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Guy Troisbord

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Tableau de bord

  • Premier article le 29/09/2021
  • Modérateur depuis le 05/01/2022
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Derniers commentaires



  • Guy Troisbord 6 octobre 2022 17:40

    @I.A.
    Ils sont vraiment très bêtes ses russes : après avoir envoyé des missiles sur leurs propres soldats (alors qu’on nous dit qu’ils en manquent), les voilà qui sabotent leur propre matériel pour... arrêter les livraisons de gaz (alors qu’il leur suffit de fermer le robinet). Heureusement les « fact-checkers » veillent pour nous expliquer que ce ne sont pas ceux qui y ont intérêt qui mènent ces actions mais ce satané Poutine qui est un mélange de Mazarin, de Machiavel et de Staline. Il me tarde de lire les « dialogues aux enfers entre Poutine et Biden » (comprenne qui pourra).



  • Guy Troisbord 28 septembre 2022 12:56

    Bonjour et bravo M. Foreau, c’est bien écrit et très drôle.



  • Guy Troisbord 20 septembre 2022 13:29

    @Aristide
    Comme d’habitude : vous mélangez tout ; ici une analyse et une proposition. L’analyse peut tout à fait être faite par quelqu’un qui connait, ce qui l’amène à une proposition. C’est à peu près le rôle de l’Université depuis le Moyen-Age, au sein de laquelle n’importe qui peut étudier pour autant qu’il ait le baccalauréat ou ai fait une équivalence (si, si renseignez-vous).

    Quant au tirage au sort, il n’amènerait pas de choses pire que la collection de nullités qui se succèdent au pouvoir depuis (au moins) 1969.

    Si je voulais jouer au finaud : je vous dirais que je préfère largement le hasard qui peut porter (horresco referens une homme du peuple guère érudit) que le placement marketing (avec obligation de retour sur investissement) en termes de choix de gouvernants. Macron n’est pas Président parce qu’il a un quelconque mérite ou qu’il est supérieurement fin et pénétré, mais parce qu’il a été placé là par ceux qui maitrisent l’opinon publique (voir le manuel de Bernays sur le sujet).



  • Guy Troisbord 19 septembre 2022 16:35

    Bonjour,

    « notre monde politique doit beaucoup à la culture hellénique, et notamment à la langue grecque » (ce « notamment » est pour le moins saugrenu dans le contexte exposé)

    « À ces noms d’origine grecque, il convient d’ajouter celui de tyrannie » (on mélange ici allègrement la classification de Platon dans les lois ou la république avec une forme particulière de régime du monde antique)

    « Dans les sociétés modernes, ce mot a été remplacé par celui de dictature. » (non, la tyrannie et la dictature, ce n’est pas la même chose tout simplement, Sylla par exemple a obtenu du Sénat romain le vote pour être élu dictateur pour un temps donné avant de rendre son pouvoir à ce même organe. Le recours à la dictature chez les romains était quelque chose de positif).

    « existe-t-il dans le monde des pays dont au moins une partie significative du personnel politique est tirée au sort ? La réponse est clairement : Non, cela n’existe nulle part » (Le type même d’argument qui... ne démontre rien).

    « un tel régime est manifestement inadapté à notre époque, eu égard à l’extrême complexité des sociétés contemporaines. » (En fait de complexité, l’auteur n’a jamais dû entendre parler de la Ligue de Délos...)

    Quelques exemples (pris au hasard) de l’a-peu-près que l’on trouve dans cet article bric-à-brac qui permet de justifier « a-peu-près » la conclusion à laquelle l’auteur souhaite arriver.

    Si l’on se contente des pages wikipédia et d’un vernis de culture, l’article semble sérieux et argumenté ; si on a fait un peu d’histoire des institutions et des idées politiques, ça l’est beaucoup moins voire même catastrophique.

    Je suis désolé d’être un peu tranchant, mais le sujet est trop sérieux pour le balayer d’un revers de la main après trois erreurs, deux approximations et sur la base d’une culture juridique et historique assez lacunaire.

    Ce qu’ont construit les grecs (lire Thucidyde et le Droit de Castoriadis pour le comprendre), c’est une autonomisation du citoyen et de l’individu : laquelle passe par des institutions dans lesquelles le citoyen est partie prenante afin de construire la société (du latin societas issu de la racine socius : uni, commun, partagé) par la discussion, la logique et le raisonnement. On pourrait bien disserter à l’infini sur les personnes qui composaient ou étaient exclues du corps politique grec, mais la réalité est qu’ils ont construit une vraie démocratie si on la compare avec son ersatz sous lequel nous vivons. Aucun grec n’aurait par exemple compris la notion de « partie politique » ou de « politicien » (au sens où nous avons des « professionnels de la politique ») et auraient trouvé ces créations « anti-démocratiques ». Platon aurait bien nommé notre forme de gouvernement « démocratie » mais pour lui, c’est plus un synonyme de foutoir absolu qu’un compliment.

    Nos démocraties libérales, au rebours des grecs sujets actif de leurs vies, sont constituées de concitoyens-objets qui délèguent (de moins en moins nombreux), vaille que vaille, leurs pouvoirs, sans aucune possibilité de contrôle, à des inconnus qui en font ce qu’elles en veulent sans jamais répondre de leurs actes, ni prendre leur avis ou faire appel à leur intelligence. Et tous annonent : « c’est merveilleux la démocratie représentative ! » Rousseau nous avait déjà mis en garde sur ce genre de dérive quand il écrivait : « Le peuple anglais pense être libre ; il se trompe fort, il ne l’est que durant l’élection des membres du parlement ; sitôt qu’ils sont élus, il est esclave, il n’est rien ».

    Nous aurions beaucoup à apprendre des institutions grecques et le tirage au sort est beaucoup pour des nominations à des fonctions de pouvoir est beaucoup plus égalitaire et de fait démocratique, qu’une élection.

    Je suis désolé d’être un peu tranchant, mais le sujet est trop sérieux pour le balayer d’un revers de la main après trois erreurs, deux approximations et sur la base d’une culture juridique et historique assez lacunaire. La question de la participation des citoyens, et de ses voies, à leur destinée commune est trop importante pour se contenter de généralités badines.



  • Guy Troisbord 9 septembre 2022 09:40

    @Olivier Perriet
    Ouh, le perrier est énervé : attention aux bulles !

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