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Nicole Cheverney

Nicole Cheverney

L'ogre a dîné.
Peuples ! Payez la carte.
Béranger

Tableau de bord

  • Premier article le 16/08/2014
  • Modérateur depuis le 22/09/2014
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Derniers commentaires



  • Nicole Cheverney Nicole CHEVERNEY 21 février 2016 12:41

    @microf

    L’occident, donc les US, l’UE, l’OTAN, ça fait du monde au balcon seraient bienvenus de réfléchir à deux fois à ne pas trop taquiner le gros ours de l’Oural. Cependant, si Clinton et sa clique sont élus aux US, alors, elle n’hésitera pas à aller à s’aventurer dans la taïga. Franchement je souhaite que ce genre de walkyrie soit renvoyée dans ses bureaux, ou à la retraite et vite... Je crains que la paix du monde ne tienne qu’au fil ténu de l’hystérie.



  • Nicole Cheverney Nicole CHEVERNEY 21 février 2016 11:56

    @Fifi Brind_acier

    Je l’ai signée par principe. Mais il faudra que le peuple se réveille... On ne peut plus se laisser faire à ce point. Ce serait indigne de nos aïeux qui se sont tant battus pour donner un semblant de justice à notre société. Ce n’était guère parfait jusque là, mais à ce point de non retour, nous sommes dans l’aléatoire, dans le flou temporel, dans cette impression très désagréable d’insécurité perpétuelle.



  • Nicole Cheverney Nicole CHEVERNEY 21 février 2016 11:27

    @Phil610

    Si toutes les lois supranationales sont votées à Bruxelles, les indemnités parlementaires, ministérielles et autres, sont votées où ?

    Ce qui est arrange ne passe pas par Bruxelles, apparemment !



  • Nicole Cheverney Nicole CHEVERNEY 21 février 2016 10:56

    Lorsqu’une politique économique se construit sur un socle de détritus des produits pourris de la financiarisation de la société, il ne peut y résulter que d’irrémédiables souillures envers les peuples. C’est à ce prix que la domination des peuples et des nations se perpétue. But ultime : neutraliser les populations par l’immonde chantage à l’emploi. Cette réforme scélérate verra-t-elle le jour, vraiment, sans que nous ne nous insurgions plus catégoriquement que de signer des pétitions contre ladite loi ?

    Or, ces femmes et ces hommes ni sages, ni conscients prétendent nous gouverner ? Leur manque de principes et de morale que leurs besoins primaires de jouissance matérielle et sans limites, les porte au pinacle du cynisme. Ces femmes et ces hommes au sourire réjoui qui considèrent le reste de l’humanité et des peuples comme de la valetaille, ces corrompus dans l’âme, et qui ressentent un goût immodéré de luxe et de lucre, dans les ors de la république, ne méritent que mépris et opprobre. 

    Ils préparent devant nous, un avenir irrespirable. Les générations futures nous maudiront pour les avoir laissé créer une société irrémédiablement orwellienne. Nous avons là, avec cette loi particulièrement, un modèle de grande violence, celle des puissants faite aux faibles, la guerre des lâches.

    Et de grâce : NE VOUS APPELEZ PLUS SOCIALISTES !



  • Nicole Cheverney Nicole CHEVERNEY 19 février 2016 13:10

    @Luc-Laurent Salvador

    L’illusion principale de Jaurès a été de croire qu’il avait les moyens par ses interventions à la tribune, d’arrêter les préparatifs de guerre 1914/1918. C’était un grand homme, malheureusement entouré de traîtres et surtout d’adversaires haineux et de sinistres personnages résolus à le faire taire.

    Jean Jaurès restera toujours dans la mémoire collective, comme le véritable représentant de la gauche sociale, bref, un vrai socialiste.

    Justement, il faut revenir à ce que disait Jaurès, et essayer, malgré le siècle qui nous sépare de ses discours et de son action, et de sa mort, malgré l’époque très perturbée que nous vivons, de retrouver dans ses discours tribunitiens ce fil d’union conducteur du peuple à la nation. Tout peut unir le peuple à la Nation, il suffira d’élaguer le tronc commun de la démocratie et de scier les branches pourries qui nous font croire le contraire.

    Je ne sais qui disait que la Patrie, la nation, c’était tout ce qu’il restait aux hommes, lorsqu’ils n’avaient plus rien.

    Je pense, que bien au contraire, la Nation, à travers la vision libératrice de Jaurès est un bien précieux, qu’il faut reconsidérer à travers une vision saine et pacifique. A travers une vision de partage et de renaissance de l’Homme parmi les femmes et les hommes de bonne volonté, en opposition directe à tous les prêcheurs de destruction et de dévoiement.

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