@ilias
bonjour
je suppose que tu es protestant. ton analyse du moins concorde mais l’utilisation du non être et du point focal m’attirerait vers le bouddhisme, les deux étant assez proche, avec leur vison de l’Homme qui dispose d’un libre arbitre et qui peut choisir son existence et se laisser aller à ses penchants animaliers, ou sataniques. Sur le fond ce que tu développes est juste, seul les analogies sont éculées par rapports aux connaissances scientifiques qui les développent plus clairement ; il n’y a aucune séparation de l’esprit et de la raison. l’esprit de dieu à recouvert le monde dés la création du vivant, il y a 4000 millions d’années. l’humain l’a compris seulement durant le néolithique pour faire face à ces angoisses et interrogations existentielles. Socrate à sa manière en disant que l’on oubliait de s’interroger de l’intérieur , dont d’interroger son esprit, qui en fait scientifiquement représente toutes les information que nous recevons de l’œuvre créatrice dont certaines nous sont inconscientes parce que notre cerveaux est trop lent, mais comme elles nous affectent il vaut mieux prendre le temps de comprendre quels désirs elles suscitent en nous, dans la réponse que nous devons donner pour vivre, en passant de la conscience au ressenti de l’inconscient.
le christ jésus la découverte plus tard quand l’esprit de dieu se repend à la pentecôte.
il ne faut pas réduire dieu à notre dimension, il n’a pas besoin de nous pour exister, c’est nous qui l’avons nommé car il représente une espérance après la mort, soit parce que nous avons peur de mourir, ou tout simplement que cette peur est l’élément qui nous à fait comprendre qu’en fait nous ne mourrons pas mais changeons seulement d’état pour l’éternité.

si cela n’existait pas, pas forcement comme je le décris, qui ne sont que des mots d’un vocabulaire humain pour définir ce qu’il ressent, qui ne sera pas forcément comme tel, je ne pourrais pas le penser.

il est important de comprendre cela pour ne pas avoir a se battre sur des définissions littéralistes qui parlent du même dieu sous des latitudes différentes dans des cultures différentes conformes au développement où les a conduit leur environnement. nous savons que l’univers est en expansion et le déroulement de nos existences aussi, nous la nommons simplement l’évolution et elle n’est pas de tout repos car elle nous conduit à des choix permanents avec comme seul bagages le passé, et espérance d’un futur qui n’est que le lendemain, et que nous pouvons projeter au delà de notre propre temps d’existence.
c’est dieu qui permet cela, afin qu’en nous interrogeant de l’intérieur nous puissions faire le bon choix dans notre projection, non parce que dieu est bon, car dieu est seulement dieu et tout ce que nous réalisons de bon ou mauvais est son œuvre, tout comme le moyen de s’interroger pour exclure, tout ce qui nous tue matériellement ou spirituellement pour vivre en communauté humaine dans l’attente d’un changement d’état.

mon prochain article est Dieu la Baryogenèse et l’espérance. je pense qu’il t’interrogera.
cordialement ddacaoudre overblog