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Fergus

Fergus

Autodidacte retraité au terme d'une carrière qui m'a vu exercer des métiers très différents allant d'informaticien à responsable de formation, je vis à Dinan (Côtes d'Armor). Depuis toujours, je suis un observateur (et de temps à autre un modeste acteur) de la vie politique et sociale de mon pays. Je n'ai toutefois jamais appartenu à une quelconque chapelle politique ou syndicale, préférant le rôle d'électron libre. Ancien membre d'Amnesty International. Sur le plan sportif, j'ai encadré durant de longues années des jeunes footballeurs en région parisienne. Grand amateur de randonnée pédestre, et occasionnellement de ski (fond et alpin), j'ai également pratiqué le football durant... 32 ans au poste de gardien de but. J'aime la lecture et j'écoute chaque jour au moins une heure de musique, avec une prédilection pour le classique. Peintre amateur occasionnel, j'ai moi-même réalisé mon avatar.

Tableau de bord

  • Premier article le 31/07/2008
  • Modérateur depuis le 22/11/2008
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
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5 jours 4 4 0

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Fergus fergus 23 novembre 2008 10:00

    Ayant travaillé plusieurs années dans les Ressources humaines, je sais à quel point il est difficile d’évaluer l’implication et la performance de collaborateurs dont les taches ne sont pas directement liées à la production. Trouver des indicateurs équitables et pertinents relève même du casse-tête dès lors qu’il s’agit d’évaluer des performances intellectuelles ou simplement administratives non répétitives.

     

    Résultat des courses : dans la plupart des boîtes où de tels systèmes de rémunération existent, le patron (ou le DRH) note "à la tête du client", le plus souvent animé (volontairement ou pas) par des considérations affectives (sympathie, indifférence ou antipathie) ou par des impressions : comment faire la part des choses entre le collaborateur qui s’active et celui qui paraît statique, sachant que le premier peut brasser de l’air tandis que le second peut faire preuve d’efficacité dans son job ?

     



  • Fergus fergus 23 novembre 2008 09:03

    Merci pour vos messages, Claude et Papy, mais vous me prêtez un rôle que je n’ai pas eu : j’ai simplement examiné Amalia, constaté son état et appelé les secours. Cela dit, la réaction des voisins, calfeutrés chez eux, et plus encore encore celle du comptable cité dans ce témoignage, m’ont hérissé le poil et ouvert les yeux sur une "indifférence" fréquemment évoquée dans les rapports urbains mais dont je n’avais pas eu réellement conscience avant de vivre dans cette tour. Il est vrai que nous venions de la Butte-aux-Cailles, un quartier-village au coeur de Paris. Un autre monde !



  • Fergus fergus 22 novembre 2008 20:03

    Merci, Gül, pour votre commentaire. J’en suis sincèrement touché, venant d’une personne dont la sensibilité s’est déjà exprimée avec chaleur sur ce site. Je crois en effet que, tout moucherons que nous soyons à l’échelle de l’humanité, nous pouvons nous grandir, non pas en jouant les héros, mais tout simplement en portant attention à ceux qui nous entourent et qui, comme vous le soulignez, sont des êtres humains et pas des créatures virtuelles.



  • Fergus fergus 22 novembre 2008 19:56

    Non, Foufouille, je ne peux pas être d’accord avec ça. Sauf danger immédiat et caractérisé, l’assistance est un devoir pour nous tous, que l’on soit chrétien, agnostique ou athée.



  • Fergus fergus 22 novembre 2008 19:51

    Bonsoir, JL. Omar Coulibaly (un nom d’emprunt) habitait dans une rue voisine de notre tour et était salarié par la copropriété pour assurer le noettoyage quotidien des parties communes. Je ne sais pas ce qu’il est devenu ; peut-être est-il reparti vers son village, avec sa très timide épouse et ses deux adorables gamins ; peut-être vit-il encore à Paris, mais je ne sais pas où : la dernière fois que je suis allé dans le quartier, le gardien avait changé et Omar était inconnu de lui.

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