@charclot : « Le prolo au quotidien y prend sa caisse ou son fourgon pour se taper 2 heures de route parce qu’il préfére vivre à la « campagne » en fait un pole dortoir déporté à 60 bornes d’une des mégapoles Lille Bordeaux Marseille Toulouse ou d’une grande vile Niort, Beauvais ou autres. »
La cas du mec qui habite Bordeaux d’où il télétravaille dans une entreprise dont les bureaux sont à l’intérieur de Paris, c’est complètement hors sujet, on a deux très grandes villes à centre ancien.
Au passage, la navette ou le vélo électrique municipal gratuits sont quand-même payés par dans ses impôts, et beaucoup plus cher en fin de compte que si il l’entretenait lui-même, parce qu’il sera plus dégradé ou vandalisé et qu’il y a un service avec des salariés à payer pour s’en occuper.
Mon propos portait sur le coût comparatif en énergie et en transport pour une famille type papa, maman, 2 enfants, dans deux contextes urbains :
— être propriétaire pour pas cher d’une maisons de ville R ou R+ 1 en bordure de rue et jardin derrière (comme les échoppes de Bordeaux) à l’intrieur d’une petite villes traditionnelle de 5 à 25 000 habitant avec commerces, services, écoles, lycées, université, cafés et bureaux situés dans la ville, pouvoir faire des travaux d’entretien, d’amélioration ou d’agrandissement soi-même,..
— habiter pour très cher un appartement dans une barre ou une tour, ou une maison isolée dans une zone pavillonnaire de banlieue dortoire à la grande périphéries de mégapoles comme Lille, Paris, Toulouse, Bordeaux,.. en se tapant 1,5 à 3 h de transport en commun ou en auto par jour pour déposer les enfants à la crèche ou à l’école, aller bosser, faire ses courses, etc..