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Jean Keim

Jean Keim

 
Je dis ce que je sais, je sais ce que je crois, je crois ce que je dis.
Je sais donc je pense ainsi la pensée est un processus.
Chaque être humain est un croyant, c’est inévitable, c’est inhérent au savoir.
Il ne faut pas croire tout ce que nos pensées nous suggèrent.
 
Nous naissons à la vie pour renaître et mourons pour mourir à nouveau.

Tableau de bord

  • Premier article le 16/07/2013
  • Modérateur depuis le 08/07/2014
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Derniers commentaires



  • Jean Keim Jean Keim 6 février 2014 16:32

    L’organisation sociétale du monde capitaliste n’est pas d’origine divine et donc inéluctable mais résulte de l’acceptation tacite de tous, en prendre conscience pourrait permettre l’émergence d’un monde réellement nouveau.
    La pyramide de Maslow - et vous prenez bien la précaution de préciser ... qu’elle est définie suivant l’idéologie du travail - mélange deux choses antinomiques :
    Le 1er niveau fait référence aux besoins physiologiques bien concrets, les autres à des besoins psychologiques plus abstraits voire carrément imaginaires, là est toute l’ambiguïté de notre espèce qui vit dans l’univers des idées on leur donnant la consistance de la réalité.



  • Jean Keim Jean Keim 5 février 2014 09:10

    Le regard que nous portons sur le monde est toujours déformé par nos propres images intérieures, celui d’un homme instruit l’est d’autant plus que son savoir est sa raison d’être. La compréhension de cela peut nous amener - au sens du voyage - à observer librement, sans à priori et voir dans un arbre les qualités de l’arbre sans pour autant le nommer. 



  • Jean Keim Jean Keim 5 février 2014 08:51

    <<Comme Polya l’a formulé dans le contexte mathématique, toute résolution de problème débute par une tentative pour assimiler la situation présente à une situation passée déjà résolue. Il s’agit toujours de dégager les points communs, les invariants, en particulier, ceux sur lesquels on sait pouvoir s’appuyer pour aller vers la solution.>>

    Je ne suis ni psy, ni enseignant mais Tony est unique et ne peux se résumer ni à un concept mathématique, ni à un item puisé dans un catalogue.
    La résolution d’un problème par analogie avec un cas similaire donne de bons résultats dans le concret, quand le problème est technique mais qu’en est-il d’un problème psychologique ?
    Il y a également le piège dans lequel nous tombons tous qui est, devant un problème comme celui décrit supra, de consacrer toute son énergie à la recherche d’une solution ce qui en soi crée une deuxième problème qui vient se rajouter et finalement occulter le premier.



  • Jean Keim Jean Keim 4 février 2014 08:52

    ... et savoir n’est que penser le contenu de notre mémoire BM, une croyance comme une certitude ne sont que deux aspects d’une même démarche. Notre plus grand défi n’est pas de penser à mieux penser mais de comprendre le rôle délétère de la pensée et ainsi de la remettre à sa place, place qu’elle n’aurait jamais du quitter, celle d’un outil pratique pour le concret (aller acheter une baguette de pain) mais inadapté pour toute démarche tenant du psychologique (comment vaincre ma timidité face à la mignonne vendeuse de pains). Il est crucial de le voir et plus une personne le verra tôt - je pense aux enfants - et plus tôt cette personne ne sera plus infestée.

    C’est cela un esprit sain(t) avec ou sans « t » comme il te plaira.
    Le buddha après avoir compris l’essentiel, ne voulait pas enseigner ; en fait il avait des choses simples à divulguer mais savait pertinemment que ses paroles seraient transformées en savoir et effectivement c’est cela qui arriva et la fraîche simplicité de son enseignement a été pervertie en une somme dogmatique sans queue ni tête avec des écoles qui s’affrontent et des adeptes qui s’adonnent à des pratiques bizarres comme s’assoir devant un mur et s’évertuer à pacifier le mental, on ne pacifie pas un mental, on l’abrutit.
    Bien fraternellement.


  • Jean Keim Jean Keim 3 février 2014 21:49

    Il ne s’agit pas de juger sans pour autant être inconséquent.

    Un homme sain d’esprit a de saines limites sinon c’est un malade et la maladie peut guérir, avoir des rémissions mais elle peut aussi être incurable, la maladie comme la guérison sont un parcours strictement personnel et en l’état actuel de nos connaissances, la médecine ou l’expert ne sont pas capables de donner un avis fiable sur l’issue de leurs évolutions possibles.
    Le dilemme est simple mais la décision est rationnelle ou pas :
    Dans le cas d’une personne ayant eu un comportement dangereux pour autrui, faut-il pour son bien-être le réinsérer et prendre le risque qu’il rechute et recommence, voire qu’il fasse pire encore. 
    Voilà le problème est posé et quelque soit la décision prise, il y aura des erreurs de commises, c’est inévitable et invérifiable dans le cas où une personne réellement guérie n’est pas libérée ; le choix met en balance d’une part une personne qui a failli et d’autre part un risque pour des tiers.
    Dans le cas de la non libération, il nous faudra en assumer les conséquences et agir avec humanité.
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