@jjwaDal
Bonjour et merci pour ton commentaire . Le fait que tu as voulu
dire beaucoup de choses en peu de phrases ne donne pas les liens
nécessaires si l’on ne connaît pas le sujet. Et tu fais quelques
confusion par exemple en mettant le PS à droite. Le PS n’est plus
socialiste depuis 1984, en acceptant la loi du marché et en
renonçant à la lutte contre le capitalisme (cela se lit dans les
modifications statutaires à chacun de ses congrès) il appartient à
la social-démocratie, qui est favorable à la redistribution. Ce que
ne le sont pas les partis de droite généralement attachés à la
méritocratie, à la compétition et pas du tout opposés à
l’exploitation de l’homme par l’homme qui inclus la lutte
contre le libéralisme capitalistique dont ils ne veulent pas. Pour
eux c’est le droit d’entreprendre pour son ventre en revendant au
salarié devenu client le salaire qu’il lui a donné contre son
travail, plus toutes les dépenses de son entreprise. C’est pour
cela qu’il n’y a pas ou peu de salariés (les cadres de
direction) qui sont millionnaires, c’est pour cette raison qu’il
y a de plus en plus de milliardaires. Depuis 1830 cela a entrainé
des soulèvements qui sont devenus ou des syndicats ou des partis
ouvriers comme le communisme, et la SFIO devenue PS, aujourd’hui. À
l’exception du PG (LFI), NPA, Lutte ouvrière, des anarchistes,
aucun autres ne dénoncent le libéralisme capitalistique.
C’est ce que toi
tu écris quand tu parles de la pauvreté due aux salaires, du
contrôle de la vie des gens de l’absence de débat ou la réduction
des libertés. Aucun parti politique n’est responsable de cela.
L’exploitation de l’homme par l’homme remonte au Néolithique,
soit presque 6000 ans. À l’époque se pratiquait, l’économie de
pillage, elle a durée jusqu’à la décolonisation des empires
européens. En lieu et place, car le pillage des richesses d’autres
pays ont continué nommé, les échanges commerciaux internationaux,
et en essayant de payant nos échanges au plus petit prix. De la même
manière que les serviteurs et esclaves sont devenus des salariés,
rémunérés au plus bas prix possible si possible.
Voilà
schématiquement la source de nos difficultés. Pour en revenir aux
partis, des hommes favorables à ces conditions sociaux-économiques
, se sont regroupés et ont créé des partis politiques que nous
avons qualifiés, de droite par rapport à leur place dans
l’hémicycle de l’assemblée. À gauche ceux qui s’y opposaient
et de sociaux-démocrates (radicaux anciennement) ceux qui voulaient
rendre cette exploitation plus humaine et sociale. Parmi ces partis
suivant les propositions qu’ils préconisaient dans leurs programmes,
pour faire face aux difficultés qui apparaissaient des inégalités
sociales et économiques du libéralisme capitalistique qui repose
sur deux classes, ceux qui ont les capitaux et ceux qui doivent
travailler pour eux au moindre coût, ils ont été sûrs nommé. Le
communisme se caractérise par l’appropriation des moyens de
production, dont la mise en application dans l’ex-Russie et la
chine se sont déroulés, par le succès d’une politique
fascisante, le nationalisme, le culte du chef, la recherche du
citoyen parfait, et la répression policière, pour les principaux.
La même chose fut développée par le NSDAP, en
Allemagne, le Parti fasciste républicain en Italie qui a
donné son nom à tous les partis qui développaient des idées
politiques semblables, l’Espagne, le Chili, etc.
Quand l’on analyse
l’opinion des citoyens (CEVIPOF), les programmatiques des partis,
nous sommes obligés de reconnaître que les seuls quatre critères
que j’ai écrits y figurent. Être fasciste n’est pas une insulte
comme cela se répand, c’est s’assurer, en lui donnant le pouvoir
de se retrouver dans une dictature et une guerre probable. Et tout
cela pour essayer de solutionner le problème des inégalités
sociales développé par le libéralisme capitalistique. Aujourd’hui
pour les avoir vus au pouvoir, nous savons que le fascisme ne conduit
pas à la solution tant que nous maintenons une organisation
socio-économique basée sur l’exploitation des salariés, qui
produisent la richesse de ceux qui ont des capitaux d’investissement.
Ce n’est pas plus
compliqué que cela. C’est la solution qui est compliquée, car
cela fait 6000 ans que ça dure, car elle ne passe que par la
solidarité humaine et l’acceptation des différences tant que
chacun n’essaie pas d’imposer les siennes aux autres et que l’on
crée de l’abondance au lieu de maintenir la rareté type 1/, pour
qu’il n’y ait pas d’exclus, même si l’on ne devient pas
millionnaire, mais au moins, que l’on puisse vivre au niveau de vie
des biens que l’on produit.
Cordialement
ddacoudre overblog