Commentaire de Jean Keim
sur Pierre Jourde, La première pierre
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Le regard que nous portons sur le monde est toujours déformé par nos propres images intérieures, celui d’un homme instruit l’est d’autant plus que son savoir est sa raison d’être. La compréhension de cela peut nous amener - au sens du voyage - à observer librement, sans à priori et voir dans un arbre les qualités de l’arbre sans pour autant le nommer.
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05/02 09:10 - Jean Keim
Le regard que nous portons sur le monde est toujours déformé par nos propres images (...)
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