faudrait quand même ralentir sérieusement la cadence) mais pas partageur ; le chômage est structurel, il est organisé pour être pérenne, c’est du pain béni pour les employeurs, vous connaissez tous la réponse que peuvent faire certains patrons à la revendication d’un salarié « si t’es pas content tu t’casses, il y en a cent à la porte qui attendent ! ».
    Les perspectives ne vont pas en s’arrangeant, il n’y a pas de tâches que la machine informatisée ne pourra pas faire à notre place, c’est une chance extraordinaire à la condition que tout le monde en profite, l’adversaire c’est nous, moi, toi et notre incapacité à inventer un monde nouveau qui se fera ou pas mais qui ne peut pas continuer sur sa lancée, c’est impossible ; alors que choisir : 1- Le meilleur des mondes, 2- 1984, 3- Un mélange de 1+2, ou 4- Ce qui reste encore à créer.


  • Jean Keim Jean Keim 19 février 2014 10:02

    Bonjour Hamed,

    Votre analyse en vaut bien une autre et elle est le résultat de votre savoir. Pourquoi un homme est-il musulman plutôt que hindouiste ou athée ou autre ? Cela tient au conditionnement du milieu de naissance, si vous étiez né dans une famille mettons ... italienne, vous seriez probablement catholique et avec un parcours scolaire idoine vous pourriez écrire un article très érudit sur l’excellence du rôle civilisateur de la pensée chrétienne.
    Le mot clé est « pensée », que sommes nous dans notre individualité tant affirmée, sans notre savoir qui se manifeste par le mouvement de la pensée ? Se poser cette question est le début d’une saine remise en cause, si nous devions nous rencontrer un jour, sur quelle base pourrions-nous communiquer ? Que partageons nous réellement ? Qu’avons-nous en commun, vous, moi et toute l’humanité si ce n’est que nous pensons le monde ? Et pourquoi un mode de pensée serait-il meilleur ou pire qu’un autre, ce n’est qu’un contenu factice ?
    A partir de ce constat accessible à toute honnête intelligence, il est possible d’engager un rapport au monde complètement différent rejetant le faux.
    Fraternellement.


  • Jean Keim Jean Keim 19 février 2014 09:19

    Bonjour Joaquim,

    Comme le dit h. Hotah, l’expérimentation sur l’animal ne nous apprend rien d’essentiel sur la mort, même si nos réactions peuvent aussi être très animales, par contre leur acceptation de la mort est pleine d’enseignement, j’ai vu mourir ma petite chatte d’une infection pulmonaire, jusqu’au bout elle est restée digne, faisant régulièrement sa toilette et me témoignant son affection.
    Parler de la mort est une entreprise ardue qui remue en nous des émotions complexes. De même que désigner une chose par son nom n’est pas la chose en soi, ce n’est pas tant la mort qui est en cause que les émotions qu’elles engendrent en nous. Pour tenter d’être plus clair dans mes propos, dans une conversation sur la mort cette dernière n’est jamais regardée de face mais toujours abordée indirectement, nous parlons de ce que nous connaissons, de nos lectures, de nos croyances, de ce que a pu en dire Laborit, ou Young ou Buddha, ou Jésus ou que sais-je, mais la mort est une réalité de tous les jours, quand j’aurai fini d’écrire ce texte si je veux réellement en finir avec lui alors il faudra qu’il meurt en moi sinon je le traînerai comme un boulet, comprendre la mort est un début, un premier pas mais jamais le voyage ne s’arrête pas même avec la mort physique du corps. Comprendre ne signifie pas savoir, un savoir rempli, la compréhension libère.
    Comprendre la mort n’est pas différent de se comprendre soi-même, c’est un seul et même processus.
    Fraternellement.


  • Jean Keim Jean Keim 16 février 2014 15:50

    PS : h.H simple curiosité, que signifie ton pseudo ? Bonne journée.



  • Jean Keim Jean Keim 16 février 2014 15:49

    Tiens ! il y en a au moins un qui suit, bonjour h.H.
    Le monde en général et celui d’AV en particulier est versatile et cet article n’est déja plus en 1ère page, ceci pour illustrer ce qui est le point commun à tous les êtres humains : la pensée, la pensée qui occupe toute la place et qui à partir de son contenu, la mémoire veut expliquer l’indicible ; mais le plus grand leurre est notre croyance en un penseur qui pense et qui utilise ainsi la pensée sans voir, ce qui n’est pas très compliqué, que sans pensée il n’y a pas de penseur, la pensée crée le penseur et tout ce qui va avec (le savoir) et non l’inverse et cette simple évidence partagée par un grand nombre nous permettra d’avoir un rapport au monde complètement différent, basé non pas sur une énième théorie (pitié il y en bien assez) mais sur l’éveil d’un esprit sain (saint ?).
    Fraternellement.

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