Le mal, c’est ceux qu’ils veulent imposer leur vision du bien aux autres et qui diabolisent tous ceux qui osent leur résister.
Et ils sont particulièrement actif dans notre pays aidé d’un bras armé d’idiots utiles faussement ouverts et faussement tolérants.
Et les mots « Réindustrialisation » et « Sobriété » occupent le devant de la scène médiatique.
Alors que les nouvelles habitudes prisent par nos contemporains ne peuvent en aucun cas les ramener vers l’usine ou le potager.
Quand on parle Réindustrialisation, on parle en réalité Electrification et Artificialisation, quand on parle Sobriété, on parle en réalité Dépossession et Dépendance.
@Géronimo howakhan
J’ai ma réponse à la question que j’ai posé à la fin de mon commentaire. Mais on ne peux questionner et y répondre que si on ne part du principe que l’univers est un système intelligement organisé et que notre planète fait partie de la périphérie.
Ce que je pense c’est qu’on nous a engendré ici comme témoignage expérimental. La façon dont nous organisons nos vies dans un environnement inadapté servent à livrer des données précieuses au système universelle pour se prémunir d’éventuels erreurs dans l’évolution de son organisation.
C’est une réponse qui peut paraitre destabilisante et absurde, mais sachez que l’organisation du corps humain qui est la copie de l’univers procède également à ce genre de pratique en son sein.
La seule incertitude vraiment destabilisante est « Est-ce que cette expérience va finir par s’arréter si elle n’est jugée plus nécessaire à un moment donné, ou notre évolution brusque et dangereuse actuelle signifie t-elle l’accélération de l’expérience jusqu’a son anéantissement programmé »
@Jonas
Les sociétés traditionnelles se sont construite en fonction de la nature de l’environnement dans laquelle elles vivent.
La particularité de la civilisation chrétienne est qu’elle s’est developpée sur les latitudes tempérés de la péninsule européenne ou les aléas naturelles et tectoniques sont presques absent.
La seule contrainte est celle de la rigueur de l’hiver qui pousse à la necessaire cohésion du foyer pour se tenir au chaud.
Ce n’est pas un hasard si cet environnement peu agité a favorisé l’industrialisation dopé par les poches de soleil souterraines qui ont réchauchés les foyers et rendu caduque la raison d’étre du christianisme.
@Opposition contrôlée
L’étre humain est physiquement et psychologiquement allergique au naturel. Sinon il n’aurait pas déployer autant d’effort pour tenter de s’extirper des contraintes que la nature lui impose ici-bas.
La raison de son existence dans ce monde où il se sent constamment à l’étroi n’a d’ailleurs jamais ou trés peu aborder par les scientifiques et les philosophes.
Le simple fait de questionner cette problématique semble étre un obstacle mental.
Parce que cela voudrait dire que nous sommes éternellement condammer à l’impuissance dans un monde qui n’est pas fait pour nos besoins et nos désirs surdimensionnés qui nous paraissent personnellement comme allant de soi.
Quel force mystérieuse au sein de l’univers a décidé que nous devrions endurer cettte torture, cette emprisonnement et dans quel but ?
Excellent article
Néanmoins l’ordre totalitaire ne se cantonne pas à l’évolution du mariage et des rapports familiaux.
Sans l’évenement de la société de consommation qui a détruit au préalable les répères traditionnels des individus au sein de la société, tout cela n’aurait pu advenir.
Ce qui est cocasse, c’est que ce sont les enfants de ceux qui ont combattu l’économie de marché qui sont à la téte de ces combats.
Il y régne un climat de nihilisme, une sorte d’envie de revanche desespéré sur les échecs à répétition du communisme et du socialisme que les concernés n’ont secrétement jamais digérer. Et ils sont préts à s’autodétruire et à détruire la société pour satisfaire leur pulsion de deconstruction jubilatoire.
Les « gros capitalistes » n’ont méme plus besoin de faire la promotion de leurs intérets nauséabonds, ils n’ont plus qu’a cueillir la masse de gens fatigués par la désorganisation pesante du quotidien et qui se refugient dans l’artifice pour ne pas succomber à la dépression face à un environnement sociale sans relief.
Finalement, tout ce petit monde d’apparence opposé et virtuellement bien dans leurs baskets travaillent inconsciemment ensemble à leur propre perte et à celle de tous.
L’ordre totalitaire ne sera pas vaincu au combat, mais par l’insoutenabilité de ces contradictions internes.
« Le mal vient de ceux qui veulent imposer le bien aux autres. Toute forme d’imposition d’un bien suprême à l’humanité se termine en carnage »
Mon pauvre ami, vous n’avez aucun droit à part se forcer à accepter tout ce qu’on vous distille dans la cervelle depuis votre tendre enfance.
Tout ce qu’il vous reste comme choix c’est de choisir les sauces sur des plats de résistance qu’on a gentiment préparer pour vous afin de vous « faciliter la vie » et que vous ne fassiez pas de l’ombre à ceux qui s’estiment étre les seuls à même de penser ce que est bon pour les autres et pour l’univers.
Ce monde est souillé par des mensonges qui se sont accumulés à la suite depuis que l’homme se joue de l’homme et qui ont finie par étouffer tout bon sens et tout complantation insouciante du beau et du vrai.
Il n’y a plus de retour en arrière possible, il ne reste plus qu’a traverser le grand nettoyage qui remettront les choses à leur vrai place. Les vivants qui auront le privilège d’en étre les victimes envieront les morts.
D’ou sortent les 30% de Bulgarie, les 18% de Roumanie, les 10% de Hongrie et de Slovaquie ? de la population Roms classé dans les non-blancs ?
Si tout devait se passer à merveille, ce serait trop simple et vide de sens.
Il faudrait au préalable comprendre pourquoi il n’y a jamais eu à ce jour de démocratie direct dans l’histoire de l’humanité et que toutes les tentatives visant à la mettre en pratique ont échoués.
Tout simplement parce que chaque individu n’a pas toutes les mêmes aspirations qu’autrui. Mettre en place une société juste qui doit s’adapter aux différentes personnalités de chacun est un vrai casse tète insoluble.
L’être humain n’a pas été conçue pour être en phase avec le monde dans laquelle il est condamné à vivre. Il doit sans cesse composer avec les inconvénients que suppose les avantages chèrement acquis. C’est tout devait se passer à merveille, ce serait trop simple et vide de sens.
Selon les prophéties eschatologiques, la théocratie maçonnique connu sous le nom de « République » accouchera d’une 6ème et très brève version avant que le 70ème et dernier roi de France connu sous le nom de « Grand Monarque » y mette définitivement à terme sous des temps troublés.
Nous verrons bien...
Le parlementarisme n’est pas adapté à un pays comme la France.
Depuis toujours, que ça soit à l’époque des celtes, des gallo-romains, des rois francs et capétiens ou sous les républiques, la politique intérieure a toujours été une question de rapport de force et le consensus a toujours été la dernière des options.
Curieusement, la France a ( jusqu’à une période récente) toujours su être imaginatif et consensuel au sujet de la politique extérieure. La diplomatie et la courtoisie sont des inventions françaises.
Nous sommes un pays de paradoxe sur bien des plans.
Quoi qu’il en soit, un retour à l’équivalent de la 4ème république et même de la 3ème république ne peut que hâter le besoin d’un pouvoir fort bonapartiste. C’est la raison d’être de la 5ème république.
« Elles ont, quand même l’impression d’être les grands oubliés, y compris de la « gauche » qui normalement est pour le peuple et avec le peuple. »
« Il est plus que temps que les militants qui se réclament du mouvement social reviennent dans les quartiers populaires et y compris dans les campagnes où vivent des familles modestes qui souffrent. »
On a beau le dire et le redire, il y aura toujours un beau parleur comme Octave Lebel pour faire objection en vous disant que la véritable gauche n’a jamais abandonné les classes populaires des campagnes et que ce constat est une pure invention des esprits contaminés par l’extrême droite.
Ce qu’il faut comprendre c’est que l’argent ne tombe pas du ciel.
Certes, il y a de l’argent qui tombe du ciel, sous forme de liquidités crée ex-nihilo pour acheter ceux qui occupent les postes à responsabilités et qui possèdent des actifs afin de tenir la baraque.
Mais le déclin de production des matières premières ainsi que le ralentissement de l’augmentation de la productivité, ce n’est pas l’argent magique qui va permettre d’imprimer de la matière et de faire fonctionner des cerveaux.
D’ailleurs nous le savons tous, en réalité même dans son propre camp personne n’en veut.
Ce qui compte pour la plupart de ceux qui le soutiennent ( sauf les chevronnés imbéciles comme Rakoto ), ce n’est pas l’homme, mais le paravent médiatique qu’il représente face aux incertitudes qui peuvent mettre en péril les dépendances qu’ils ont tissés avec le marché par opportunisme ou par attirance pour la facilité et pour le confort ( Contrats financiers, Biens Immobiliers, Petites Affaires dépendant de la confiance et de la stabilité )
Même si la violence n’est pas une option, elle le devient par la force des choses quand ses propres intérêts sont en jeu.
Celui qui vend son âme au diable a tout à perdre et celui qui ne compte que sur lui-même n’a rien à perdre.
Bon Article
Ce qui se disent de gauche dans la forme et qui ne le sont pas dans les faits n’aiment ni la liberté d’autrui, ni l’exercice démocratique.
Tel Jo-Jo la colombe, ils exacerbent et tirent profit des diverses pulsions émotives et naïves pour mieux se rapprocher de leur véritable dessein.
Au sujet du choix de la BCE, voici l’avis de Charles Sannat
Faillite bancaire faut il paniquer et comment protéger son argent (partie 1) - YouTube
Ce que nous dit Charles c’est qu’on a pas le choix, qu’on est tous à bord d’un train lancé à toute vitesse et qu’en sautant du train on pourrait se faire trés mal. Donc il faut mieux rester à bord du train le plus longtemps possible même si on sait qu’il va finir par dérailler.
La différence par rapport par 2008, c’est que l’économie mondiale est tenu à bout de bras par les banques centrales.
La productivité ( c’est à dire l’économie réel ) n’a pas retrouvé la cadence des années 2000. Même les BRICS qui étaient en pleine croissance et qui n’ont pas été ou peu impacté par la contraction de 2009 ne sont plus aujourd’hui dans la forme économique qu’ils ont connu jadis
L’impression monétaire qui a gonflé le bilan des banques centrales a atteint des proportions stratosphériques que personne n’aurai imaginer il y a 15 ans.
ça a finalement continuer avec la crise des dettes souveraines, et ça a continuer avec l’épisode du COVID et ça continue encore avec les effets de l’inflation malgré la remontée des taux d’intérets qui ont été anormalement abaissé à 0 pendant une décennie pour compenser le marasme par l’argent facile.
Les discours sur la résilience du secteur bancaire et financier ne sont que de la com que peuvent se permettre ceux qui se reposent sur le recours de la planche à billet pour masquer l’ampleur de la tromperie et du désastre.
En réalité la situation est bien pire qu’en 2008 mais les tours de passe-passe qui permettent de retarder l’inévitable sont plus élaboré.
@Étirév
Effectivement nous baignons dans une vision idéalisé de l’univers alors que nos connaissances sont quasi nulle.
Il suffit de réfléchir un peu pour comprendre que même si il y a d’autres formes de vie sur d’autres planètes, on ne peut en aucun cas entrer en interaction physique avec elles car la photosynthèse propre à chaque étoile nous l’interdit.
De même que l’univers tel que nous le percevons n’est que le champ de vision de notre propre état matériel qui nous constitue ainsi que notre environnement direct.
Rien n’interdit de penser qu’il existe peut être d’autres états constituants dans ce qui nous semble être vide et sans vie.
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