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Jean Roque

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Derniers commentaires



  • Jean Roque Jean Roque 28 juillet 2018 17:31

     
     
    l’idole des gochos a pillé les contribuables, couler sa boite en se versant le salaire le plus élevé de tous les PdG américains...
     
     
     
    Mieux que le « green-washing », le « rolling coal »  :
     
    Enfumer bobo le négrier bétonneur avec votre diesel modifié pollueur :
     
    Un vélib du Paristan : 10 pts
    Une Prius : 100 pts
    Une Tesla de super bobo à 200000$ : 1000 pts

     



  • Jean Roque Jean Roque 28 juillet 2018 17:26

     
     
    L’UE EST CONTRE LES EUROPÉENS
     
    LES DÉMOCRASSES CONTRE LES US
     
    créer un Québec hispanique, un purin multi-akulti pour les 1% ...
     
    servir le capital mondialiste A-national
     
    Le chevènementiste Elie Ervé écrivait, dans Marianne du 3 mars 2015, propos de Qui sommes-nous ? :
     
    « Le livre de Samuel Huntington vise entre autres à démontrer que la culture anglo-protestante est centrale dans l’identité américaine : l’Amérique est née protestante, et le catholicisme ne s’est greffé ensuite que comme une secte parmi d’autres. L’auteur ne fustige pas l’immigration – ce serait impossible dans un pays pareil. Il fustige les groupes d’immigrés qui refusent l’intégration. Toute immigration est bonne venant de celui qui veut être américain, qui ne cherche pas seulement à profiter du welfare et des programmes de l’action affirmative. Il en résulte, selon l’auteur de Who are we ?, que les Mexicains constituent un danger pour l’identité américaine : par leur nombre, leur proximité, leur concentration régionale, leur fertilité, leur réticence à apprendre l’anglais. Les Mexicains expriment avec acuité leur caractère latin et sudiste, par exemple dans le « syndrome de manana » (« demain tout ira bien ») : fatalité, manque d’initiative et d’ambition. »



  • Jean Roque Jean Roque 28 juillet 2018 14:47

     
     
    « utile »
     
    ça c’est bien du gocho.... bonniche du Capital...
     
     
    La réponse est : Hanouna
     
     



  • Jean Roque Jean Roque 28 juillet 2018 14:00

     
    COLONIE UE : LE PROGRÈS CAPITALISTE DÉPOLITISANT CRÉTINISANT
     
    « dans le ferment des contradictions » marxistes
     
    Le progrès crétinisant et dépolitisant l’individu ds la démocratisation, l’individuation, par le droitdelhommisme, l’économie et de la technique. est un vieux thème des Lumières. Smith, Ricardo, Ferguson en parlent :
     
    « Si les revendications du droit égal et de l’égale liberté devaient déboucher sur un abaissement égal de chaque classe eu rang d’esclaves où de mercenaires [Uber], nous resterions un peuple d’ilotes et n’aurions plus de citoyen libres [abaissement du politique ds un développement historico-économique irréversible] » Adam Ferguson , Essai sur l’histoire de la société civile
     
    Ce développement de l’homme contradictoire, progrès économico-scientifique dans l’abaissement politico-culturel, Hegel appelle ça « la tragédie dans l’élément éthique ». La supériorité politique, éthique, culturelle de l’Antiquité, effacée par la supériorité droitdelhommiste, scientifique, moderne. Conduisant entre autres à la fameuse « mort de l’Art » de Hegel.
    Et Marx reprendra, « nullité du bourgeois », petitesse du bobo égoïste déculturé, dépolitisé, contrastant avec la grandeur civilisationnelle du Capitalisme conquérant le monde, mais grâce en fait à la grandeur antérieure, éthique des nations et de leurs cultures. Un « ferment des contradictions » qui apparaît 2 siècles après.
     
    « Mais quel que soit le caractère non héroïque de la société bourgeoise, il a pourtant fallu l’héroïsme, le sacrifice, la terreur, la guerre civile, et les batailles des nations pour la mettre au monde. » Marx, le 18 brumaire
     
    « C’est justement une particularité de la bourgeoisie par rapport à toute les autres classes dirigeantes antérieures : il y a dans son évolution un tournant à partir duquel tout accroissement ultérieur de ses instruments de pouvoir, et donc avant tout de ses capitaux, contribue qu’à la rendre de plus en plus inapte à la politique. » Engels, Marx
     

     

     



  • Jean Roque Jean Roque 28 juillet 2018 12:02

     
     
    Les lois sur le nourrissage obligatoire des gueux remontent au moyen-âge en Angleterre (taxe sur les féodaux pour la charité de l’Église) et furent redébattues début fin 18eme début 19eme en Angleterre (powerty tax)
     
     
    Karl Marx, Le Capital :
     
    « Le développement de la marchandise [pour nous la mondialisation oligarchique] ne supprime pas ses contradictions [1% = 50% des richesses] mais crée la forme en laquelle elles peuvent se mouvoir [les contradictions]. Ceci constitue d’une manière générale la méthode par laquelle se résolvent les contradictions réelles [du Hegel : Absolu (forme) = identité de l’identité et de la non-identité (contradictions)].
    C’est par exemple une contradiction qu’un corps tombe continuellement vers un autre et s’en écarte tout aussi continuellement. L’ellipse est une des formes du mouvement en laquelle cette contradiction tout à la fois se réalise et se résout [elle garde ses termes contradictoires tout en les unifiant dans un nouveau concept]. Il en est de même pour le Seigneur Mondialiste accumulant la richesse matérielle comme une planète accumule les poussières prolétariennes de l’espace, les glands spécieux gogochons qui voudraient aussi se branler continuellement dans l’Espace Comique. Ces chiures bien rondes et bien lisses seront satellisées autour du Seigneur local (qui lèvera l’impôt), et leurs heures-bite s’appellera RU, Roulage Universel. »

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