Un
homme dont la compagne, mère d’un enfant en bas âge, avait été assassinée au
Bataclan par des fidèles de l’islam avait publié, durant les semaines suivantes,
Vous n’aurez pas ma haine.
J’ai
trouvé très beau ce petit livre, et admirable la manière dont cette victime
dépassait sa douleur. Je l’ai dit, mais j’ai dit aussi ceci :
Il
faut regretter que l’auteur n’ait pas ajouté en conclusion : Vous n’aurez
pas ma haine, mais je combattrai de
toutes mes forces la religion qui conduit certains de ses membres à commettre
de telles horreurs.