En 2012, j’étais à Kiev, puis en Crimée : Simféropol, Yalta, Sébastopol...
En Crimée, la population était entièrement russophone. A 80 %, les Criméens étaient pro-russes et maudissaient Khrouchtchev pour le don de leur région à l’Ukraine. La Crimée souffrait de sous-investissement ( alors que la côte est une riviera paradisiaque ) et de sa mise en coupe réglée par le fils de Ianoukovitch.
Le retour de la Crimée dans la Russie est l’expression du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Ceux qui le contestent sont soit des ânes qui ne connaissent rien à rien, soit des cyniques qui se réfugient derrière le droit international pour exhaler leur russophobie. L’un n’excluant pas l’autre, d’ailleurs ...