@ BA,
n’y a-t-il pas un sophisme sinon un paradoxe ? écrire dans le même argumentaire :
- d’une part : ’’ La dette, le jour où l’on sort de l’euro, n’est plus libellée en euros,
mais en eurofrancs. Donc on doit illico 2000 milliards d’eurofrancs.’’
- et d’autre part : ’’ Notre dette est en francs, donc on ne vous doit rien." Parce que, sauf erreur, ce qu’a dit Friedman pour le dollar vaut pour le franc.
Il y a quelque chose qui cloche, non ?