cevennevive

@Gollum, bonjour,

Oui, en effet !

Mais à la réflexion, le fait d’avoir étudié un peu l’Ancien Testament, (histoire familiale obligée) a développé en moi une formidable propension à réfléchir et à juger la plupart de ses maximes et de ses paraboles.

Je ne l’ai pas étudié en tant que croyante, mais comme une amoureuse de l’histoire de l’humanité qui ne m’a jamais quittée, même si je suis une vieille dame maintenant. 

Bonjour Fergus,

L’ambroisie a investi tous les bord de route de nos Cévennes.

Et comme les agents de la voirie ne sont pas passés cette année avec leur faucheuse, nous subissons presque tous les allergies causées par cette plante.

Paroxysme en ce moment.

Et comme elle fait maintes graines, l’année prochaine sera diabolique...

Pour ceux qui n’auraient pas compris mon aversion pour la parabole de la femme de Loth, il est donc patent que la Bible nous dit que l’amour est une perversion (sauf pour l’amour de Dieu !).

-La femme de Loth quitte sa famille, ses amis, ses voisins, tous ces gens qu’elle aime, qu’elle a aimé et qui vont mourir parce que Dieu veut anéantir sa ville.

-La ville va être anéantie parce la plupart de ses habitants sont pervertis selon la morale de la Bible : ils aiment leurs semblables, hommes ou femmes, et ont souvent des relations sexuelles entre hommes et hommes, et femmes et femmes...

A part le Cantique des Cantiques, cherchez donc où pourrait se trouver l’amour physique dans la Bible ? Et encore s’agit-il d’un dialogue entre les deux sexes amoureux...

Je vais être triviale, mais toutes ces histoires de sexe font mouiller les vieilles bigotes et les bourgeoises mal baisées...

Rendez-vous compte, les chansons triviales des salles de garde, avec ces curés qui se « conduisent mal » ont une réalité dans la vie courante !!!

Ah, c’est bon !

Vite, courons vers un confessionnal pour se faire mousser !

Je vais être triviale, mais toutes ces histoires de sexe font mouiller les vieilles bigotes, les bourgeoises rigides et mal baisées.

Rendez-vous compte, les chansons paillardes de salles de garde qui sont personnifiées par la vie d’un pauvre abbé !