Des merdias à la dérive ......Un pouvoir , des mensonges, des morts ....
https://www.francesoir.fr/culture-medias/covid-d-ornellas-cnews-journalistes-debats
MÉDIAS/COVID - Un premier aveu, en attendant d’autres ? Sur le
plateau de CNews, Charlotte d’Ornellas, chroniqueuse de l’émission « L’heure des pros » chez Pascal Praud et journaliste de Valeurs Actuelles,
a évoqué le traitement par les médias français de la pandémie du Covid.
Mardi 30 mai 2023, elle a reconnu que les journalistes « ont été obligés de confesser des choses qui se sont révélées être fausses, voire même des mensonges ».
Elle cite les questions liées à l’efficacité de la vaccination dans la
baisse de la transmission du coronavirus ou les effets secondaires du
vaccin. « Poser la question, c’était déjà attaquer la science, être dans le complotisme », a-t-elle regretté.
Des aveux sur lesquels rebondit encore l’animateur de L’heure des pros, qui fait remarquer que "le
livre le plus vendu actuellement en France est celui de la généticienne
Alexandra Henrion-Caude (Les Apprentis sorciers : tout ce qu’on vous
cache sur l’ARN messager, paru le 8 mars 2023 et vendu à 14 431 exemplaires, ndlr)".
"Personne
ne l’a reçu sur aucun plateau à part ici, et interrogez-vous pourquoi
ce livre est le plus vendu (...) C’est pour cela que je gardais un peu
mes distances (...) Notre métier, c’est de témoigner de la réalité,
d’apporter une contradiction et de développer l’esprit critique", a-t-il conclu.
Le
Pr Raoult a publié une étude rétrospective qui démontre l’efficacité de
l’hydroxychloroquine en traitement précoce de la Covid-19, faisant
l’objet de nouvelles attaques de la part de sociétés savantes, de
tribunes et opinions relayées par plusieurs médias mainstream. Avant
d’évoquer mardi ces questions sur le plateau de Cnews, il était l’invité des « Débriefings » de France-Soir.
Il a affirmé durant cet entretien que si l’hydroxychloroquine, ce traitement « économique, pas cher et sûr » n’avait pas été « saboté » depuis le début, « des milliers de morts » auraient pu être évités. Il en veut pour preuve son « étude exhaustive qui reprend tous les patients qui sont venus pour se faire soigner pendant deux ans », à qui le choix d’accepter ou de décliner ce traitement a été donné.