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Eric F

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L'"agora" est l'espace public de dialogue et de communication. Certains s'y proclament expert ou maître à penser, tel n'est pas mon propos, étant un citoyen concerné par l'intérêt général.
J'ai toujours été et je demeure gaulliste, en adaptant aux situations et circonstances de l'époque. Notamment en évitant les ornières du catastrophisme aussi bien que du déni concernant la crise sanitaire, ou encore en rejetant les antagonismes entre blocs géopolitiques, et en préconisant la diplomatie et la négociation plutôt que les conflits.

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  • Premier article le 03/10/2017
  • Modérateur depuis le 19/10/2017
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Derniers commentaires



  • Eric F Eric F 1er juin 18:17

    @André
    Qu’est-ce que ça veut dire concrètement dénazifier et démilitariser ? au contraire l’Ukraine est bien plus militarisée aujourd’hui qu’il y a un an et tient plutôt bien face aux forces russes, et le gouvernement ukrainien est assuré d’un large soutien de la population hors régions séparatistes.
    C’est quoi ces histoires de bombarder Paris, la Russie ne cherche pas une guerre continentale et moins encore les risques d’embrasement nucléaire. Est-ce que l’Ukraine bombarde l’Iran parce qu’il fournit des missiles ou drones à la Russie, non évidemment.

    Au stade actuel, ne tenons pas compte des rodomontades et narratifs de tribune, qu’est-ce qui se passe sur le terrain ? Si la contre offensive ukrainienne se manifeste sous forme de harcèlement contre le territoire russe, il y a risque d’escalade. Le moment est plutôt de calmer le jeu que de souffler sur les braises, les USA ne cautionnent du reste pas ces bombardements



  • Eric F Eric F 1er juin 17:59

    @troletbuse
    Il est plus concret d’exprimer des analyses et avis sur des questions tangibles, que des incantations sur des fantasmes. Nous sommes donc chacun dans un registre différent : ignore moi, je t’ignorerai....



  • Eric F Eric F 1er juin 14:14

    Le principe des ’’cliquets’’ que j’évoquais précédemment va inévitablement conduire peu à peu à ouvrir une loi initialement très restrictive à des extensions comme on l’a vu en Belgique. On dit au début ’’ah, non, ça jamais’’, mais un fait divers ou un groupe de pression ou une campagne électorale fait avancer d’un cran. La crainte est qu’il y ait une pression sociale pour que les personnes très fortement diminuées et dépendantes soient amenées à recourir à une interruption volontaire anticipée de vie.

    Pour les souhaits de suicide en état de santé permettant l’autonomie, une procédure de type médical ne parait pas une piste appropriée.



  • Eric F Eric F 1er juin 14:02

    @Fergus
    Le problème ’’moral’’ est celui de donner artificiellement la mort, et notamment quelles conditions permettent éventuellement de déroger au principe général d’interdiction de tuer. La loi Léonetti Claes porte sur la fin de vie irréversible/imminente en état de grande souffrance.
    Je sais que vous considérez ’’hypocrite’’ (vous avez écrit un article en ce sens) de ’’fermer les yeux’’ sur des dérogations à la loi dans des cas tout à fait exceptionnels. Ainsi la justice a déjà prononcé la relaxe sur des cas très dramatique. La crainte formulée par les médecins que je citais est que des mesures justifiées par des cas très exceptionnels finissent par entrer dans la ’’norme’’ des solutions possibles.

    Le suicide individuel n’est pas un délit, ni -en théorie- le fait de fournir les moyens d’y procéder dès lors qu’il ne s’agit ni d’incitation ni d’intérêt. Le jeune homme que vous évoquez pouvait y procéder lui-même dès lors qu’il disposait de moyens de le faire (la ’’difficulté’’ en ce cas est que les ’’poisons mortels’’ sont illégaux).
    Demander à la société -et à la médecine dont le rôle est de soigner-, de prendre en charge une décision individuelle de mettre fin à ses jours en cas de mort non imminente change radicalement les principes de base ;



  • Eric F Eric F 1er juin 10:11

    @Fergus et @Fergus
    Selon le présent article, ’’le droit à bénéficier d’une aide active à mourir, mais à condition pour le malade atteint d’une pathologie irréversible « que son pronostic vital soit engagé à moyen terme » – quelques semaines à quelques mois’’ 

    ’’Moyen terme’’, ’’quelques mois’’, c’est extrêmement évasif. Or les militants du ’’droit à mourir’’ relient cette question au degré de dégradation physique ou mental, et non pas au délai avant la mort.
    Certains pays comme la Belgique ayant introduit ce type de loi l’ont élargi aux mineurs et à la détresse psychique, alors Macron a beau refuser ces cas, on sait parfaitement qu’en fonction de l’inéluctable principe des ’’cliquets’’, un amendement ultérieur les autorisera (on a vu comment le mariage pour tous a inévitablement entrainé ensuite la PMA et la reconnaissance des GPA à l’étranger, initialement rejetés). Les activistes des réformes sociétales savent que dès lors qu’il y a un pied dans la porte, l’objectif maximal sera atteint.

    Les demandes de suicide assisté ’’très anticipés par rapport à la fin de vie’’ doivent-ils être pris en charge par le système de santé ?
    En Suisse, le débat a lieu ’’Ce que le corps médical redoute, c’est que le suicide assisté devienne une façon normale de mettre fin à ses jours et que les personnes âgées subissent une pression sociale’’


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