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Commentaire de Hervé Hum

sur Cet esclavage qui vient


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Hervé Hum Hervé Hum 21 mai 2014 09:29

Le moine du coté obscurs,

votre expérience de la nécessité d’un chef correspond à ce que j’écris, en situation d’urgence, non de calme.

L’Afrique en est un exemple des plus malheureux, beaucoup de conflits = beaucoup de chefs.

Mais vous pouvez aimer la guerre, la violence, cela vous donnera un besoin inépuisable de prier Dieu.... ou de le maudire !

Alors il ne faut pas ensuite venir se plaindre de cet esclavage qui revient d’autant qu’il n’a jamais disparu dans les zones où les chefs providentiels se comptent par centaines. Il ne faut pas crier contre l’injustice sociale, en fait, il faut... FERMER SA GUEULE et dire

CHEF, OUI CHEF.

D’autres appellent cela le syndrome du larbin, c’est à dire que n’étant pas capable de s’autogérer lui même, donc d’être libre, il défend le chef sans capacité de discernement.

Parce que ce qui vous échappe, c’est qu’une fois qu’on ait ou non choisi son chef, tout ce qu’il dira sera considéré comme parole d’évangile, et le meilleur des hommes de faire les pires des crimes au nom du chef.

Parce que à la fin, vous confondez chef avec responsable, or, toute personne consciente à la capacité d’être responsable et donc se passer de chef en temps de paix De même qu’en situation de crise quelconque ce n’est pas d’un chef qu’il faut, mais d’un coordinateur ou gestionnaire de crise. Mais ici, le « chef » se limite à la situation de crise seulement.


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