@Doume65
@doume 65
« Théorie parfaitement vérifiées par les appareils de
mesures. Il est vérifié aussi que ce réchauffement n’est pas exogène (soleil)
mais bien endogène, car les couches extérieures de l’atmosphère se
refroidissent alors que les couches basses se réchauffent ».
Le réchauffement n’est pas discutable, c’est qq chose de
factuel ; Par contre où le doute subsiste c’est sur la cause du
réchauffement. L’asseoir uniquement sur les activités anthropiques est
certainement orienté. Il existe une
autre théorie de l’effet de serre (en fait il en existe au moins une bonne
dizaine), qui est certainement plus plausible pour qui connait la météorologie classique. C’est celle que
développée par l’école russe ; Elle
porte le nom « d’effet de serre adiabatique ».
Dans la troposphère (la partie basse de l’atmosphère, la troposphère, et
plus précisément pour des pressions supérieures à 0,2 atm), les échanges
sont très majoritairement convectifs (et non radiatifs).Ce qu’avait dit R.
W. Wood en 1909.
Les températures de la troposphère et de la surface
terrestre sont majoritairement déterminées par le comportement
adiabatique de la colonne d’air. Adiabatique signifie "sans échange de
chaleur avec l’extérieur ». Selon cette théorie, les propriétés radiatives des gaz à effet de serre ne joueraient aucun
rôle en dessous d’une altitude de 8km environ (c’est à dire pour les pressions
supérieures à 200mbar).
C’est la convection qui dominerait. A l’évidence, cette
théorie est absolument divergente par rapport à la théorie des gaz à effet de
serre officielle qui considère que tous
les échanges sont radiatifs.
Inutile de préciser que cette théorie
défendue par Sorokhtin et
Al n’a pas les faveurs des tenants du GIEC. C’est le moins que l’on puisse dire.
Des physiciens actuels ; Ferenc Miskolczi
, Gehrard Gerlich et Ralf.
D. Tscheuschner, Richard Lindzen, Roy Spencer, ont une théorie partant
également de la convection naturelle des masses d’air et du rôle de la vapeur
d’eau tout aussi plausible.
L’argument massue utilisé par la doxa Giec est la relation
augmentation CO2 depuis l’industrialisation et température. On a tout
simplement fait les corrélations, augmentation températures par le levier effet
de serre et taux CO2 ; ce n’est pas une démonstration, aucune causalité n’a été recherchée. Car
l’inverse est également vrai, les températures chaudes de surface de l’océan
intertropical sont source du dégazage de CO2.
On exclut toutes les recherches sur l’incidence solaire au
prétexte que c’est très difficilement mesurable.
Les océans sont les grands régulateurs du climat mais on ne
sait pas, ou encore très peu ce qui se passe dans le fonds des océans ; des géologues
canadiens ont découvert des sources chaudes sous la calotte arctique, dorsale
de Gakkel, dans le pacifique, des points chauds lithosphériques sous l’antarctique
*. Tout cela demande du temps et de l’argent que les organismes officiels hésitent
à financer, religion d’état oblige !
On ne maitrise pas encore suffisamment les variations du
climat engendrées par les épisodes el
niño dans le pacifique.
Lorsqu’on s’attèle à rechercher dans les méandres de ces
décisions prises depuis le protocole de Kyoto en 1997, et que l’on s’extrait de
la pensée unique développée par le GIEC, et certaines ONG, on voit bien que la
lutte contre le CO2 anthropique proposée, n’amènera que de faibles effets.
*Découverte
de sources chaudes dans l’océan Pacifique | Médiathèque de La Cité de la Mer
(mediathequedelamer.com)
*http://mediathequedelamer.com/wp-content/uploads/dossier-gakkel.pdf
*https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/antarctique-mysterieuse-source-chaleur-decouverte-sous-glace-73903/