« Eco-score et label anti-gaspillage » sur la
nourriture.
Opération de diversion pour ne pas aborder les autres
gaspillages :
Véhicules qu’il faut renouveler encore plus souvent du fait
des normes du contrôle technique modifiées en permanence,
Véhicules avec de nouvelles énergies sans tenir compte de
l’impact environnemental dès leur fabrication et intégrant leur recyclage, et
sans tenir compte de la physique relative au déplacement de masses
supplémentaires augmentant ainsi la consommation des véhicules hybrides,
Appareils électroménagers qui durent maintenant un peu plus
que le temps de la garantie, avec un indice de réparabilité défini par le
constructeur, alors que le législateur pourrait imposer des garanties,
Appareils de communication (téléphones, ordinateurs) dont on
ne maîtrise plus les mises à jour les rendant obsolètes,
Habitat avec des normes qui évoluent également en
permanence, et domaine dans lequel les collectivités territoriales préfèrent
démolir puis reconstruire au grand profit du BTP.
Dépenses publiques : 56,5% du PIB dans notre pays qui
taxe le plus au monde. Dans ce domaine, il faut regarder les dépenses des
collectivités territoriales.
Si l’on voulait vraiment éviter les gaspillages, le
législateur commencerait par imposer des durées de vie à la source, c’est-à-dire
aux fabricants, ou à l’importation, et non pas aux consommateurs.
Question : pourquoi ne peut-on pas désinstaller le
navigateur Edge ?
Même lorsqu’on utilise un autre navigateur, Edge constitue
des fichiers volumineux. A qui servent-ils ? A qui sont-ils transmis ?
Lorsqu’on essaie de désinstaller ou de neutraliser Edge, on
n’a pas les droits d’accès pour le faire. Pourtant, il s’agit de notre propre
ordinateur et de nos données privées.
Que fait la CNIL contre cet abus de position
dominante ?
" Cette simultanéité fait que c’est l’abandon d’argent
qui distingue une richesse d’un déchet "
Dans cette phrase, le déchet est l’opposé de la richesse.
Or ce n’est pas forcément ce qu’on peut constater.
Nous mettons nos déchets dans des poubelles après avoir
fourni un travail de tri.
Pourtant, la multinationale qui collecte ces déchets
effectue bien un travail de collecte mais elle le facture en appliquant une
taxe incitative très partielle selon sa propre philosophie évitant un rapport
gagnant/gagnant. Les déchets sont ensuite revalorisés. Ce qui fait qu’elle tire
un double bénéfice.
De même lorsqu’une tempête fait tomber un arbre d’une
essence prisée, l’entreprise d’élagage qui vient enlever l’arbre fait payer
l’enlèvement alors qu’elle va retirer un bénéfice sur la revente du bois. Là
encore double bénéfice.
Peut-on considérer que le rapport est équitable alors qu’il
profite d’une complaisance de la part de l’administration pour ce qui concerne
la TEOM ou de l’incapacité d’une victime d’une tempête ?