Jean Keim

Bonjour howahkan Hotah,

Bonjour Monsieur Fortin,
Satan a exactement la réalité que nous lui accordons, à l’instar de notre personnalité qui n’est que le résultat d’agrégats que le temps, les expériences et la mémoire ont édifiés et auxquels nous nous identifions. Ils régissent notre vie et génèrent en nous des automatismes similaires à des programmes informatiques.
Je ne connais pas la vraie nature de Jésus et personne ne la connait sinon lui-même et ... ce que Jésus appelait le « Père » ; mais il était un être extraordinaire qui avait le droit de dire « Je suis le chemin, la vérité et la vie » car il ÉTAIT pleinement ce qu’il affirmait sans l’ombre ou le soupçon d’une affirmation égotique, comme nous pouvons dire de l’eau qu’elle est de l’eau, sans l’eau point de vie, et il nous faut réaliser cet enseignement pour être réellement humain et boire l’eau de la vie à sa source.
Lui rendre un culte quelconque c’est dévoyer son message et le temps est un facteur essentiel pour comprendre notre nature illusoire, cela apparait clairement dans la traduction des 4 évangiles par Claude Tresmontant.
Il y a le temps du moment présent et il y a le temps de la période à venir, et quand Jésus parle de la venue du Saint Esprit, il fait référence à l’éveil à notre vraie nature, à l’esprit devenu sain.
Il faut espérer, bien que l’espoir appartienne au temps, que des femmes et des hommes, en nombre suffisant, s’éveillent et enclenchent un processus qui deviendra irréversible.
Fraternellement.

Bonsoir Monsieur Fortin,

Bonsoir,
Essayons de concevoir un concept réellement nouveau et ho stupeur rien ne vient, pas plus que d’imaginer une nouvelle couleur ou un nouveau son, là est la limite du cerveau et de son mouvement la pensée. Que la reflexion se fasse en solitaire ou en groupe ne change rien à l’affaire. Toutes les découvertes réellement créatives sont le résultat d’un bond, une sorte de flash de génie (insight en anglais). Si une bande de savants scientifiques se réunissent pour réfléchir sur un sujet donné, ils ne feront dans le meilleur des cas que réorganiser leurs savoirs respectifs. La réflexion est le rebond des pensées dans la boîte crânienne à l’instar d’un miroir que ne peut que réfléchir que la lumière qu’il reçoit.

L’auteur fait mention d’un problème récurrent, la difficulté de compréhension et de raisonnement des nouvelles générations mais il y en a également un autre tout aussi préoccupant, le manque de capacité à rester concentré sur un sujet. J’ai fait ces constats régulièrement, au cours des dernières années de mon activité professionnelle de formateur dans le domaine de la sécurité dans les installations électriques.
J’ai le sentiment que l’utilisation de l’informatique joue un rôle prépondérant.
Sinon le chômage est simplement une situation conjoncturelle favorable à ceux qui en profite c’est une tautologie que de la dire.