J’espère que les membres de l’union populaire vont choisir d’appeler à voter blanc et non pour Macron. Même s’il vaut mieux avoir un Macron président affaiblit par ces 5 ans déjà passé et les casseroles qui trainent, donc, ne bénéficiant pas du fameux bénéfice post électoral comme pourrait en bénéficier Marine le Pen. Car Macron est tout autant un ennemi que Le Pen,voir plus encore que cette dernière.

Dans son discours d’hier, il a appelé à ne pas voter MLP, mais c’est abstenu de de ne pas appeler à voter Macron, ni le contraire. Bref, le seul vote possible est le vote blanc, sinon, cela prouvera la stupidité des membres de l’union populaire.

entre parenthèse, j’ai écouté Mélenchon lors de son passage sur tf1 quand il parle de propriété collective sur les biens communs. Sauf que c’est là, entre autres choses, qu’il se fourvoie et où se fourvoient les membres de l’union populaire, car s’agissant de biens commun non privatisable, cela ne peut pas être une propriété, seulement une responsabilité commune. La propriété étant toujours privé, elle ne peut porter sur un bien collectif dont on interdit la détention privé. Comprendre qu’une propriété collective est toujours une propriété privé vis à vis de tous ceux qui en sont excluent, ne font pas partie de cette collectivité, or, l’air et l’eau ou la Terre, ne peuvent pas êtres cantonnées à un espace-temps particulier en tant que bien commun, étant donné que comme vous le rappelez vous même, nous partageons tous le même vaisseau Terre.

Il faut suivre la logique, maître de la réalité et non son propre imaginaire, qui n’obéit pas à la réalité.

C’est pour moi ici que se situe la faillite du discours de Mélenchon et des membres de l’union populaire, le fait de ne pas avoir comme socle la mise en avant de la responsabilité devant la propriété. Chose qui vaut pour tous ceux qui affirment que la collectivité doit primer sur l’individu où se dernier trouve son intérêt particulier au travers de son utilité particulière à l’accomplissement de la volonté générale, définissant donc l’intérêt général. Sachant que la somme des intérêts particuliers signifie toujours l’absence d’intérêt général, car pour qu’existe ce dernier, tout un chacun ne peut être qu’une utilité particulière. Et ainsi, de retrouver l’équilibre, l’équité relationnelle fondée sur l’indivision des droits et devoirs, condition pour interdire la capitalisation des droits par une minorité et les devoirs correspondants par tous les autres.