velosolex

@Grincheux
Votre métaphore oublie ceux qui tombent de la fenêtre qu’ils veulent enjamber. 

@Patchwork Mental
Vous nous prenez pour des poires. Le conflit a été instrumentalisé par les russes, qui ont exporté des hommes à eux en Ukraine. L’affaire à commencé en fait à la chute du mur. Le moment décisif, s’est passé en 94, quand l’ukraine a accepté le transfert de son arsenal nucléaire en Russie, contre la promesse qu’elle ne se ferait pas menacer...On voit ce que cela a donné. 

Quand au Dombass, c’est le copie collé des sudètes, en 39, qui servit à Hitler d’attaquer la Tchécoslovaquie, sous prétexte que les minorités allemandes étaient « discriminés ».....
C’est la plus vieille histoire du monde. Les américains s’en servirent aussi au dixneuvième siècle..Des pionniers yankees arrivèrent au Mexique. Au bout d’un moment, ils demandèrent l’aide des américains, sous prétexte d’être menacés...D’ou guerre mexicaine, contre les forces de l’union. C’est ainsi que la californie et le texas passèrent d’un pays à l’autre.....

Il semble que Poutine se soit d’ailleurs totalement inspiré du shéma d’attaque d’Adolph. Le Briltzkrieg qu’il a tenté est le pendant de celui qu’Hitler fit sur la France. Le but était clair : S’emparer de la France le plus vite possible, afin qu’elle serve de base économique à l’éxpansion de la guerre...C’est l’ukraine qui devait remplir cette mission, pour Poutine..... Détenir les leviers de l’alimentation mondiale allait faire de lui le chef suprème..Pensez donc..La « terre noire » d’ukraine, c’était déjà l’obsession d’Hitler, son « liebenstraum », c’est à dire « L’espace vital »...Vladimir ne dirait pas mieux...
. Les tankistes avaient déjà leur uniforme d’apparat dans leur char.
L’affaire était plié dans la tête du stratège à deux balles. Il méprisat autant « le clown Zelensky », que tout l’occident, qu’il voyait trouillard, incapable de se battre, de renoncer à leur dépendance à la pompe et au gaz Russe. Poutine n’est qu’un pompiste qui se croit le roi du monde, comme un emir de pacotille. Mais le mot chef mafieux est tout autant adapté.
Il a finalement finit par croire assez à ses mensonges pour passer la ligne rouge, et faire ce personne de rationnel ne pensait possible : Renverser le jeu d’échecs d’un coup de pied, et décider que c’est lui qui maintenant allait écrire les règles....
La paix est devu la guerre, le mensonge est devenu la vérité. Ce type corrompt tout. 

@GoldoBlack
Les popov veulent nous faire peur : Vendredi 19 mai, le secrétaire du Conseil russe de sécurité, Nikolaï Patrouchev, a affirmé à la presse nationale qu’un « nuage radioactif » dériverait vers l’Europe à la suite de la destruction, une semaine plus tôt, de sites de stockage « de munitions à l’uranium appauvri fournies par l’Occident à l’Ukraine »

Ce qui a été démenti bien sûr par les relevés.....La peur, voilà la grande arme du kremlin, après la propagande, sont alliée...
Les temps sont devenus étonnants. Internet qui ne sert que de courroie de transmission aux trolls du kremlin pour soutenir un projet génocidaire. 
Une trentaine de missiles par jour sur les civils, des territoires entiers dévastés, et impropres à la culture, voilà la coopération de Poutine en un monde meilleur, et au déréglement de la planète....
Lu hier sur Libération, qui parle de cette guerre souvent au niveau du civil ou du combattant de base, versant humain profond, un article étonnant sur une vieille femme Ukrainienne se cramponnant à sa ferme menacée par les bombardement. J’en met un extrait, ça me console des abrutis. 

Extrait :
« Fichu rouge bordé de motifs fleuris dans les cheveux et sandales roses aux pieds, l’ancienne travailleuse agricole déborde d’énergie et n’arrête pas de parler, arborant constamment un large sourire édenté. Malgré des conditions plus que précaires, l’irréductible explique fièrement qu’elle continue de vivre dans ce village fantôme, sous le sourire amusé de son beau-fils, Andry, de passage pour couper les herbes du terrain. Comment fait-il, alors que la zone est bourrée d’explosifs, d’obus et de cassettes de sous-munitions ? Hanna fait un aller-retour dans sa maison et en sort avec un petit détecteur de métaux. Un appareil qui n’a rien de militaire, et dont la simplicité conduit à douter de son efficacité. Mais les tentatives de la dissuader n’en font rien, la babouchka sort de la route et entreprend d’arpenter les hautes herbes en face de sa maison, les balayant avec son bidule métallique, cette fois-ci sans rien trouver. Les démineurs sont déjà passés pour récupérer les explosifs qu’elle avait détectés. A quelques mètres de son potager, des restes de roquettes d’artillerie sont encore fichés dans le sol.L’année dernière, alors que l’armée russe pataugeait sur ce qui était alors le cœur du front, la paysanne a d’abord refusé d’évacuer, comme beaucoup de personnes âgées. Elle raconte que les Russes, des « créatures », ont occupé brièvement sa maison et volé sa nourriture. Puis, arpentant son terrain, elle montre les positions ukrainiennes, « leurs gars », à qui elle apportait café et cigarettes. Des restes de tenues militaires déchirées et de filets de camouflages traînent encore sur le sol. En août, après plusieurs mois de guerre, elle se résout à s’en aller : « Pendant les combats, je continuais de planter mes pommes de terre. Le fait que je reste faisait beaucoup pleurer ma fille »...

@Clocel
On se demande si vous n’êtes pas un brin cornu, à propos de références à l’enfer ?

Quand à Poutine, votre maitre, il tient de Belzébuth et de l’antéchrist, à moins que ce soit un mix entre Beria et Poutine, ce qui est pire !
Les ukrainiens seront d’accord avec moi. Etre récupéré par cet empire du mal et du génocide n’inspire personne à l’est. 

Ils ont trop goutté de ces fumiers pour revenir à l’est. Les Finlandais vomissent la Russie. Idem les pays baltes. 50 ans à accueillir les popov, les a poussé à toutes jambes vers l’OTAN....L’histoire c’est le crash test....La Suède s’est trouve tout à coup une vocation ONUsienne.

Poutine serait il le meilleur VRP de l’’otan ?
La Russie a réussi à fédérer tous ces pays autour d’un projet commun, la défense de valeurs dites dégénérées par Moscou. C’est à dire la démocratie, le droit d’expression, tous ces trucs qui font rigoler les soudards de Prigojine, qui n’ont pas la lumière à tous les étages. 

La bombe H, le gros caca sur la paillaisson. ..Depuis un an et demi Medvedev ne parle que de ça. "Retenez moi ou je fais un malheur’...

Faire peur, voilà la stratégie de Moscou...Pour y avoir cru, ces imbéciles se sont emplafrés au beau milieu de leur blitzkrieg, et ont du faire demi tour au plus vite, le pantalon encore sur les godasses pour tous ces violeurs, voulant soi disant libérer les ukrainiennes. 

Mais le plus grand malheur du monde, ça serait de penser que se faire anexer par ces salopards serait préférable que de lutter contre eux, et d’abandonner l’uKraine.

Les Ukrainiens, Mais ils montrent leurs fesses à ces salopards. La Russie n’inspire plus que dégout à l’humanité. Armons L’ukraine comme jamais. Ils sont notre meilleure armée, et un espoir pour l’europe, qui a réussi à renoncer à sa dépendance envers la Russie. L’autres grosse erreur de Poutine qui penser tenir le dirigeants par le chantage à la pompe. 

@Eric F
Toute cette soupe démagogique, construit sur la fatuité, et mettant l’histoire qu’on voudrait être, derrière celle qu’on fantasme à un intéret, c’est d’oublier le fondement fondamental des inégalités, construits sur la fortune, le carnet d’adresse, et le pédigree. 
A mon avis, les gilets jaunes ont plus à voir avec les peaux rouges qu’avec ceux qui considèrent qu’à 50 ans, si t’as pas un rollex, tu as raté ta vie. 
Les inégalités ont explosé totalement depuis les années 80. On voit l’aspect pratique que peut avoir le wokisme, qui ne s’encombre pas de l’histoire sociale, au profit d’une histoire fantasmée, fonctionnant de façon binaire, afin de construire des archétiypes de domination, propices à des nouvelles revendications, légtitmités par le passé, pour ceux qui parviennet à imposer leur doxa insipide.

Au nouveau barème, être une femme ou un homo vous donne un bénéfice d’un point, une femme de deux, afin de réparer la mauvaise conscience. Mais faire partie des puissants vous donne un joker incalculable, que personne n’évoque. A moins que vous ne perdiez les pédales au Sofitel de New york, et qu’on veule vous tailler un sort, le ton envers vous sera toujours celui de la compréhension. Exit les disparités sociales. Le wokisme n’a pas lui « le capital » ni Bourdieu. C’est un mouvement sectaire basé sur l’émotion, et sur la légitimité fantasmé en argumentant une histoire à charge pour les autres. 
 
Noir-blanc, genré, fomme-femme....j’oubliais jeune vieux. Le mâle blanc la dedans de plus de 50 ans offrant le portrait type à honnir. A cracher dessus, comme sur Eddy Plenel, comme l’a fait Maïwen, dans un fait divers que la presse n’a pas trouvé bon d’évoquer, pour ne pas gacher la sortie de son dernier film. 

Que n’aurait on pas dit si cela avait été la position contraire ?...Il semble que les projecteurs de l’actualité sont plus orientables vers certaines personnes que vers d’autres, quelle que soit leur couleur de peau. 
On salue la vénalité, la bétise. On rampe aux ordres des puissants. Libé à fait un bon article sur le sujet, quand Mäiwen a été interrogé par Yann Barthès sur cette afffaire, entre bons amis.
  Barthès demande ce qu’elle pense de la décision de sa consœur Adèle Haenel de mettre un terme à sa carrière cinématographique. M. fait une moue de dépit et répond qu’elle trouve sa décision tristement radicale. On voit par là que certains agressent les journalistes quand ils sont dérangés, mais n’hésitent pas à faire la moue devant ceux qui ne parviennent pas à se coucher.....

Extrait. 
"Et l’on en vient à se demander ce qu’aurait pensé Yann Barthès si Maïwenn avait accepté de raconter l’affaire dans le détail ? Aurait-il ri ? Aurait-il compris ? Et au fond qu’y a-t-il à comprendre de tout cela ? Qu’y a-t-il à comprendre d’un monde où l’une affirme, avec fierté, être aussi vénale que le personnage qu’elle incarne à l’écran, quand l’autre abandonne son métier pour « dénoncer la complaisance généralisée du métier vis-à-vis des agresseurs sexuels »  ? Qu’y a-t-il à comprendre d’un monde où une actrice et un journaliste évoquent, dans un moment de complicité rigolarde, l’agression d’un autre journaliste, comme s’ils avaient fait le coup ensemble ? Qu’y a-t-il à comprendre d’une actrice qui juge « trop » radical, trop général, un cri de rage, mais semble trouver amusant d’agresser physiquement un journaliste ? Ce monde qu’on peine à comprendre, c’est le nôtre. Un monde en roue libre. Un monde qui à force de désillusions nous pousserait presque à gueuler, si seulement on en avait le courage : « Je vous annule de mon monde. Je pars. Je me mets en grève. »