Bonjour Sylvain,
Là, il ne s’agit pas de morale mais de bienséance et de pudeur.
La vie sexuelle, les besoins du corps, nous les connaissons tous. Mais cette partie humaine se passe dans l’intimité, seul, entre deux, (ou trois personnes, et même plus si affinité).
Ce serait un peu répugnant de voir un homme ou une femme politique faire ses besoins dans le domaine public (et internet est le domaine public).
Il en est de même pour cette anecdote délirante.
Non, Sylvain, ne mettons pas la morale en avant. La morale chrétienne peut-être, et encore !