Depuis quelques décennies, un organisme créé par l’ONU, le GIEC, nous
pond de temps en temps un rapport d’évaluation avec des modèles
mathématiques d’une précision relative puisque les résultats des
différents scénarios affichent une dispersion de 300%, une paille. Dans
la réalité il se trouve que les observations donnent un résultat
inférieur à l’estimation la plus prudente :(les observations sondes satellites, et sondes « ballons » météorologiques, montrent des données bien inférieures aux prévisions de GIEC fondées sur une trentaines de données terrestres...
Graphique Global Mid-Troposheric Temperature Variations Models vs. Observations
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En 2019, Richard Lindzen déclarait : « Ce que les historiens se
demanderont certainement au cours des siècles à venir, c’est à quel
point une logique imparfaite, obscurcie par une propagande astucieuse et
implacable, a en fait permis à une coalition de puissants intérêts
spéciaux de convaincre presque tout le monde dans le monde que le CO2
provenant de l’industrie humaine était un danger, destructeur de la
planète. On se souviendra de lui comme de la plus grande illusion de
masse de l’histoire du monde – que le CO2, la vie des plantes, était considéré pendant un certain temps comme un poison mortel. »
Mais ces gens du GIEC sont très compétents, pensez qu’ils parviennent à nous expliquer qu’un gaz rare, comme le CO2,
qui représente 0,0415% de l’atmosphère est ce pelé, ce galeux qui est
responsable du réchauffement climatique, et que c’est l’homme, qui émet
environ 4% des émissions totales de CO2 (96% étant de provenance naturelle, principalement du dégazage des océans qui contient 60 fois plus de CO2
que l’atmosphère). Ces grands scientifiques nous expliquent doctement
que c’est à cause de la rétroaction positive de la vapeur d’eau… sauf
que dans les nuages à grande dynamique verticale (les cumulonimbus) la
rétroaction constatée est… négative !
En fait, comme le dit François Gervais, nous devrions dire Merci au CO2,
car c’est grâce à lui que, depuis quelques années tous les records de
rendements agricoles sont battus. Eh oui, car ce gaz « satanique » est
la nourriture des plantes. C’est ainsi que les satellites d’observation
de la Terre ont constaté que nous avions gagné en 40 ans l’équivalent
d’un continent de biomasse supplémentaire ! Vous parlez d’une
pollution !
N’importe quelle personne sensée, dotée de sens commun et de notion
des ordres de grandeur peut comprendre que tout ceci n’est qu’une énorme
plaisanterie, et s’indignerait d’entendre des individus disposant de
chaires universitaires ou de responsabilités proférer ce genre de
choses :