@Perplex
Bonjour,

Effectivement, avant la folie « vaccinatoire » actuelle, certains généralistes sur la base du dogme vaccinal, immunisant et protégeant ont pu conseiller certains de leur de leur patient dont ils connaissent leur comorbidité de se faire vacciner.
Et cela aurait du en rester là.
Après la première vague, devant l’analyse des décès procuré par le virus, au lieu de la stratégie adoptée, il aurait mieux valut, concentrer toutes les forces sur le « public à risques » au lieu d’engager une « vaccination de masse ».

Ce qui est insupportable dans cette affaire, c’est que rapidement les « autorités médicales » ont sut que les vaccins commercialisés n’ont en fait rien à voir avec les vaccins traditionnel tels que nous les connaissons. Ils n’immunise pas, n’empêche pas le vacciné d’être infecté, pire même le vacciné pouvant même contaminer autrui.
Malgré ces faits, les « autorités » ont poursuivis un chemin de vaccination de masse, alors qu’il eut été plus simple de dire que toutes personnes de plus de X années et ceux atteints de problème (en les énumérant) doivent se faire vacciner afin de ne pas succomber.

Un message clair à la population disant que l’analyse de la première vague fait ressortir que 85* % des décès touchent une population de personnes de plus de 80* ans, (avec un peu de détail associés, les gens ne sont pas tous des imbéciles inaptes à comprendre certaines choses), que ces derniers soient enjoint à se faire « vacciné » et de respecter un certains bon sens par une bonne pratique des gestes barrières aurait été à mon sens plus adapté.
Et je pense sincèrement que le public concerné aurait été bien plus important à se jeter sous les aiguilles.
— * Je ne connais pas les vrai chiffres

Ce que je reproche aussi, c’est l’entêtement Gouvernemental à vouloir réduire une épidémie par une vaccination de masse dont « ils » savent fort bien que du fait que les vaccins disponibles n’empêche pas la contamination.
Cette vaccination de masse et successive n’empêchant toujours pas la saturation du système hospitalier public, dont la « destruction » a été entamée sous d’autres mandats.

« Ils » ne savent plus comment se dépatouiller de cette affaire, « ils » poursuivent toujours dans cet entêtement vaccinatoire, cela tient plus d’une conviction que de faits réellement scientifiques.
Trois doses (certainement une quatrième en préparation), n’empêcherons pas un engorgement du système hospitalier public. Même si aujourd’hui un bouc émissaire à été nommé, qu’effectivement ce bouc émissaire se retrouve dans les draps blancs aujourd’hui, il ne constitue pas à lui seul l’engorgement.

Aujourd’hui encore, cours la plus brillante des démonstrations de l’inefficacité de la politique de santé engagée et des vaccins,
Les Français sont majoritairement vaccinés et le nombre de positifs augmente de jours en jours. 
Je dirais, que la « Guerre » est perdue, malgré l’édification d’une ligne Maginot vaccinatoire, l’envahisseur est là, augmente.
Bon il n’y aura pas de ligne de démarcation et le Gouvernement n’aura pas fui c’est la seule différence.
Deux ans de guerre déclarée par le Chef des Armées, aucune communication sur sa guerre perdue, malgré la mobilisation intensive des troupes.

Je m’attend aussi à ce que dans les jours prochains, le Ministre de la Santé prenne la parole pour clamer haut et fort qu’il n’a pas fait de forme grave grâce à la vaccination et qu’il n’a pas contribué à l’encombrement du système hospitalier et de ce fait, se serve de son cas, pour augmenter la pression. Nous ne sommes plus à une manipulation près.