@Claudec
L’article est court, mais l’avez vous
vraiment lu ?
Ce qu’il dit à ce sujet :
« >>>être moins
nombreux : les populations qui ont tendance à se stabiliser
sont précisément celles qui atteignent un niveau de vie moyen que
l’on peut caractériser comme « décent ». »
Ce qu’on peut lire dans une étude
spécialisée :
« Évolution démographique récente des pays développés
Par Jean-Paul Sardon, Observatoire démographique européen,
« Au 1er janvier 2005, la
population de l’Europe (y compris les républiques caucasiennes
issues de l’ancienne Union soviétique) s’élevait à
745,2 millions d’habitants, soit une progression de près de
3 millions de personnes depuis le 1er janvier 2000. En
dépit de cette progression apparente, qui provient pour une part de
corrections à la suite de la dernière vague de recensements , la
population du continent est restée très stable depuis le début des
années 1990. Cette évolution est la résultante de mouvements très
contrastés à travers le continent, puisque la hausse observée en
Europe occidentale s’oppose à la baisse dans les autres grands
ensembles géographiques du continent. La population européenne
diminuerait si un solde migratoire positif ne venait compenser le
déficit du mouvement naturel (tableau A). Pour l’ensemble du
continent, au cours de la période 2000-2004, l’excédent du nombre
des décès sur celui des naissances se traduit par une perte moyenne
annuelle de 976 000 habitants. Cette perte, qui avait tendance à
s’accroître au fil des ans, s’est quelque peu résorbée en
2004, le solde naturel passant de – 1,12 à – 0,68 million. »
https://www.cairn.info/revue-population-2006-3-page-227.htm
Et donc la vraie solution est bien de
combiner progrès social et progrès culturel et éducatif...
Ce qui freine le progrès social, à
l’échelle mondiale, c’est bien le capitalisme, et en premier lieu,
le capitalisme financier.
De plus, avec la crise, même les zones
de progrès social relatif, en Occident, ont tendance à régresser.
Et ce qui se précise, de l’avis de
tous les intervenants, ce n’est pas la solution de la crise, mais bien plutôt
une nouvelle crise, et probablement plus sévère encore que la
précédente.
Et cette fois ci sans la roue de
secours du « Quantitative Easing », déjà en limite
d’usure supportable.
Luniterre