"(...) le dernier fils de Georges Marchais, Olivier, avait accepté de fournir quelques images privées qui montraient une autre perspective plus sympathique de l’homme : loin du communiste brutal le couteau entre les dents, Georges Marchais se montrait, avec ses proches, un père de famille heureux, attentionné, simple, faisant son jardin, sa cuisine, passant ses vacances à jouer à la pétanque, se désolant quand son fiston ne se souvenait plus des paroles d’une chanson qu’il avait apprise par cœur."
Oui, enfin, des archives montrant que d’épouvantables salauds avaient une vie de famille, lisaient de la poésie ou improvisaient une chansonnette au piano, on en trouve un paquet, vous savez.