@perlseb
Vous confondez la situation actuelle de dépendance capitaliste mondialisée, dont la BCE est le « cerveau » en Europe et ce que sera une économie de transition, telle que brièvement résumée @Claude Simon.
Une telle transition passe nécessairement par une nationalisation du crédit, et donc, de fait, un moratoire sur la dette envers la BCE, qu’elle soit directe ou indirecte.
@Claude Simon
Sans être pleinement communiste, une économie de transition socialiste constitue néanmoins une rupture avec le capitalisme.
Le système « monétaire » qui ne peut pas être aboli rapidement
devient donc effectivement une forme d’unité de compte pour la
valeur-travail, en termes de temps de travail moyen nécessaire à chaque
type de produit et de service.
Une partie de cette valeur-travail doit donc être affectée aux
besoins sociaux collectifs concernant la santé, l’éducation, les
équipements publics, etc...
Une partie continue d’être affectée aux diverses caisses de
prévoyance concernant la santé, la retraite, le handicap, l’aide aux
familles, etc...
Le crédit permet d’effectuer des échanges entre catégories de
travailleurs sur la base d’un commun accord, et donc dans l’attente de
la réalisation complète du travail et de l’échange.
Il peut y avoir des frais de gestion, évidemment, mais pas d’intérêts.
Et donc pas de base pour une accumulation capitaliste.
Luniterre