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uleskiserge

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Je suis citoyen et j’ai une part de responsabilité dans ce que fait mon pays. Je n’ai aucune influence sur la politique de la Somalie, mais j’en ai, jusqu’à un certain point, sur la politique de la France.

Tableau de bord

  • Premier article le 13/02/2020
  • Modérateur depuis le 28/02/2020
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Derniers commentaires



  • uleskiserge uleskiserge 4 janvier 2020 11:45

    Casse de l’hôpital, casse des APL, casse de l’assurance chômage, casse du droit du travail, casse des retraites, cadeaux fiscaux faites aux plus riches et aux entreprises du CAC 40... 

     

    Macron qui n’a pas et ne souhaite pas d’avenir politique dans l’hexagone après 2027 soigne son CV à l’international d’autant plus qu’il n’a pas été choisi par « le système » puis « élu » contre MLP au second tour de l’élection présidentielle ( autant dire qu’il a été élu avec son score du premier tour), pour que les pauvres soient un peu moins pauvres et les riches un peu moins riches, mais bien plutôt ... le contraire ! Rappelons ceci pour ne pas l’oublier : tout comme Shröder, Blair et Merkel, Macron, à son départ, devra laisser derrière lui plus de pauvres qu’en arrivant ; seule condition à l’obtention d’un poste prestigieux et hyper-rémunérateur à l’ international (cela vaut pour tout locataire de l’Elysée ou de Matignon).



  • uleskiserge uleskiserge 4 janvier 2020 11:43

    Aujourd’hui, sommes-nous seulement encore à même de comprendre à quel point les années 70 et 80 ont reposé sur très peu de choses, trois fois rien qui aura néanmoins permis d’occuper, de combler, de remplir (de colmater ?) une vie, toute une vie d’hommes et de femmes : une bande de copains, un repas au restaurant, des maîtresses, quelques amants, des amours sages de cadres moyens et supérieurs aux carrières professionnelles ascendantes, aux métiers prestigieux ou plus simplement... métiers bien rémunérés qui permettent de changer de voiture tous les ans... 


    La réussite de chacun se mesurera à l’aune de la réussite matérielle seule : pouvoir d’achat et pouvoir tout court.


    Aussi, est-ce réellement surprenant aujourd’hui le fait que tout soit remis en question et démantelé sans rencontrer une défiance farouche et déterminée : contrat de travail, droit du travail, Etat providence ( APL, hôpitaux), rémunérations, protection sociale... santé et retraite, rapports sociaux (homme/femme inclus) et rapports de force ?


    Certes, on savait que les capacités d’adaptation des hommes sont nettement supérieures à leurs capacités de révolte ! Aussi, sur la durée, c’est bien dans l’indifférence quasi générale - à l’exception d’une infime minorité mobilisée, que le démantèlement de ces années-là s’impose à tous ; derrière cette indifférence, la résignation ; et derrière cette résignation n’y trouve-t-on pas le sentiment que tout ce qui a été acquis dans les années 60 et 70 jusqu’aux années 80, l’a été non seulement à crédit mais bien plus important encore… sur le dos de la vie, la vraie, dans un climat d’amnésie générale quant au passé, là d’où l’on vient, toute une génération étant portée par un confort à la fois matériel et moral sans précédent ?


    Et c’est alors qu’une culpabilité à caractère à peine refoulée, une culpabilité comme errant là, au bord, tout au bord de notre conscience d’être au monde - mais pour y faire quoi déjà ? -, une culpabilité qui peut emprunter des itinéraires surprenants, vous laisse sans réaction et sans voix au moment où il est question de tout reprendre de ce confort d’un matérialisme naïf et sans responsabilité (environnementale et géo-politique – relation nord-sud : gaspillage et pillage des ressources naturelles) : bien mal acquis - dans le sens de « bêtement » -, ne profite donc qu’un temps ?


    La trame du cours de l’histoire des années 70 relève du conte de fée pour adultes et du conte de Noël… ainsi que d’une négation : la négation d’une réalité qui engage l’avenir face et contre une autre réalité reflet d’un état en mouvement mais figé, un état propre à toutes les périodes agitées mais « stériles » (Jacques Tati a eu des choses à dire à ce sujet) qui ont la folle prétention d’arrêter le cours de l’Histoire qui, elle, finit toujours par trouver le temps long ; il faut alors qu’elle bouge : « Tout leur est donné, vous dites ?! Et si on leur reprenait tout ? »


    Les années 2000, et nous n’en sommes qu’au début, verront la décomposition des années 70 ; et c’est sans doute la raison pour laquelle la remarque suivante s’impose : « Avant, on n’avait pas à penser à l’avenir et moins encore à ce qui était important, à savoir : que deviendrions-nous si nous perdions tout ? »


    Perdre tout ? Un confort matériel, et seulement matériel, qui nous permet seul de tenir debout ?


    Hyper-matérialiste sans dépassement, sans horizon, époque refermée sur elle-même que celle des années 70 et 80 !

     

    Extrait du billet « Retour sur le Cinéma de Claude Sautet » : http://serge-uleski.over-blog.com/2019/09/retour-sur-le-cinema-de-claude-sautet.html




  • uleskiserge uleskiserge 4 janvier 2020 11:20

    Assange, connu et reconnu mondialement, un des hommes les plus seuls au monde depuis dix ans. 



  • uleskiserge uleskiserge 4 janvier 2020 11:17

    La grande richesse du mouvement des Gilets jaunes, son apport inespéré, c’est son caractère épiphanique : la révélation de ce qui est, de ce que les médias, les Intellectuels (l’université française) et les élus (si mal élus !) sont devenus ; révélation de leurs motivations réelles et de leur niveau d’engagement à tous et pour quel profit et pour qui ; révélation du vrai visage de notre République : cette gueule cassée, borgne, énuclée de ses classes populaires et du souci d’une justice sociale pour tous ; révélations qui nous apportent la confirmation de ce que nous sommes nombreux à soupçonner depuis des années, à savoir : l’organisation de notre société repose sur un seul et unique mensonge... la soi-disant recherche de la concorde et de la justice des conditions d’existence comme ultime projet... projet d’essence et d’esprit humaniste qui plus est. Et ce mensonge est arrivé en fin de vie.



  • uleskiserge uleskiserge 4 janvier 2020 11:11

    Casse de l’hôpital, casse des APL, casse de l’assurance chômage, casse du droit du travail, casse des retraites, cadeaux fiscaux faites aux plus riches et aux entreprises du CAC 40... 

     

    Macron qui n’a pas et ne souhaite pas d’avenir politique dans l’hexagone après 2027 soigne son CV à l’international d’autant plus qu’il n’a pas été choisi par « le système » puis « élu » contre MLP au second tour de l’élection présidentielle ( autant dire qu’il a été élu avec son score du premier tour), pour que les pauvres soient un peu moins pauvres et les riches un peu moins riches, mais bien plutôt ... le contraire ! Rappelons ceci pour ne pas l’oublier : tout comme Shröder, Blair et Merkel, Macron, à son départ, devra laisser derrière lui plus de pauvres qu’en arrivant ; seule condition à l’obtention d’un poste prestigieux et hyper-rémunérateur à l’ international (cela vaut pour tout locataire de l’Elysée ou de Matignon).

     

    Médias dominants, un peu de courage ! Merci de nous rappeler cette vérité des faits d’ordre statistique. 

     

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