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Fergus

Fergus

Autodidacte retraité au terme d'une carrière qui m'a vu exercer des métiers très différents allant d'informaticien à responsable de formation, je vis à Dinan (Côtes d'Armor). Depuis toujours, je suis un observateur (et de temps à autre un modeste acteur) de la vie politique et sociale de mon pays. Je n'ai toutefois jamais appartenu à une quelconque chapelle politique ou syndicale, préférant le rôle d'électron libre. Ancien membre d'Amnesty International. Sur le plan sportif, j'ai encadré durant de longues années des jeunes footballeurs en région parisienne. Grand amateur de randonnée pédestre, et occasionnellement de ski (fond et alpin), j'ai également pratiqué le football durant... 32 ans au poste de gardien de but. J'aime la lecture et j'écoute chaque jour au moins une heure de musique, avec une prédilection pour le classique. Peintre amateur occasionnel, j'ai moi-même réalisé mon avatar.

Tableau de bord

  • Premier article le 31/07/2008
  • Modérateur depuis le 22/11/2008
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Derniers commentaires



  • Fergus fergus 22 octobre 2008 15:27

    Des DSK, autrement dit des chauds lapins un tantinet pressants, il y en a dans toutes les boîtes grandes et moyennes, qu’elles soient publiques et privées.

    Sauf harcèlement avéré, il n’y aurait donc pas de quoi fouetter un chat si les individus en question n’aspiraient à de hautes fonctions, car ils fournissent dès lors un angle d’attaque idéal à leurs ennemis.
     
    C’est ce qui arrive à Strauss-Khan, victime, via le Wall Street Journal et sous couvert du légendaire puritanisme anglo-saxon, d’une tentative d’éviction beaucoup moins liée à sa sexualité qu’à la crainte des ultralibéraux de voir le FMI jouer un rôle déterminant, sous la pression des européens, dans la mise en place d’un système de régulation des marchés beaucoup plus drastique.

    Dommage que DSK n’ait pas mis un peu de bromure dans son vin, histoire d’apaiser ses pulsions. Car celles-ci risquent de lui coûter très cher et de donner des armes aux américains pour imposer l’un de leurs alliés à la tête d’un organisme appelé à renforcer ses prérogatives dans l’établissement d’un nouvel ordre économique mondial !



  • Fergus fergus 21 octobre 2008 11:14

    Voir les membres de l’oligarchie politique, industrielle et financière, comme Sarkozy, verser aujourd’hui des larmes de crocodile sur Soeur Emmanuelle me soulève le coeur. Ces gens-là ne sont que de fieffés faux-culs car toute leur action ne vise qu’a augmenter les profits de quelques-uns sans se soucier des conséquences pour les plus fragiles !



  • Fergus fergus 20 octobre 2008 11:06

    Effectivement, Sarkozy ne change pas d’un iota les orientations de sa politique nationale. Et s’il endosse une tunique de gauche pour prôner sur la scène internationale le retour de l’Etat dans l’économie, c’est moins par pragmatisme face à la situation que pour redorer son image dans l’hexagone et jouer sur le plan international une partition démarquée de l’idéologie dominante libérale où il aurait été concurrencé de toutes parts et n’aurait pu revendiquer un leadership évènementiel rendu possible par l’extrême faiblesse de Bush.



  • Fergus fergus 20 octobre 2008 10:56

    Le problème n’est pas venu des accords de Bretton Woods, car aussi discutables qu’ils aient été, ils ont permis de repartir sur des bases cohérentes à la sortie de la guerre, mais de Kingston. C’est à ce moment qu’il aurait fallu tout remettre à plat au lieu de créer les conditions d’une dérégulation débridée.

    La nécessité de cette remise à plat est aujourd’hui rendue urgente par l’importance de la crise et la certitude que, faute d’une régulation drastique, les mêmes causes reproduiront très vite les mêmes effets. Qu’on qualifie les futurs accords de "nouveau Bretton Woods" n’a que peu d’importance, l’important résidant dans le contenu de ces accords... s’ils voient le jour ! 



  • Fergus fergus 17 octobre 2008 17:59

    Punir les coupables reviendrait en effet pour Sarkozy, l’actif complice de Balladur et le thuriféraire du libéralisme débridé à l’américaine, à démissionner de ses fonctions pour provoquer une élection présidentielle et susciter ainsi un grand débat national sur le nouvel ordre économique souhaité par les Français.

    Mais ne rêvons pas : quelques lampistes seront sacrifiés et des demi-mesures prises pour donner l’illusion d’une véritable régulation. Après quoi les financiers, la crise passée, s’engouffreront de plus belle dans les brèches que l’incurie des gouvernants aura laissées dans le système. JUusqu’au prochain krach !

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