• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Luniterre

Luniterre

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

  • Premier article le 17/05/2014
  • Modérateur depuis le 08/09/2014
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 160 1442 5264
1 mois 1 27 46
5 jours 1 17 46
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 1969 1783 186
1 mois 9 7 2
5 jours 2 1 1

Ses articles classés par : nombre de réactions













Derniers commentaires



  • Luniterre Luniterre 5 février 16:26

    @Octave Lebel

    Paroles, paroles…

    « Bonnes paroles », comme d’hab, pour la forme…

    Le constat est simplement que la « gauche » a été incapable de mobiliser ses forces sur le terrain au moment où le rapport de force aurait précisément pu commencer à se construire contre la Macronie.

    Luniterre



  • Luniterre Luniterre 5 février 16:15

    @gruni

    En période de guerre il n’y a guère de chef d’Etat qui ne soit pas un « dictateur », que ce soit par vocation ou par nécessité : c’est encore un simple constat. Et la guerre que l’Occident mène contre la Russie, qu’elle soit « froide » ou chaude brûlante comme aujourd’hui, est quasi-permanente depuis le XIXème siècle, en fait, et cela ne changera qu’avec l’effondrement de cet « Occident collectif » désormais combattu non seulement par la Russie mais par bien d’autres nations éprises d’indépendance de par le monde, dont les BRICS sont l’une des expressions.

    Aujourd’hui, donc, exit le Kollabo Nadejdine, semble-t-il, même si cela reste à confirmer.

    La manière est peut-être inélégante mais le fait est simplement qu’elle n’aurait pas été possible s’il avait réuni 300 000 signatures ou plus.

    Dans cette affaire, donc, Poutine en « dictateur » avisé pour la défense de son pays ne fait que gagner du temps en exploitant simplement le point faible de cet ennemi de la Russie.

    La confirmation définitive est encore à venir mais cela semble bien être la fin de cette escarmouche, effectivement. Une « lanterne » redevenue la « vessie » qu’elle était au départ. Une anecdote, au regard de l’histoire, même si elle vous « conforte » dans vos certitudes, qui ne sont « rassurantes » que pour vous.

    Luniterre



  • Luniterre Luniterre 5 février 15:21

    @bouffon(s) du roi

    « Bouffon » ou « Grand Leader », c’est le sort de l’histoire qui en décide, en fin de compte. Pour l’instant ce qui est certain, c’est que Zelensky est rentré dans l’histoire comme bouffon au premier degré et qu’il continue d’être celui de l’Occident, en tant que marionnette sponsorisée et manipulée.

    C’est le sort de cette guerre qui décidera du statut final de l’un et l’autre, dans l’histoire, mais Poutine reste déjà comme celui qui a relevé la Russie de la ruine où l’avait plongée l’Occident durant la période Gorbatchev-Eltsine. Évidemment une défaite en Ukraine viendrait mettre un sérieux bémol à son palmarès, et probablement, une fin à sa carrière politique.

    Même si l’Ukraine arrive à reprendre le Donbass et la Crimée Zelensky ne restera jamais que le porte-faix de l’Occident jusqu’à la fin de ses jours, incapable de tenir debout autrement que comme relai de cette recolonisation et gauleiter-bouffon sauvé par les armes et le fric de l’Occident, aux frais des populations de l’UE et des USA.

    Luniterre



  • Luniterre Luniterre 5 février 14:07

    @gruni

    Le « doigt » que je regarde dans ma réponse est celui de la simple logique du rapport de force, qui est toujours la seule réalité à s’imposer, dans l’histoire.

    La « lune » que vous tentez remettre « au dessus » de cette réalité incontournable est celle d’un prétendu « droit » qui ferait de Poutine un « criminel de guerre ».

    Or le droit de la Russie à récupérer la Crimée et le Donbass est simplement établi par l’histoire de ces régions, comme celui de la France à récupérer l’Alsace et la Lorraine, au siècle passé.

    Le fait que ce droit aboutisse ou non est conditionné, dans un cas comme dans l’autre, par les circonstances de la politique internationale et du rapport de forces qui en découle. Point barre.

    Si la stratégie de Poutine est critiquable, c’est de ce point de vue et du fait qu’il n’a donc pas correctement estimé le rapport de forces au moment du déclenchement de l’Opération Spéciale, qui est donc devenue, de ce fait, une guerre de longue durée, ce qui est évidemment regrettable.

    Mais le fait que cette guerre perdure, concrètement, est entièrement dépendant de l’aide occidentale apportée à l’Ukraine. Si « crime » il y a, dans ce conflit, c’est bien là qu’il se trouve, et donc dans le refus de l’Occident d’accepter un accord négocié sur le statut de ces régions, qui existait potentiellement depuis Minsk 1 et 2, en 2014-2015.

    Ce refus occidental est donc lié au fait que l’Occident instrumentalise le nationalisme ukrainien au service de ses propres intérêts impérialistes contre la Russie et non au droit du peuple ukrainien de vivre en paix dans des frontières qui sont historiquement les siennes, et donc sans la Crimée ni le Donbass.

    Luniterre



  • Luniterre Luniterre 5 février 05:31

    La problématique, ici, c’est que chacun argumente principalement sur la base de ses préjugés et non sur la logique des faits.

    Le fait est que Poutine, même s’il a éventuellement tous les défauts qu’on lui reproche ici, a néanmoins relevé la Russie de la ruine où l’avait plongée l’ère Gorbatchev-Eltsine, intégralement mafieuse, celle-là. Même si Poutine n’est pas un ange, il a à tout le moins mis un sérieux frein aux dérives mafieuses et oligarchiques. Par rapport au passé récent la majorité des russes voit donc plutôt le verre à moitié plein qu’à moitié vide et vote en conséquence, sans états d’âme ni illusions.

    Ce redressement s’étant effectué, en outre, principalement au détriment des mafias acoquinées avec l’Occident « libéral », celui-ci voit donc cela d’un sale œil et essaye de le dégommer à tout prix. L’auteur de l’article ne fait qu’y ajouter son modeste couplet, au demeurant fort mal tourné, et surtout, du point de vue de la logique.

    Effectivement il suffit de chercher un peu pour voir que Nadejdine est un « raté » de longue date de la vie politique russe, une sorte de « sous-Bayrou » à la russe, voire de « sous-Lecanuet », pour ceux qui s’en souviennent encore, une voix mal déguisée de l’empire US, mais qui tenait encore assez bien debout, à cette époque !

    La guerre créant évidemment une déchirure bien compréhensible il profite donc de la blessure pour tenter de s’enkyster, sauf que retourner le couteau dans la plaie ne fera que rassembler et cliver chacun des camps, patriotes d’un côté et kollabos de l’Occident de l’autre.

    Ses pseudos-« arguments » quasiment tous empruntés au lexique de la propagande US permettent justement aux électeurs de voir d’où il vient et trouvent donc d’eux-mêmes leurs limites, ce que l’auteur de l’article semble incapable de comprendre, tant ses préjugés l’aveuglent.

    La question de savoir si Nadejdine est « manipulé » ou non est donc sans objet, dans la mesure où il remplit sa fonction qui est précisément de « jauger » l’état de l’opposition kollabo pro-occidentale et son influence réelle sur la société russe, et en fin de compte de contribuer à traiter le problème en fonction.

    Au moment voulu son allégeance par trop flagrante aux « thèses » de l’Occident permettra évidemment de mettre un frein tout à fait légal, du point de vue de l’intérêt national russe, à son action et à son influence éventuelle.

    Dans la mesure où Poutine continue à défendre l’intérêt national russe au gré de la majorité de son peuple, cela reste une forme de « démocratie » qui en vaut une autre, voire même mieux, en termes d’efficacité sur le terrain.

    Évidemment cela changerait si le cours de la guerre redevenait ce qu’il a brièvement été à l’automne 2022 avec les reculs russes à Kharkov et Kherson. Pour l’instant, le sort des armes reste indécis mais là aussi, le verre est en quelque sorte à moitié plein ou vide, selon le sens de l’histoire qui reste donc à écrire, malheureusement avec toujours trop de sang, d’un côté comme de l’autre.

    Le fait reste néanmoins simplement que la nouvelle frontière fédérale russe, même si elle devait s’arrêter là, est plus avancée qu’au début de la guerre, et donc l’argumentation de Nadejdine y trouve aussi sa limite, et celle de sa portée électorale.

    Luniterre

Voir tous ses commentaires (20 par page)

LES THEMES DE L'AUTEUR

Tribune Libre Economie

Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv