Eric F

@Octave Lebel
On est souvent en désaccord, mais sur ce point je vous soutiens, Mathilde Panot n’a jamais fait, de près ou de loin, l’apologie du terrorisme. On nous assigne à résidence idéologique, il faut être inconditionnel du ’’camp du bien’ atlantiste et eurolibéral, soutenir l’escalade en Ukraine et au Moyen Orient ; la ’’France non-alignée’’ est mise au pilori.

Macron est un petit chefaillon devenu grand chef, sur de lui et dominateur. Il avait proposé d’adapter la France au modèle américain de libéralisme, mais ça ne correspond ni au tissu économique ni à la mentalité nationale. Alors il a essayé tout et n’importe quoi, et a échoué en tout point. Il se reconvertit en futur leader de l’Europe, comme le caporal qui se rêve maréchal.

Le paradoxe est qu’on vit aujourd’hui beaucoup plus vieux, tout en mangeant prétendument de plus en plus mal. Sauf qu’on peut manger équilibré toute l’année -avec un peu d’attention-, ce qui était quasi-impossible aux siècles passés.

Un mec mange un mac Do chaque jour depuis des décennies ...mais sans frite ni coca. Il est en parfaite santé ! L’ennemi, c’est l’excès de sucre raffiné ...ou tout excès de quoi que ce soit.

@titi
Il y a un impact de la reprise de l’aide étasunienne, permettant de retarder l’inévitable chute. Croyez-vous qu’en 2024 ou 2025, l’Ukraine puisse se trouver en situation plus favorable que fin 2022 ? Elle peut juste minimiser les pertes et retrouver des billes pour négocier en position moins défavorable, sauver Karkiv et Odessa serait un don du ciel...

@Jules Seyes
Ne nous focalisons pas sur les pertes, attendons le recul de l’histoire, l’urgence n’est pas là.
L’urgence, c’est la sortie de conflit, et nous sommes d’accord que la reprise de l’aide étasunienne retardera peut-être le recul ukrainien, mais ne permettra pas un basculement de tendance, dont l’élément clé est le potentiel de réservistes, l’Ukraine ayant déjà baissé les bras en ne promulguant pas la mobilisation générale des jeunes.

Je suis juste ’’observateur’’, les uns et les autres des belligérants me crispent pareillement ; si on veut minimiser les pertes, il faut cesser le combat, et les populations se détermineront concernant leur préférence de rattachement.
il y a une Europe greco-latino-germano-saxo-scandinave (Europe des 15), une Europe balkano-ouestslavo-balte (nouveaux entrants de l’Europe des 28) et une Europe cyrillique ...pas la peine de se battre, il faut coopérer.