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Commentaire de Luniterre

sur L'ennemi du genre humain…


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Luniterre Luniterre 6 novembre 2018 06:11

@Claudec

L’article est court, mais l’avez vous vraiment lu ?

Ce qu’il dit à ce sujet :

« >>>être moins nombreux : les populations qui ont tendance à se stabiliser sont précisément celles qui atteignent un niveau de vie moyen que l’on peut caractériser comme « décent ». »


Ce qu’on peut lire dans une étude spécialisée :


« Évolution démographique récente des pays développés

Par Jean-Paul Sardon, Observatoire démographique européen,


« Au 1er janvier 2005, la population de l’Europe (y compris les républiques caucasiennes issues de l’ancienne Union soviétique) s’élevait à 745,2 millions d’habitants, soit une progression de près de 3 millions de personnes depuis le 1er janvier 2000. En dépit de cette progression apparente, qui provient pour une part de corrections à la suite de la dernière vague de recensements , la population du continent est restée très stable depuis le début des années 1990. Cette évolution est la résultante de mouvements très contrastés à travers le continent, puisque la hausse observée en Europe occidentale s’oppose à la baisse dans les autres grands ensembles géographiques du continent. La population européenne diminuerait si un solde migratoire positif ne venait compenser le déficit du mouvement naturel (tableau A). Pour l’ensemble du continent, au cours de la période 2000-2004, l’excédent du nombre des décès sur celui des naissances se traduit par une perte moyenne annuelle de 976 000 habitants. Cette perte, qui avait tendance à s’accroître au fil des ans, s’est quelque peu résorbée en 2004, le solde naturel passant de – 1,12 à – 0,68 million. » 


https://www.cairn.info/revue-population-2006-3-page-227.htm


Et donc la vraie solution est bien de combiner progrès social et progrès culturel et éducatif...


Ce qui freine le progrès social, à l’échelle mondiale, c’est bien le capitalisme, et en premier lieu, le capitalisme financier.


De plus, avec la crise, même les zones de progrès social relatif, en Occident, ont tendance à régresser.


Et ce qui se précise, de l’avis de tous les intervenants, ce n’est pas la solution de la crise, mais bien plutôt une nouvelle crise, et probablement plus sévère encore que la précédente.


Et cette fois ci sans la roue de secours du « Quantitative Easing », déjà en limite d’usure supportable.


Luniterre


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