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Decouz

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  • Decouz 13 avril 18:37

    @Gérard Luçon
    il sont revenus ensuite, mais ils ont du abandonner leurs appartements en ville et sont restés à l’ambassade et ils devaient sortir en principe toujours accompagnés par le GIGN, ce qui déplaisait à de Poncins. Ils devaient aussi manger de la nourriture de type fast food puis de Poncins a réussi à obtenir le droit de manger les plats des restaurants qu’ils connaissaient.



  • Decouz 13 avril 18:32

    On a aussi parlé de la CIA qui aurait entrainé des groupes possible, mais des deux cotés n’est ce pas il y a eu des influences externes.

    Il y a un autre aspect évoqué par de Poncins, c’est l’héritage des cosaques et de leur organisation décentralisée, à l’opposée du centralisme soviétique, cette habitude ancestrale leur a permis de mettre en place rapidement des groupes d’auto défense.

    Le romancier Kourkov, dit aussi que les ukrainien sont allergiques à la centralisation, bien que russophone comme Zelensky et bien d’autres il met l’accent sur la différence de culture.



  • Decouz 13 avril 18:25

    @Decouz
    Quant aux cadavres qui auraient du se décomposer, ça dépend de la température extérieure, on était au coeur de l’hiver.



  • Decouz 13 avril 18:23

    Ce que dit l’ambassadeur, Etienne de Poncins dans son livre « Au coeur de la guerre ». L’ambassade a d’abord été délocalisée à Lviv dans les premiers jours, à cause des bombardements. Ceux qui étaient volontaires sont ensuite revenus avec l’ambassadeur. Une protection du GIGN a été organisée, qui logeait sur place.

    Il faut savoir que Boucha est proche de Kiev, que de nombreux habitants de Kiev ont de la famille et inversement, donc il y a eu des communications entre les deux, en particulier deux personnes de l’ambassade dont le cuisinier.

    Il ne s’agit pas uniquement des photos, mais de dizaines de de témoignages qui font état de tirs délibérés sur des civils, de destructions, de tortures, de destructions d’habitations, de vandalisme gratuit. Mise en scène ? Je ne vois pas comment autant de témoins auraient pu inventer un scénario qui nécessiterait des dons de mise en scène particuliers.

    Les armes retrouvées sur place et les restes de matériel administratif : datant d’au moins une guerre, ça ne veut pas dire que les Russes n’ont pas de matériel plus récent bien sur, même si pas mal de missiles sont anciens et peu précis, ça concerne ce qui a été trouvé sur place.

    Il y a eu aussi pas mal de pillages, je ne sais pas d’où venaient les soldats spécialement envoyés dans cette place, il paraitrait d’Extrême Orient, de régions pauvres, mais ils ont préféré emporter du matériel que de rapatrier leurs soldats.

    Bon sous réserve, l’ambassadeur est pro ukrainien, mais je ne vois pas trop comment on aurait pu l’embrouiller à ce point, étant sur place avec de nombreux témoins.



  • Decouz 13 avril 12:09

    " Comme l’observa également Tara Michaël : « sous le prétexte de faire descendre la conscience sur le plan matériel, ils [les dirigeants de l’ashram] avaient acheté la plupart des maisons de Pondichéry, pour les louer à prix fort aux visiteurs et aux touristes étrangers, au grand dam des habitants locaux ».  Après la mort de Mirra Alfassa en 1973, le conflit entre l’ashram de Pondichéry et Auroville éclata au grand jour, entraînant la séparation complète de l’un et de l’autre, et il semble durer encore jusqu’à aujourd’hui ; le premier, malgré diverses dérives, abus et quelques scandales, a toujours au moins un certain souci de transmettre les œuvres de Shrî Aurobindo – il est vrai que c’est maintenant sa seule raison d’être et la seule façon de préserver sa survie –, tandis que, dans la seconde, le culte exclusif de la « Mère » a définitivement éclipsé celui-ci !   Ce pseudo-temple, qui existe toujours, et dont Tara Michaël rappelle qu’il « rompait avec toutes les prescriptions des Âgama par sa forme géométrique de grosse boule ronde, un temple sans rites, sans culte, sans statue ni représentation divine, sans musique, sans fleurs, sans religion », présente l’aspect extérieur le plus grotesque qu’on puisse concevoir. Il est couvert de larges facettes de métal plaquées d’or qui le font ressembler à l’énorme balle de golf d’un improbable trophée. Si l’on se souvient du rôle des facultés médiumniques de Mirra Alfassa dans sa vie, on ne sera pas surpris d’apprendre qu’à l’intérieur de l’édifice, en son centre, a été placée à sa demande une imposante... boule de cristal ! La boucle psychique de l’absurde étant ainsi bouclée."


    https://www.cahiersdelunite.com/n-27-aurobindo-4

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